Politique et actualités locales, nationales, internationales. Philosophie, religions, arts, sciences humaines, culture générale. Tous sujets et thèmes de société peuvent être discutés sur ce blog dans le respect des lois en vigueur.
Bokassa parle - Giscard aime les diamants..! Ce dernier - Opération " Barracuda ", s'empare de ... 14 000 diamants !
LETTRE OUVERTE A UN ANCIEN PRÉSIDENT QUI BRÛLE DE LE
REDEVENIR
Photo du verso de la couverture du livre " PRISONNIER DE GISCARD ", par Roger Delpey - edit. Jacques Grancher
" Selon une rumeur parvenue aux Françaises et aux Français, vous vous tenez en réserve de la République et vous avez la volonté de poursuivre un destin national interrompu le 10 mai 1981.
Il est arrivé souvent aux Françaises et aux Français d'avoir la mémoire courte, et il leur est arrivé parfois de se déjuger, mais leur refus de vous voir assumer plus longtemps la magistrature suprême est si proche que la persistance de votre ambition serait, selon moi, une provocation ou, plus encore, un défi lancé à leur sens du devoir et de la responsabilité.
Si, en raison de l'inflexible sanction des urnes, vous aviez accepté de vous éloigner de la chose politique et de vous taire, j'aurais, moi aussi, " laissé les choses basses mourir de leur propre poison ". Mais votre choix n'étant pas celui-là, souffrez qu'à mon tour je m'adresse à l'opinion publique française pour la mettre en garde contre un homme qui n'est pas au-dessus de tout soupçon.
Car, vous semblez l'oublier, votre défaite électorale a été précipitée par de graves manquements à l'honneur et à la responsabilité, en raison d'actes sur lesquels, jusqu'à ce jour, vous vous êtes refusé à vous expliquer, à vous justifier. En effet, Je vous accuse d'avoir donné l'ordre à un service secret français de monter une opération de " désinformation " destinée à déstabiliser le régime de l'empereur Bokassa qui avait cessé de vous plaire et, avec la complicité de quelques organes d'information, d'avoir abusé l'opinion publique française et internationale, au moyen d'une campagne d'affabulations et de mensonges.
Je vous accuse d'avoir manipulé les cinq juristes africains de la " Mission de Constatation des Evénements de Bangui ". Ceux-ci, au terme de leur enquête, le 21 juin 1979, avaient conclu à la non-participation et à la non-responsabilité de Bokassa dans les " massacres " de Bangui mais, après un séjour à Paris, ils ont modifié leur rapport et conclu à sa participation, à sa responsabilité.
Je vous accuse d'avoir usé de pouvoirs non contenus dans la Constitution française pour imposer de vive force comme chef d'Etat au Centrafrique Monsieur David Dacko, un homme qui, après avoir plongé son pays dans l'anarchie politique et économique, avait remis ses pouvoirs entre les mains de Bokassa, le 1° janvier 1966.
Je vous accuse d'avoir donné l'ordre à des unités militaires françaises et à de très spéciaux services d'action, de dérober les archives impériales et gouvernementales, à Bangui, et les archives personnelles de Bokassa, à Bérengo. Ces archives, ramenées en France, ont été dissimulées et le sont encore alors qu'elles appartiennent au Centrafrique et sont, selon l'éthique de l'histoire, la mémoire de ce pays et de son peuple.
Je vous accuse d'avoir été le complice des vols opérés à l'intérieur du palais de Bérengo, résidence de Bokassa, mise à sac par les hommes d'un groupe d'intervention spécialement entraînés pour l'accomplissement de cette tâche et qui se sont emparés de 14 000 diamants, de bijoux, de valeurs, de fonds ( francs C.F.A., francs suisses, dollars, etc. ) trouvés par eux dans la place.
Je vous accuse d'avoir fait enlever les archives, documents administratifs et comptables de la " Taillerie Nationale du Diamant ", dont le siège est à Bangui, dans le but de faire disparaître une partie des correspondances et des notes concernant la remise de diamants par Bokassa à plusieurs membres de votre famille et à vous-même.
Je vous accuse d'avoir reçu, à plusieurs reprises, de Bokassa, de nombreux diamants de qualité. En raison de leur importante valeur, ces dons ne peuvent être assimilés aux cadeaux qu'échangent les chefs d'Etat. Et s'ils vous font le débiteur de Bokassa ils vous font, plus encore, le débiteur de la nation française à laquelle, avec morgue, vous refusez la vérité.
Je vous accuse de racisme à l'égard de Bokassa en raison de votre refus de faire droit à sa requête du 20 décembre 1980, par laquelle il vous suppliait de l'aider à comparaître devant une Cour de justice internationale afin qu'il puisse se défendre. Je vous dénie, par ailleurs, le droit de prétendre être partie prenante dans un quelconque " monopole du coeur " parce que vous avez trahi cet homme qui vous avait donné sa confiance. Vous l'avez poignardé dans le dos et, usant d'un procédé misérable, vous l'avez tenu prisonnier pendant trois jours et trois nuits sur une piste de la base aérienne d'Evreux. L'Etranger a vu dans cet acte un manquement à l'honneur et les pays africains, très justement, un geste de racisme.
Je vous accuse d'avoir utilisé à vos propres fins l'organisation judiciaire de notre pays pour que soit délivrée à mon encontre une " lettre de cachet " ayant pour but de me réduire au silence. D'avoir permis à la D.S.T. et à la Cour de Sûreté de l'Etat d'accomplir une basse besogne, en lançant contre moi une campagne destinée à me disqualifier afin que soit préservée votre " respectabilité ".
En octobre 1980, vous étiez Président de la République et, par votre volonté, Bokassa était soumis à une étroite surveillance, à Abidjan, tandis que j'étais moi-même détenu à la prison de la Santé. Deux années plus tard, en octobre 1982, vous n'êtes plus Président de la République, Bokassa jouit d'un régime de semi-liberté et moi d'une totale liberté. Or, cet ordre des choses est aujourd'hui perturbé par l'ambition qui vous est prêtée de vouloir revenir aux affaires, et, peut-être même au Pouvoir.
Cela vous sera interdit tant que vous n'aurez pas répondu aux accusations portées contre vous, et ci-dessus énumérées. Elles tendent à démontrer, nul ne peut s'y tromper en fonction de la haute charge qui a été la vôtre, que vous vous êtes rendu coupable de forfaiture : ce crime politique consistant à abuser de sa fonction pour une action contraire à la Constitution ou aux intérêts du pays.
Bokassa et moi-même sommes prêts à soumettre à une Commission d'enquête, devant laquelle, nous le pensons, il vous plaira de comparaître, près de deux cents documents. Nous sommes également prêts à désigner à cette Commission des témoins liés aux événements et aux faits indiqués dans chaque argumentaire de chacune de nos accusations.
Ceci étant porté à la connaissance de l'opinion publique, il vous appartient de faire savoir aux Françaises et aux Français si le temps est venu, pour vous, de reconnaître vos fautes et, pour eux, de vous renouveler, ou non, leur confiance. [...] "
1979 - " Opération Barracuda " - Giscard envoie les parachutistes à Bangui
déposer Bokassa - s'empare, entre autres, d'un butin de... 14 000 diamants !
AU NOM DES ARTICLES 80 ET 698... ET DES AUTRES
Je suis engagé dans la rue Spontini et j'ai progressé d'une cinquantaine de mètres quand une voiture surgit dans mon dos, s'arrête brutalement à ma hauteur. Deux hommes bondissent sur le trottoir et m'encadrent. Le plus âgé m'interpelle :
-- Vous venez bien de l'Ambassade de Libye ? -- Oui. Et alors ?
Il ne me répond pas mais, imité par celui qui l'accompagne, me présente une carte de police. Il est commissaire divisionnaire; son nom est Raffaelli. Son collègue est commissaire; son nom est Chabaud. Les deux portières de la voiture, côté trottoir, sont ouvertes. A l'intérieur du véhicule, deux hommes assis sur la banquette avant regardent dans notre direction. J'interroge :
-- Il n'est pas interdit d'aller à l'ambassade de Libye ? -- C'est de cela que nous devons parler avec vous. Vous devez nous suivre.
D'un geste de la main, le policier me désigne la voiture, m'invite à prendre place sur la banquette arrière. En une fraction de seconde je réfléchis et détermine que n'ayant rien à me reprocher, le plus simple est d'obtempérer. Je monte dans la voiture où je suis immédiatement flanqué, sur ma droite et sur ma gauche, de mes deux " kidnappeurs ". Le commissaire Raffaelli, stature élancée, chevelure grisonnante, me questionne :
-- Avez-vous une déclaration à faire ? -- Non. Absolument pas.
J'ai répondu cela car je pense qu'il s'agit d'un malentendu appelé à être rapidement dissipé. Immédiatement, aussi, j'imagine qu'il résulte de mes activités liées à l'affaire Bokassa. La voiture remonte l'avenue Foch et je regarde les frondaisons épanouies sous le soleil. Suis-je ému par ce qui m'arrive ? A peine. Je serai pourtant choqué quand le policier assis à droite du conducteur dira dans son radio-téléphone : " Ça y est, nous l'avons ! " Je ne sais pourquoi, mais cette formule me paraît cavalière, alors qu'elle était simplement préfigurative de ma situation à venir.
La vision de l'avenue des Champs Elysées, de la rue du Faubourg Saint Honoré, du ministère de l'Intérieur est effacée au profit de celle, fugitive, du palais de l'Elysée, puis de la rue des Saussaies que prolonge la rue Cambacérès. C'est à l'entrée de cette dernière que la voiture s'arrête. Mes trois accompagnateurs exécutent un petit ballet au centre duquel ils m'insèrent. Ainsi " cornaqué ", je franchis une porte cochère surveillée par un gardien de la paix et gravis un escalier jusqu'au dernier étage de l'immeuble. Au passage, j'enregistre que l'ascenseur est en construction ou en réparation.
Au dernier étage, mon arrivée ne passe pas inaperçue. J'étais attendu. J'observe pour la première fois une curiosité dans le regard des présents, une curiosité à laquelle, à défaut de m'habituer, il me faudra apprendre à me soumettre. Je suis conduit dans un bureau où nous rejoint un homme de taille moyenne, au visage rond, dont les yeux sont comme à l'abri derrière des lunettes. Je suis en présence du commissaire divisionnaire, sous-directeur et contrôleur général Jean Baklouti. Il m'observe quelques secondes avant d'engager le dialogue :
-- Savez-vous où vous vous trouvez en ce moment ? -- Non, pas du tout. -- Vous êtes à la Direction de la Surveillance du Territoire. -- Ah ? Mais pourquoi ? -- Parce que vous êtes soupçonné d'intelligence avec une puissance étrangère... Avec la Libye. -- Comment ça ? Jusqu'à preuve du contraire les Français peuvent se rendre à l'ambassade de Libye. D'ailleurs, il y avait bien une vingtaine de personnes en même temps que moi, ce matin. La France commerce avec ce pays et, que je sache, son ambassade n'a pas été déclarée ambassade ennemie par le gouvernement français. Ma présence et ma démarche à l'ambassade de Libye sont motivées par une intervention en faveur de l'empereur Bokassa, de nationalité française, ancien combattant de l'armée française.
-- Cela, c'est l'enquête qui l'établira ou non. Vous avez été interpellé car il pèse sur vous de graves présomptions concernant vos liens très particuliers avec des services libyens. Je vous demande de prendre connaissance du texte qui vise vos activités.
Le commissaire Baklouti me tend un document que je parcours des yeux avant de m'étonner :
-- Mais ce texte ne fait pas mention de mon nom ! -- Cela n'est pas utile. Il nous autorise, vous l'avez lu, à agir dans le cadre de l'action propre à la Direction de la Surveillance du Territoire. Il nous faut savoir si vos activités tombent sous le coup des articles 80 et 698.
J'ai alors, une réaction qui, paraît-il, est classique en une telle circonstance. J'interroge :
-- Est-ce que je peux téléphoner à un avocat ? -- Non, la loi ne vous autorise pas à le faire. -- Est-ce que je peux téléphoner chez moi, car mon épouse m'attend et va s'inquiéter ? -- Ça non plus n'est pas autorisé. Mais vous la verrez, puisque nous devons nous rendre à votre domicile pour y pratiquer une perquisition. Je dois vous informer qu'en raison des nécessités de l'enquête vous êtes dès maintenant placé en garde à vue. Nous allons, d'abord, procéder à un interrogatoire d'identité.
Un quatrième homme, un inspecteur vraisemblablement, est appelé. Il s'installe devant une machine à écrire et enregistre ce qui est porté sur ma carte d'identité. Depuis mon entrée dans le bureau, je suis debout, de même que les policiers. Le commissaire Baklouti reprend :
-- La garde à vue exige que vous soyez soumis à une fouille à corps. Je ne la crois pas utile. Je vous demande simplement de mettre le contenu de vos poches sur le bureau qui est devant vous, sans rien omettre. Peut-être avez-vous beaucoup d'argent sur vous... Nous allons voir ça ! ".
L'observation, et surtout le ton employé, m'étonnent. Une idée me traverse l'esprit : ce policier me laisse entendre clairement que mon passage à l'ambassade de Libye est lié à une question d'argent. Je ne me trompe pas car il s'empare vivement d'une carte-adresse que je viens d'extraire d'une poche et ajoute :
" Nous pouvons aussi trouver le numéro d'un compte bancaire inscrit quelque part. Un compte bancaire qui nous réserverait des surprises... ".
Je pose sur le bureau la chemise de carton que je tiens à la main depuis ce matin quand j'ai quitté mon domicile, un porte-cartes, un peigne, un crayon-feutre, un carnet d'adresses, deux cent trois francs, en billets et pièces. Manifestement, la modicité de cet avoir déçoit le policier qui, par réaction, épluche le contenu de mon carnet d'adresses avant d'ouvrir la chemise de carton où sont rangés des textes destinés à être photocopiés. La lecture de ces textes retient son attention, et il y a de quoi; ce sont les doubles de deux notes envoyées à Bokassa et à son ami Robert, dont l'objet est expliqué par ailleurs. Deux yeux brillants se lèvent vers moi, se tournent vers les autres policiers avant de revenir aux textes. Un temps, et je suis invité à m'asseoir sur une chaise.
-- Vous devez les lire, précise-t-il, et si vous êtes d'accord avec leur contenu, vous devez les signer au bas de chaque page. Les voici, dans leur authentique brièveté :
1° Procès Verbal ( 11 h 40 ) 10 Mai Raffaelli Antoine ( commissaire Divisionnaire ) " Conformément aux instructions reçues, assisté du commissaire Chabaud Alain, de notre service, et après avoir constaté qu'un individu de sexe masculin est issu seul et à pied à onze heures vingt du numéro deux de la rue Charles Lamoureux, Paris 16°, siège de l'ambassade de Libye, dénommé également Bureau Populaire Libyen. [...]..." ( A suivre... )
Voir aussi le post sur les causes de " l'Opération Barracuda ", cliquez, ici :
Pour voir toutes les videos de clamartcityweblog sur dailymotion,
cliquez sur le code indiqué ci-après : solaristemplar
Le Pouvoir Exécutif, et les dirigeants politiques, de droite et de gauche, sont bien les " fils d'une République bananière ", cette dernière issue, elle-même, d'une dictature et pouvoir personnel initiés par un "plébiscite" bonapartiste ", dont nous payons encore les conséquences. Bref, la devinette, du " jeu du mouton noir ", consistera, ici, à dire qui a écrit cet article qui va suivre ci-après, concernant cet homme d'Etat Français, qui, en Afrique, était surnommé " l'Africain ", pour les immenses territoires de chasses gardées, qu'il se faisait attribuer par Bokassa, son " cher parent ". Les petits et grands cadeaux " offerts " à cet homme d'Etat ne l'ont pas empêché de s'ingérer dans les affaires intérieures d'une puissance étrangère, mêlant ses propres intérêts personnels avec ceux de la République, qu'il était censé défendre. Cet homme, a encore " l'ambition ", après tout ceci, d'être le Président de l'Union européenne, quelle misère pour les Français d'en-bas !
" Quand on forme les services de renseignement des pays
" amis ", ça laisse des traces et ça crée des liens. Résultat : il est bien rare qu'il se passe
quelque chose en Afrique sans que la barbouzerie française y soit plus ou moins directement mêlée. "
" L'amour du coup de force n'en disparaît pas pour autant. En 1979, Giscard décide de remplacer l'empereur Bokassa à la tête du Centrafrique. Eh oui, Bokassa a voulu jouer au plus malin : il a menacé à plusieurs reprises Giscard de publier des documents sur les cadeaux qu'il lui a offerts, d'où la célèbre histoire des diamants révélée par " Le Canard ".
Dans la nuit du 20 au 21 septembre, un avion Transall du Sdece décolle d'une base du Sud-Ouest. A l'intérieur, les paras du 1° RPIMA y côtoient David Dacko, autrefois ministre des Finances de Bokassa, qu'on a choisi pour remplacer l'empereur. Il a répété son rôle de futur chef d'Etat, pendant des semaines, avec les psychologues et les stratèges de la Piscine. Marenches s'est déplacé en personne pour assister au départ. L'avion fait un courte escale au Tchad. Là, on vérifie que Bokassa n'a pas écourté son voyage privé en Egypte. Non tout fonctionne. Les paras et le nouveau président arrivent à Bangui en pleine nuit. Jacques Duchemin les attend à l'aéroport. C'est le conseiller de Bokassa, mais surtout un agent du Sdece. A ses côtés, le colonel Mazza, attaché militaire.
l'opération " Barracuda " commence.
En moins d'une heure, les marsouins du 1° RPIMA occupent la capitale centrafricaine. Ils s'emparent sans heurt du commissariat central, de la radio, de la télévision impériale, du palais. Seul incident : à la direction de la Sûreté, un soldat de Bokassa tire un malheureux coup de feu : il voulait seulement décharger son arme, c'est juré. Dans les locaux de la radio, David Dacko, toujours flanqué d'un psychologue de la Piscine et du général Grillot, le patron du service Action, lit son premier message présidentiel à la radio.
On assiste, par la suite, surtout à une guéguerre entre Français. Le service Action commande. Sous ses ordres, les paras qui doivent déménager les archives du palais de Berango rechignent. Dans les paperasses, ils tombent sur d'importantes informations concernant les distributions de bijoux de Bokassa. Par ailleurs, les paras ont découvert un trésor de 35 milliards de centimes, qui sera remisé à l'ambassade de France sur ordre des services secrets. (NDLR - Notez que parmi le butin, se trouvaient 14 000 diamants qui ont été soustraits et qui ont disparu jusqu'à ce jour !) Des soldats, écoeurés, iront raconter par le menu ces détails de l'opération Barracuda. Voir, aussi, sur le présent blog, le post : " L'affaire Roger Delpey " Prisonnier de Giscard " (d'Estaing), l'afrique, diamants, Bokassa, lettres de cachet, attentat à la Constitution et aux libertés publiques. L'Etat-barbouzes..!!! ", en cliquant, ici :
" Le RPIMA a rompu avec nous à partir de ce jour, confirme un membre du service Action. En fait, nous n'aurions pas dû utiliser ces paras. Leur mission était de porter Dacko au pouvoir sans que des Français soient identifiés comme les auteurs du putsch. Et ils ont paradé comme au 14-juillet ! Lamentable..."
Avec Barracuda, une partie du prestige de Giscard s'envole. Les révélations du " Canard enchaîné " à propos des diamants qu'il avait reçus de Bokassa annonceront la fin de son régime. Qu'allait faire la gauche, en parvenant au pouvoir ? Qu'allaient répondre les services secrets ? Les premières frictions seront vigoureuses..." ( A suivre )
Martine Chevalet et Eric Hacquemand signent, dans le journal " Le Parisien " du samedi 24 juin 2006, un article stupéfiant, à savoir, intitulé : " Homoparentalité : 18 candidats se prononcent ", ayant comme sous-titre : " PRESIDENTIELLE. Mariage et adoption pour les couples homos seront l'une des principales revendications cet après-midi à Paris de la Marche des fiertés. Un thème que tous les politiques, à moins d'un an de la présidentielle, n'ignorent pas. " Suivent les photos ( pages 10 et 11 ) des 18 candidats, avec leurs commentaires sur la question, que je vais reproduire ( seulement les photos, selon leur réponse ). J' y ajouterai, brièvement, mon point de vue :
VOICI LES POUR :
Jack Lang, Dominique Voynet, Yves Cochet, Marie-George Buffet, Olivier Besancenot, Arlette Laguiller et José Bové ( de haut en bas et de gauche à droite ).
Ségolène Royal, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius et François Hollande ( de gauche à droite )
Nicolas Sarkozy, François Bayrou
VOILÀ LES CONTRE :
Jean-Marie Le Pen, Philippe de Villiers, Christine Boutin, Nicolas Dupont-Aignant et Lionel Jospin ( de haut en bas et de gauche à droite ).
REMARQUES :
Une image vaut " mille mots ", ci-dessous, voir " deux images " ou " photos ", i.e., " deux mille mots " de " commentaire " adressés à la " réflexion " des citoyens-électeurs Français ( 30 ou 40 millions ? ) sur le choix de " leurs " candidats à l'élection présidentielle et aux législatives de 2007... !
Photos Journal Du Dimanche du 25/06/06. Gay Pride Paris - le PS, la gauche, Sarkozy-UMP et droite, même combat et revendications..!
Dieu reconnaîtra les siens, bien sûr, mais les électeurs, eux, qui rétribuent si généreusement leurs " représentants " faisant la " fête ", 365 jours par an, sur leurs deniers publics, y trouveront-ils leur compte et un " enseignement " digne de leur foi et " moralité " à leurs enfants et petits-enfants..? Il est permis d'en douter, et ce, pour maintes raisons et motifs.
En effet, il n'y a pas jusqu'à M. François Bayrou, qui ne soit pas d'accord sur le mariage homosexuel. Il est vrai que celui qui se prétend, le " fils " spirituel d'Henry de Navarre, n' est pas à une " messe près ", non seulement à Paris, où son groupe " vote à l'unisson " avec le Maire de Paris, mais encore à faire du " racolage " avec ses pseudo-ennemis de gauche. A tout égard, pourquoi se gênerait-il, puisque Ségolène proclame, au dire de ses " éléphants ", des idées de droite, voire " d'extrême-droite " (!), et alors que M. Nicolas Sarkozy, même dans la presse, a déclaré que, pour contrer Ségolène Royal, il irait encore plus loin qu'elle dans ses propositions " socialistes de gauche ". Quelle mascarade ! Les électeurs vont-ils se laisser prendre à leurs niaiseries et bouffonnerie... ! Voir...
D'un autre point de vue, plus sérieux, cette fois, et il n'y a pas grand mal pour y arriver, ne peut-on pas se mettre, ne serait-ce qu'un moment, à la place des électeurs, pour savoir si les candidats " auto-proclamés " à la présidentielle et aux législatives de 2007, correspondraient bien à un choix raisonnable, sur lequel pourrait se porter leur électorat, plutôt que de se laisser imposer des politiciens qui, une fois les élections passées, n'ont plus le moindre souci de se préoccuper des affaires publiques et de l'intérêt général et particulier de leurs " mandants ", sinon que de faire la " fête " et vivre une vie de château, aux frais de la princesse, bien entendu...
C'est dans cette vision des choses que certains pourraient se poser quelques questions, afin de faire une sorte de diagnostic et bilan de leurs bien-aimés " élus ", pour exercer leur choix, en toute connaissance de cause, ainsi :
Mme Ségolène Royal, se souvient-elle de " l'affaire Bernard Hanse ", cet enseignant acculé à un tel désespoir qu'il s'est suicidé pour avoir été accusé calomnieusement, à tort, de pédophilie, par un élève pervers, odieux et malfaisant ? Pour voir le post, sur le présent blog, avec les références de " l'affaire Bernard Hanse ", cliquez, ici. Curieusement, Mme Ségolène Royal n'a pas donné son avis sur " l'affaire d'Outreau ". Quelques mauvais souvenirs de " l'affaire Bernard Hanse ", sans doute, l'en auront empêchée..? Enfin, il est aussi très " étrange " que Mme Ségolène Royal ne se soit pas manifestée, lors de la tentative odieuse d'assassinat de l'enseignante, Karen Montet-Toutain, à Etampes, poignardée par un élève. L'attitude de M. Gilles de Robien a été tout aussi odieuse à cette occasion. Je l'ai rapporté dans un post que vous pouvez voir, en cliquant, ici.
Il est curieux, également, de constater que la gauche, le PS, " défenseurs de la veuve et l'orphelin ", n'expliquent pas à leurs électeurs, comment et pourquoi, des politiques et syndicalistes ont commis des actes de corruption graves, constitutifs de " crimes ", de concussion, de trafics d'influence, d'abus et de recels de biens sociaux, avec " l'affaire de la Mnef "... ! Pour voir le post sur cette triste et hautement scandaleuse " Affaire Mnef ", cliquez, ici.
Mais la droite n'est pas en reste : " l'amnistie de Guy Drut ", contestée, non pas sur la procédure et " forme ", mais sur le fond du droit, ce qui est gravissime, n'est qu'un passe-droit inouï, qui ne peut trouver le moindre fondement juridique, à tout un qui respecte et la " Loi " et la Constitution..! Pour voir ce post, que je vais compléter, cliquez, ici.
Et cet autre scandale, qualifié par des magistrats, comme étant la plus grosse affaire de corruption des politiques de droite et de gauche : celle des " marchés publics d'Ile-de-France "..! Pour voir ce post, cliquez, ici.
Et le scandale de " l'affaire Gaymard ". Pour voir ce post, cliquez, ici. Il faudrait des ouvrages d'au moins dix fois le volume de la " Bible ", pour relater les turpitudes et crimes de détournements des deniers publics de politiques, de hauts fonctionnaires, etc. Au lieu de prôner une VI° République, je suggère de déjà nettoyer les écuries d'Augias de la V° république de De Gaulle et de ses dignes successeurs, sachant que dix " Hercule " n'y suffiraient pas, tant ces institutions sont corrompues jusqu'à leur coeur. Enfin, c'est mon sentiment, et je puis me tromper, l'erreur n'est-elle pas " humaine "..? Prenez l'exemple d'Outreau. Il y a un tel effet surprenant de surréalisme, que certains voudraient faire passer les victimes de cette horreur, comme des délinquants, voire des criminels... L'on croit rêver, oui, mais d'un cauchemard Kafkaien...
Faut-il conclure ?
Chers lecteurs et " électeurs ", aussi, c'est à vous de conclure et de décider. Simplement, pour éclairer le débat, et pourquoi pas sur le forum du présent blog, je voudrais souligner que 70 % à 80 % des politiques, de gauche comme de droite, se sont déclarés favorables à la " Constitution Giscard " ( car, c'est bien lui qui l'a concoctée " en secret "..! ) sur l'Europe. Cette " Constitution " est " ploutocratique ", tout comme son auteur qui est un des plus grands politiques " ploutocrates et oligarques " de notre Pays. Il faut noter que le 29 mai 2005, 70 % à 80 % des élus et politiques, de gauche et de droite, en faveur du " OUI " à la " Constitution Giscard ", ont été " démandatés " et " désillégitimés " par 54, 87 % des Français. N'oubliez pas ce " fait de droit ", il est de nature à vous guider dans votre choix lors des échéances de 2007, où c'est l'occasion à saisir de renvoyer au " chômage ", certes payé en or massif de nos soi-disant " représentants " qui ne représentent " qu'eux-mêmes ", c'est-à-dire, le contraire de notre profit, mais aussi, notre asservissement et servitude, qui ne nous font pas honneur dans notre dignité d'êtres humains que nous nous efforçons de demeurer.
Article de Cécile Beaulieu - Journal " Le Parisien " du 16/06/06 p. III, cahier central
Justice/ Clamart
L'Intermarché épinglé pour manque d'hygiène..
L'INTERMARCHÉ de la rue de Picardie, à Clamart, ressemblait plus à une décharge publique qu'à un magasin d'alimentation. Mille deux cent mètres carrés envahis par la crasse, la poussière et les déchets oubliés au mépris des règles d'hygiène les plus élémentaires. Ainsi sous l'étiquette " primeurs frais garantis ", le chaland pouvait-il découvrir des bouteilles de lait et des légumes négligemment posés sur des lattes de bois pourries.
Pour répondre devant la 15° chambre correctionnelle du tribunal de Nanterre, des quelques cinquante-huit infractions relevées le 5 décembre 2003 par les services de la concurrence et des fraudes, deux hommes : Vincent et Francesco, respectivement gérant et directeur de l'établissement de Clamart. Francesco qui bénéficiait en outre d'une délégation de pouvoirs, botte en touche, se perd en circonvolutions ( ???!! Sans doute " circonlocutions "..! ) pour finir par lâcher : " On n'avait pas de contrat d'entretien pour les congélateurs et les chambres froides. Tout était pourri avec des fuites d'eau partout... Mais c'est le gérant qui avait la charge de tout cela ". Pourtant le magasin avait déjà été épinglé une première fois par l'administration, avec injonction de mettre aux normes tout ce qui ne l'était pas.
Moisissures et denrées périmées dans la chambre froide
Mais lors du second passage des agents, le 5 décembre 2003, la situation est pire encore que la fois précédente : des moisissures criblent les parois de la chambre froide où les emballages alimentaires éventrés côtoient les denrées périmées, elles-mêmes en contact direct avec les produits sains. L'atelier boucherie n'est pas en meilleur état que la réserve où les agents découvrent avec stupeur un véritable capharnaüm composé de cannettes vides jetées pêle-mêle au milieu des cartons d'emballage posés dans les flaques d'eau, et des seaux de détergent abandonnés.
Le personnel lui-même - lorsqu'il porte une tenue de travail - vaque parmi les clients en blouses souillées. Certaines portes sont rouillées, d'autres, laissent échapper la laine de verre. Explication de Francesco : " J'en avais parlé au gérant, mais il me répétait qu'il n'avait pas de sous. "
Réponse de l'intéressé : " De son temps, l'entreprise périclitait lentement... Les clients se rendaient compte de tout cela et j'en ai honte. " Le substitut du procureur, de son côté, pour lequel les faits relatés ne font aucun doute, a requis 3 000 euros à l'encontre de chacun des deux prévenus et une contravention de 20 euros pour chacune des cinquante-huit infractions constatées par les services de l'administration. Une amende de 10 000 euros, enfin, a été requise contre Vincent, la personne morale, représentant l'Intermarché. Le jugement a été mis en délibéré. Cécile Beaulieu
" 20 décembre. Un mètre quatre-vingt-dix et, politiquement, il continue de grandir. En quelques mois, pour qui l'observe d'un regard froid, M. Jacques Chirac a changé de stature. Lorsque, Premier ministre, il accéda à l'Hôtel Matignon, un propos assez répandu parmi ses adversaires politiques était le suivant : " Regardez comme il est transparent. A travers lui, vous apercevez le président de la République, et Michel Poniatowski qui l'embrasse pour mieux l'étouffer. Vous verrez : " Ponia ", avec sa carrure puissante et son corps de géant, n'en fera qu'une bouchée ! ".
C'était d'ailleurs l'époque où un dirigeant républicain indépendant s'adressait à M. Chirac en ces termes : " L'U.D.R. ? Vous risquez de vous retrouver bientôt à la tête d'une bande hétéroclite d'une trentaine d'élus. " L'analyse et les événements nous montrent que les choses se passent d'une façon tout à fait différente. Pourquoi ? Pour une raison très simple : M. Chirac n'a pas été l'artisan de la liquidation de l'U.D.R. Par fidélité et par conviction, d'abord. Par habileté, ensuite.
A quarante et un an, M. Jacques Chirac reste le personnage d'une sorte de " chevauchée fantastique " qui finira Marianne sait où. En 1967, peu avant les élections législatives, M. Georges Pompidou arrivait à Ussel où se présentait, pour la première fois, celui qui était son " jeune poulain ". Aux maires corréziens, le Premier ministre de l'époque brossa, non sans humour, le portrait de celui dont il appréciait au plus haut point, à son cabinet, les qualités d'intelligence et d'intégrité :
" Voyez-vous, Messieurs, je suis obligé de faire attention. Au train où vont les choses, si je n'y prenais point garde, Jacques Chirac aurait vite fait de me pousser hors de mon fauteuil et de prendre ma place. " A la vérité, M. Pompidou nourrissait lui-même l'ambition d'ouvrir, toutes grandes, sous les pas de M. Chirac, les avenues du pouvoir. Un autre jour, M. Pompidou racontait ceci : " Si je lui demande de creuser dans la nuit un tunnel entre mon domicile du quai de Béthune et Matignon, Chirac trouvera le moyen de le faire. Demain, à 9 h 15, il sera à la sortie du tunnel, en train de m'attendre, la mission accomplie... "
Aujourd'hui, par un phénomène rare, voici que toute la presse, d'ordinaire sceptique et frondeuse, tresse des couronnes au Premier ministre. C'est à qui vante sa fougue, son talent, son énergie, son autorité, etc. Nous n'ajouterons pas à ce concert de louanges. Simplement, nous apporterons un témoignage personnel auquel, pour ce qui nous concerne, nous attachons du poids, un modeste mais authentique témoignage : Jacques Chirac est l'homme que, au fil des ans, nous avons toujours entendu tenir le même langage. Entre nous, je ne connais pas tellement d'exemples comparables. Aussi dois-je m'empresser de le noter.
Avec M. Mitterrand dans l'opposition, qui a réussi l'extraordinaire performance du Parti socialiste, Jacques Chirac mérite le titre d'homme de l'année. "
Raymond TOURNOUX " Journal secret - une année pas comme les autres " edit. Plon
" Le garde des Sceaux envoie le juge Burgaud devant le CSM "
Le journal " Le Parisien " du 12/06/06 - p. 15
Cet article du journal " Le Parisien " du 12/06/06, une fois encore, démontre que " CLAMARTCITYWEBLOG ", dans un précédent post ( pour voir ce post, cliquez, ici ), avait raison de déclarer que M. Pascal Clément, ministre de la justice, en instaurant des " citoyens-jurés ", était non seulement courageux de reconnaître les fautes très graves et très lourdes, en matière d'atteinte " infondée " aux libertés publiques des citoyens, notamment, lors de l'affaire d'Outreau, mais aussi, que M. le ministre a été " le seul Garde des Sceaux " à se préoccuper sérieusement de renforcer les " droits de la défense ", jusqu'ici, parfois totalement méprisés par la justice, et qu'agissant de cette façon, il établissait, véritablement, pour la " première fois ", dans la V° République, un " Etat de droit ", manifestant son respect, et pour les justiciables, et pour le Peuple Français, ce qui l'honore dans toute sa grandeur ( Pour voir mon post sur Outreau, cliquez, ici ).
Voici quelques extraits de cet article :
LE MINISTRE de la Justice, Pascal Clément, a annoncé [...] qu'il saisira le Conseil supérieur de la magistrature ( CSM ) au sujet du juge Burgaud et du procureur de la République de Boulogne, Lesigne, deux magistrats largement mis en cause devant la commission d'enquête parlementaire d'Outreau. (le rapport de l'inspection générale des services judiciaires qui " innocentait " les magistrats fautifs dans l'affaire d'Outreau, n'a pas été suivi par M. le Ministre).
[...] Interrogé sur la suite à donner à l'après-Outreau et sur le rapport d'enquête des députés, le ministre a assuré qu'il y aurait une réforme de la justice avant 2007 " à partir des éléments consensuels " proposés par les élus.
[...] Pascal Clément a évoqué plusieurs des points de réforme qu'il entend retenir. Il est ainsi convaincu de l'utilité de filmer les interrogatoires lors des gardes à vue et d'enregistrer les auditions des mineurs victimes.
[...] Concernant la détention provisoire, il propose d'instaurer tous les six mois une audience publique où le dossier judiciaire serait évoqué " de A à Z ".
[...] Par ailleurs, il a ajouté que " rien ne s'opposait ", avant la fin du quinquennat, au projet de loi portant réforme du statut pénal du président ( qui prévoit la possibilité de demander des comptes au président sortant ). Un projet pourtant validé il y a deux ans et demi en Conseil des ministres, mais toujours pas inscrit à l'ordre du jour du Parlement. I.G...( Fin )
NB :Il est dommage, à mon sens, qu'à ces intéressantes suggestions, la question pourtant essentielle, la plus importante qui reste à poser, est celle de la " mise en cause " et de la " responsabilité " pénale de droit commun devant être appliquées aux magistrats ( au CSM, au Conseil d'Etat et, surtout, au Conseil constitutionnel, organismes qui ne sont que la " garde rapprochée " et " prétorienne " de la fonction présidentielle, nullement représentative de la protection des droits constitutionnels des Français, constamment violés, et notamment, la Déclaration du 26 août 1789, ainsi que par la " forfaiture " et " crime " de l'abrogation des articles : 114 - 115 - 116 du code pénal, M. Robert Badinder ayant été président du Conseil constitutionnel de 1992 à 1995 "..! ).
En effet,ces magistrats ont commis des fautes lourdes et inadmissibles, comme par exemple, dans l'affaire d'Outreau. Et parce que, si les magistrats étaient condamnés, encore plus exemplairement que les " simples citoyens ", du fait de leurs charges et devoirs de " moralité " et " d'intégrité ", qu'ils devraient observer, cependant, avec la plus grande rigueur, il n'y aurait plus d'actes de corruption, de concussion, de trafics d'influence, qui sont des " crimes " aux yeux de la Loi et de la Constitution, de la part des politiques.
Notons qu'il est constamment et volontairement " oublié " et " refusé ", par ces " magistrats " et " juristes ", de faire promulguer une loi essentielle, afin de dissimuler, parfois, " l'arbitraire " de certaines procédures de détention préventive ou de garde à vue des justiciables, loi qui exigerait la " présence " d'un avocat " obligatoire " avant toute audition ou procès-verbal d'interrogatoire d'un prévenu ou suspect, selon le " seul " système " valide démocratique authentique ", en la matière, utilisé par la procédure et code pénal américains.
A la différence de la France, le système judiciaire pénal des Etats-Unis d'Amérique, protège, lui, les libertés publiques et les " droits de la défense " de ses citoyens, au contraire de ce qui se pratique en France, pays qui n'est pas ce qu'il prétend et se proclame, à l'heure qu'il est : " Le Pays des Droits de l'Homme et des Libertés ", les citoyens Français s'en seraient déjà aperçus, et il n'y aurait pas eu , ni d'affaire Outreau, ni d'autres scandales inouïs et " crimes " contre les citoyens, comme chaque jour nous le démontre, encore plus, avec " les Affaires "...!
C'est pourquoi, je dis et le répète, que seul M. Pascal Clément, ministre actuel de la Justice, s'est préoccupé et a apporté des débuts prometteurs de solution pour réformer le statut des magisrats ( et il y a " urgence absolue " )...
Il convient de considérer tous les magistrats, comme des citoyens " ordinaires ", et tenus, encore avec plus de rigueur, d' appliquer les lois et la Constitution et être " punis " ( M. Nicolas Sarkozy a " raison " de dire que lorsque qu'il y a des " fautes " aussi graves, constitutives de " crimes ", contre les justiciables, ils doivent être sanctionnés à hauteur de ces " fautes " ou " crimes " ), comme leurs concitoyens en cas d'infraction et de crimes.
Pour se faire, il faudrait que ces fonctionnaires s'abstiennent de ne penser qu'à leur " carrière ", uniquement basée sur leur " corporatisme " et de n'avoir d'autres soucis que de préserver leurs " privilèges et immunités judiciaires et pénales ", inadmissibles, dans un Etat qui se prétend être de droit ( égalité - fraternité - liberté... ), et sur leurs aptitudes à être " gentils ", compatissants ( V. le cas de la MNEF, que je vais traiter sur ce blog, et pourquoi, une magistrate telle qu'Eva Joly a du s'en aller à l'étranger, écoeurée par le système Français de Justice..?!!! ), voire serviles, avec les politiques, parfois, " certains ", avec ceux qui commettent ces crimes " infâmes " de détournement de l'argent public, tout en prétendant qu'il n'y a pas d'enrichissement personnel..!
Je suis donc, pour le rétablissement de la peine de mort pour " tous " les fonctionnaires et assimilés ( y compris les magistrats, qui sont des fonctionnaires..! ) et les politiques s'étant livrés à des actes de corruption, de détournement d'argent public, sous toutes ses formes, de concussion, de trafics d'influence, et autres " crimes ", disons, pour être " gentils ", à partir de 100 000 euros..!
font-size: 1.2em;">Bien sûr, la Société Française est bien trop corrompue, et fait la risée de Pays étrangers, auxquels nous voulons, quelle dérision, donner des leçons de " morale ", pour avoir la moindre chance de pouvoir prétendre seulement vouloir faire cesser ou réduire cette corruption des politiques à l'état endémique et.. incurable..???
Aussi, que ces mêmes politiques, ne se plaignent pas que ce système leur revienne de plein fouet, dans les années à venir. Mais gageons que ces mêmes politiques, auront mis à l'abri, dans une belle chaumière à l'étranger, et dans quelques paradis fiscaux, leurs intérêts et leur argent, dont ils ont spolié les Français. Voilà un point sur lequel nous pouvons leur faire confiance...
j'ajoute, que ce n'est pas demain la veille que cela cessera, puisque, précisément, nombre de magistrats se considèrent au-dessus de la Loi et de la Constitution...
Bien des personnes ont " oublié ", ou, plutôt, se sont efforcées de " faire oublier " l'affaire de la Mnef... Pourquoi, oui, pourquoi..? Parce que cette " affaire " est un cas typique et démonstratif de la corruption généralisée qui a atteint la classe politique Française, dans son ensemble. Toutes les personnes en cause ont-elles été " punies " à hauteur de leurs " forfaits "..?
Non seulement, probablement, certaines ont échappé ou ont été blanchies, d'autres ont eu des peines si douces, avec sursis, de surcroît, que le contribuable et citoyen Français, modeste, sans " mandat ", ni " immunité " ou " privilège " particulier, à son corps défendant, est en droit de s'interroger sur la volonté de la Justice et de sa hiérarchie, à vouloir réellement essayer " d'éliminer ", au moyen de condamnations sévères, les politiques qui se sont rendus " coupable " de crimes de détournements de l'argent public..!
C'est sans doute sur ce triste constat et " désenchantée " que la journaliste, Nelly Terrier, du journal " Le Parisien " du 3 juin 2006, a écrit son article et dont voici les extraits :
" Du sursis au procès de la Mnef ", avec comme sous-titre : " JUSTICE. Le député PS Jean-Christophe Cambadélis et l'ancien directeur de la Mnef, Olivier Spithakis, ont été respectivement condamnés hier à six mois et deux ans de prison avec sursis dans l'affaire des emplois fictifs de la mutuelle étudiante. "
NB : " ma remarque " : Par ailleurs, j'ai lu sur un site internet, pour lequel, je vais essayer de retrouver les références, que M. Dominique Strauss-Kahn, aurait encaissé 603 000 Frs d'honoraires pour " conseiller " la Mnef, et que celui-ci a, finalement, été blanchi, c'est vraiment de la chance pour lui. Les justiciables " ordinaires ", souhaiteraient, j'en suis persuadé, avoir la même " chance " dans leurs procès..!
" [...] SUR SON BLOG, l'élu Cambadélis fait campagne toute l'année pour lui-même et ses chefs de file, Lionel Jospin et Dominique Strauss-Kahn. Ainsi peut-on lire depuis deux jours des propos à charge contre la sortie de Ségolène Royal, celle qui sème le trouble dans le camp de la gauche en préconisant l'ordre et un encadrement " militaire " pour les délinquants. Réactif et combatif dans la bataille politique contre celle qui prône " l'ordre juste ", le député du XIX° arrondissement de Paris est moins prompt à aborder son sort judiciaire. Hier, en fin de journée, nulle trace sur son site Internet de sa condamnation, tombée quelques heures plus tôt, à six mois de prison avec sursis et à 20 000 euros d'amende pour avoir perçu de 1991 à 1995 la somme de 94 500 euros ( 620 000 Frs ) d'une filiale de la Mnef, la mutuelle étudiante au coeur du scandale politico-financier qui a secoué la " génération Mitterrand ". Une condamnation plutôt clémente - et surtout amnistiable - là où l'élu aurait pu se voir infliger une peine d'inéligibilité et où le parquet avait requis huit mois avec sursis et 50 000 euros d'amende.
Plus de 1 million d'euros de dommages et intérêts
Hier, la 11° chambre du tribunal correctionnel de Paris a donc rendu son verdict après un mois de procès en mars. Dans le prétoire, des secrets avaient été déballés sur la manière dont la mutuelle avait été utilisée, des années durant, comme pompe à finances pour le PS, notamment en versant des salaires fictifs. Outre Jean-Christophe Cambadélis,[ passage censuré et supprimé sur " pression " menaces et injonction par une tierce personne (cabinet d'avocat..!)]
Les peines les plus lourdes ont été prononcées à l'encontre de ceux qui versaient les salaires, à savoir les anciens responsables de la Mnef. L'ex-président Jean-Michel Grosz a été condamné à deux ans avec sursis et 150 000 euros d'amende. L'ancien directeur général, Olivier Spithakis, lui, a écopé de deux ans avec sursis et de 50 000 euros d'amende. Il avait avoué devant les juges les salaires " militants " qu'il versait aux associations satellites du Parti socialiste, SOS racisme ou encore l'Unef-ID, le syndicat étudiant.
Spithakis a déjà été condamné en décembre en appel à trois ans de prison dont dix-huit mois avec sursis, dans le dossier des détournements de fonds opérés au préjudice de la mutuelle. Ce volet est actuellement devant la Cour de cassation. Concernant les vingt-cinq autres prévenus, le tribunal a prononcé des peines avec sursis et sept relaxes. Plus de 1 million d'euros de dommages et intérêts devront être versés aux parties lésées, notamment au mandataire liquidateur de la Mnef.
Lors des réquisitions fin mars, le procureur avait dénoncé " l'instauration d'un système clanique " et une gestion relevant surtout " d'une tribu chargée de distribuer des prébendes ". Le scandale de la Mnef avait éclaté à la fin des années 1990 et avait obligé en 1999 le ministre des Finances Dominique Strauss-Kahn à démissionner quand son nom avait été cité dans la procédure. Il avait été plus tard blanchi dans ce dossier. A cette époque de cohabitation, le gouvernement socialiste avait été obligé de répondre aux députés à l'Assemblée nationale. " Y a-t-il eu un financement politique du Parti socialiste par la Mnef ? La réponse est catégoriquement non ", avait soutenu un ministre. Hier, le tribunal correctionnel de Paris a démenti ces propos. Nelly TERRIER "
AUTRES ÉLÉMENTS D'INFORMATION : Presse et divers...
Le scandale de la MNEF et des ministres " responsables "..!
Le texte ci-dessous est extrait du livre " L'OMERTA FRANÇAISE " de
Sophie Coignard et Alexandre Wickham - edit. Albin Michel :
[...] La MNEF ? Le scandale auquel plusieurs caciques du PS sont mêlés éclate en 1998. Mais il attend en coulisse depuis un moment... Quatorze ans exactement. A deux reprises, la Cour a préféré enterrer le dossier. En 1983, un premier rapport dénonce des frais de personnel exorbitants, un déficit abyssal et quelques privilèges bien éloignés de la vie quotidienne de l'étudiant moyen. Les erreurs de gestion relevées sont si impressionnantes qu'on décide, dans un premier temps, de déférer le président et le directeur général de la MNEF devant la Cour de discipline budgétaire et financière ( CDBF ), une sorte de banc d'infamie dans le monde en général assez indulgent des ministères.
Pierre Bérégovoy, ministre des Affaires sociales, en est informé par le premier président Jean Rosenwald, par écrit. Il est prévu d'insérer, pour l'exemple, le rapport sur la MNEF dans le rapport public annuel de la Cour, cuvée 1984. Puis, plus rien. Le rapport ne sera jamais rendu public, les dirigeants de la MNEF jamais déférés devant la CDBF. Comment l'Élysée et Matignon, inquiets de voir cette base arrière du PS mise à nu, s'y sont-ils pris pour réduire au silence les têtes brûlées de la rue Cambon ? " Secret Cour ".
Les années passent. Et, au hasard du calendrier des contrôles, voilà l'affaire qui resurgit en 1998. Le nouveau-rapport est toujours aussi accablant. Il souligne le taux d'anomalies de gestion anormalement élevé, puisque trois fois supérieur à celui de la Sécurité sociale. Et puis il y a l'aspect le plus explosif de l'affaire : les filiales de la mutuelle. Ce sont en effet elles qui ont financé certains caciques du PS. Vont-ils être inquiétés ? Le traitement de cet aspect du dossier n'est initialement pas prévu. Sous la pression des médias, l'omertà administrative va reculer. On s'attaque sans enthousiasme au coeur du système. Habituellement, c'est toujours en effet vers les filiales, les sociétés prestataires de services, bref les entreprises périphériques liées à l'institution contrôlée que s'opèrent massivement les détournements de fonds. [...]
Un article de presse : " LA MNEF ENTRE ARGENT SALE ET SERVICES
SECRETS - Le procès qui peut tuer Lionel Jospin ", de Lucien Valdès - "
minute " du 15/03/06 - n° 2248, peut aussi " éclairer " le débat...
Extraits.
[...] " C'était le 4 février 2001. Ce jour-là, le jour de son rendez-vous avec les policiers de la brigade financière, rue du Château-des-Rentiers à Paris, un homme de quarante-sept ans, en charge du développement de la Mnef, s'est suicidé. Il avait été mis en examen quelques mois plus tôt pour " recel de détournement de fonds publics ". L'édition du " Monde " du 21 février 2001 a signalé sa disparition en huit lignes. Et puis... Et puis le trou noir, pendant cinq ans.
AVIS AUX LECTEURS
Chers amis et lecteurs, j'ai été stupéfait et surpris qu'une tierce personne (cabinet d'avocat) me fasse pression, me " menace " d'un procès en diffamation, si " je ne retirais pas cet article ". Or, comme vous pouvez le remarquer, je ne fais que " reproduire " des articles de presse ou extraits de livres d'auteurs, en prenant bien la précaution d'indiquer au-dessus et au bas de ces articles et extraits, les références de ceux-ci, ainsi que leurs auteurs. Donc, je vous invite, chers lecteurs, pour en savoir plus, de vous adresser au journal " Minute " et de lui demander de vous envoyer cet article sur la MNEF, journal " Minute " du 15/03/06 - n° 2248.. De cette façon, vous serez à même de résoudre et élucider cette très étrange affaire... Merci d'avance. Amicalement.
C'est bien connu, les cadavres remontent toujours à la surface. Il suffit d'attendre. En l'espèce, l'attente a duré cinq longues années pour qu'on parle à nouveau du " suicidé " ******. Et l'homme qui voulait tout balancer aux juges avant de se balancer dans la Seine, devrait occuper les esprits au cours des semaines à venir.
Et puis il y a également ces dizaines de cartons d'archives au contenu pour le moins explosif dont on est toujours sans nouvelles et qui racontent l'histoire de la Mnef depuis sa création en 1948 : on y trouve des instructions à en-tête de différents ministères dans le financement et le soutien occulte de tel ou tel député de gauche... comme de droite, la période mitterrandienne étant plus fournie en missives. " Ce serait un excellent matériau de base pour une sorte de Livre noir du gratin de la politique française qui a bien vécu sur le dos des étudiants depuis cinquante ans ", s'amuse Daniel, qui a pu consulter quelques beaux spécimens de lettres.
Avec son bagout et son absence totale de morale, c'est Olivier Spithakis qui en parle le mieux. Pour lui, les salaires occultes versés à des permanents de FO et de la CFDT étaient " une pratique courante ", mieux : " une contribution au dialogue social ". Que ces choses-là sont dites avec élégance... La réalité était pourtant plus prosaique avec des jeunes gens censés être étudiants, " cachetonnés " selon les circonstances, c'est-à-dire les manifs, le tout sans aucun contrôle comme l'a démontré l'enquête.
D'ailleurs à propos du financement occulte de SOS Racisme, le patron de la mutuelle verse carrément dans le lyrisme : " Participer au financement de la lutte contre le racisme fait partie du bien-être moral de la jeunesse. L'histoire de la Mnef est intimement liée avec SOS Racisme. " Que de générosités devant la Cour pour un homme d'affaires aujourd'hui établi à Barcelone et reconverti dans le commerce... des machines à sous !
Spi conseille en effet Pefaco, un groupe présent dans le monde entier, qui a cette curieuse particularité de recycler très loin de la France des personnalités gênantes. Le chargé de mission de Pefaco pour l'Amérique centrale n'est autre qu'Alain Orsoni, l'ancien leader nationaliste corse.
L. V.
Autre document
cliquez, ici chronologie de l'affaire Mnef jusqu'en 2001
Observatoire des subventions Un site des plus utiles à consulter sérieusement dénonçant les dérives scandaleuses et impunies de nos politiques - Devise : Surveiller-Informer-Alerter !
Ras-le-bol citoyen Nouveau site. Jean-Michel Ménard d'Andurain pose les bonnes questions à nos élus et politiques...
Le site officiel de Bernard Lugan L'Afrique réelle telle qu'elle est - Politique et société. Revue par abonnement internet - un auteur et historien remarquable
Ligue du midi Richard Roudier, un magnifique et courageux patriote qui défend les Français !
Harkis.com Informations intéressantes sur le monde politique et " affaires harkies "
le Cercle Algérianiste Un site capital et indispensable pour comprendre la guerre d'Algérie et l'abandon " criminel " des Harkis au FLN par la France et ses états-majors supérieurs de commandement des Armées
Bab el Oued story Excellent site d'information sur l'Algérie politique et historique
Mon Harki Très bon site d'informations et de défense des droits des harkis à la reconnaissance de la patrie.
Mouvement national de Résistance harkie Coordination nationale des mouvements de résistance harkie pour faire valoir leurs droits légitimes à la reconnaissance de la Patrie
Rue 89 Informations " people " façon " Rue 89 ". Cependant, exception faite pour l'affaire Boulin ! Bravo pour la réouverture du dossier...
la feuille de manioc le triste bilan de Vincent Bolloré au Cameroun et des francs-maçons !
France-Israel Excellent site - relation des politiques française et israélienne - Les Israéliens, eux, sont vraiment les amis de la vraie France et des vrais Français, au contraire de nos politiciens.
CLAMOCHE INFO Un site devenu un petit peu plus accrocheur, en regard des élus et politiques-croupions du maire PS-UMPS-Modem-PS-Radical. Hélas, influencé par le site le plus " trash " de Clamart.
Le Collectif JAMAC Bien que ce site soit non-classé " politique ", il l'est cependant par destination et le but qu'il poursuit : Dénoncer les " crimes ", délits et sévices dont sont victimes les enseignants. Ce site est capital de par son positionnement pour lutter contre " l'inertie " des pouvoirs publics, en la matière et l'espèce..!
Homo-numericus.net La stupéfiante affaire " Les conséquences politiques de l'affaire yahoo ". Où des associations font " imposer ", par la justice française, en violation du droit des Etats-Unis, des " filtres " d'accès, d'interdiction et de dénonciation, de fichage et d'enregistrements informatisés, sur Yahoo France et Yahoo inc. (USA).
Groupe Information Asiles Groupe Information Asiles : association de lutte contre l'internement psychiatrique abusif et arbitraire, conséquences, recours et contentieux
ALGÉRIE-FRANÇAISE La recherche de la vérité sur l'Algérie Française et sur la politique politicienne d'abandon du régime gaulliste, les massacres, et " crimes ", commis sur des Français civils et musulmans, pendant la période de guerre en Algérie, jusquà l'indépendance, et des conséquences qui s'en suivirent.
Homo-numericus.net Excellent site de Pierre Mounier. De haute volée. Traite des " conséquences politiques de l'affaire yahoo " ou la défense des libertés sur le web contre la censure politique exercée au moyen des technologies de l'informatique. Réseaux de savoirs et pyramide du pouvoir..
Site internet de canevet ( droit et internet ) consultez le site de canevet, pour avoir le détail et commentaire de " l'affaire Yahoo France " et des atteintes et suppression des droits et libertés sur internet