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L'affaire Roger Delpey " Prisonnier de Giscard " ( d'Estaing ), l'Afrique, diamants, Bokassa, lettres de cachet, attentats à la Constitution et aux Libertés publiques, l'Etat-Barbouzes..???
Roger Delpey
PRISONNIER
DE GISCARD
Les juridictions d'exception sont appelées ainsi parce que c'est par exception que la justice y est rendue.
Bokassa parle - Giscard aime les diamants..! Ce dernier - Opération " Barracuda ", s'empare de ... 14 000 diamants !
LETTRE OUVERTE A UN ANCIEN PRÉSIDENT QUI BRÛLE DE LE
REDEVENIR
Photo du verso de la couverture du livre " PRISONNIER DE GISCARD ", par Roger Delpey - edit. Jacques Grancher
" Selon une rumeur parvenue aux Françaises et aux Français, vous vous tenez en réserve de la République et vous avez la volonté de poursuivre un destin national interrompu le 10 mai 1981.
Il est arrivé souvent aux Françaises et aux Français d'avoir la mémoire courte, et il leur est arrivé parfois de se déjuger, mais leur refus de vous voir assumer plus longtemps la magistrature suprême est si proche que la persistance de votre ambition serait, selon moi, une provocation ou, plus encore, un défi lancé à leur sens du devoir et de la responsabilité.
Si, en raison de l'inflexible sanction des urnes, vous aviez accepté de vous éloigner de la chose politique et de vous taire, j'aurais, moi aussi, " laissé les choses basses mourir de leur propre poison ". Mais votre choix n'étant pas celui-là, souffrez qu'à mon tour je m'adresse à l'opinion publique française pour la mettre en garde contre un homme qui n'est pas au-dessus de tout soupçon.
Car, vous semblez l'oublier, votre défaite électorale a été précipitée par de graves manquements à l'honneur et à la responsabilité, en raison d'actes sur lesquels, jusqu'à ce jour, vous vous êtes refusé à vous expliquer, à vous justifier. En effet, Je vous accuse d'avoir donné l'ordre à un service secret français de monter une opération de " désinformation " destinée à déstabiliser le régime de l'empereur Bokassa qui avait cessé de vous plaire et, avec la complicité de quelques organes d'information, d'avoir abusé l'opinion publique française et internationale, au moyen d'une campagne d'affabulations et de mensonges.
Je vous accuse d'avoir manipulé les cinq juristes africains de la " Mission de Constatation des Evénements de Bangui ". Ceux-ci, au terme de leur enquête, le 21 juin 1979, avaient conclu à la non-participation et à la non-responsabilité de Bokassa dans les " massacres " de Bangui mais, après un séjour à Paris, ils ont modifié leur rapport et conclu à sa participation, à sa responsabilité.
Je vous accuse d'avoir usé de pouvoirs non contenus dans la Constitution française pour imposer de vive force comme chef d'Etat au Centrafrique Monsieur David Dacko, un homme qui, après avoir plongé son pays dans l'anarchie politique et économique, avait remis ses pouvoirs entre les mains de Bokassa, le 1° janvier 1966.
Je vous accuse d'avoir donné l'ordre à des unités militaires françaises et à de très spéciaux services d'action, de dérober les archives impériales et gouvernementales, à Bangui, et les archives personnelles de Bokassa, à Bérengo. Ces archives, ramenées en France, ont été dissimulées et le sont encore alors qu'elles appartiennent au Centrafrique et sont, selon l'éthique de l'histoire, la mémoire de ce pays et de son peuple.
Je vous accuse d'avoir été le complice des vols opérés à l'intérieur du palais de Bérengo, résidence de Bokassa, mise à sac par les hommes d'un groupe d'intervention spécialement entraînés pour l'accomplissement de cette tâche et qui se sont emparés de 14 000 diamants, de bijoux, de valeurs, de fonds ( francs C.F.A., francs suisses, dollars, etc. ) trouvés par eux dans la place.
Je vous accuse d'avoir fait enlever les archives, documents administratifs et comptables de la " Taillerie Nationale du Diamant ", dont le siège est à Bangui, dans le but de faire disparaître une partie des correspondances et des notes concernant la remise de diamants par Bokassa à plusieurs membres de votre famille et à vous-même.
Je vous accuse d'avoir reçu, à plusieurs reprises, de Bokassa, de nombreux diamants de qualité. En raison de leur importante valeur, ces dons ne peuvent être assimilés aux cadeaux qu'échangent les chefs d'Etat. Et s'ils vous font le débiteur de Bokassa ils vous font, plus encore, le débiteur de la nation française à laquelle, avec morgue, vous refusez la vérité.
Je vous accuse de racisme à l'égard de Bokassa en raison de votre refus de faire droit à sa requête du 20 décembre 1980, par laquelle il vous suppliait de l'aider à comparaître devant une Cour de justice internationale afin qu'il puisse se défendre. Je vous dénie, par ailleurs, le droit de prétendre être partie prenante dans un quelconque " monopole du coeur " parce que vous avez trahi cet homme qui vous avait donné sa confiance. Vous l'avez poignardé dans le dos et, usant d'un procédé misérable, vous l'avez tenu prisonnier pendant trois jours et trois nuits sur une piste de la base aérienne d'Evreux. L'Etranger a vu dans cet acte un manquement à l'honneur et les pays africains, très justement, un geste de racisme.
Je vous accuse d'avoir utilisé à vos propres fins l'organisation judiciaire de notre pays pour que soit délivrée à mon encontre une " lettre de cachet " ayant pour but de me réduire au silence. D'avoir permis à la D.S.T. et à la Cour de Sûreté de l'Etat d'accomplir une basse besogne, en lançant contre moi une campagne destinée à me disqualifier afin que soit préservée votre " respectabilité ".
En octobre 1980, vous étiez Président de la République et, par votre volonté, Bokassa était soumis à une étroite surveillance, à Abidjan, tandis que j'étais moi-même détenu à la prison de la Santé. Deux années plus tard, en octobre 1982, vous n'êtes plus Président de la République, Bokassa jouit d'un régime de semi-liberté et moi d'une totale liberté. Or, cet ordre des choses est aujourd'hui perturbé par l'ambition qui vous est prêtée de vouloir revenir aux affaires, et, peut-être même au Pouvoir.
Cela vous sera interdit tant que vous n'aurez pas répondu aux accusations portées contre vous, et ci-dessus énumérées. Elles tendent à démontrer, nul ne peut s'y tromper en fonction de la haute charge qui a été la vôtre, que vous vous êtes rendu coupable de forfaiture : ce crime politique consistant à abuser de sa fonction pour une action contraire à la Constitution ou aux intérêts du pays.
Bokassa et moi-même sommes prêts à soumettre à une Commission d'enquête, devant laquelle, nous le pensons, il vous plaira de comparaître, près de deux cents documents. Nous sommes également prêts à désigner à cette Commission des témoins liés aux événements et aux faits indiqués dans chaque argumentaire de chacune de nos accusations.
Ceci étant porté à la connaissance de l'opinion publique, il vous appartient de faire savoir aux Françaises et aux Français si le temps est venu, pour vous, de reconnaître vos fautes et, pour eux, de vous renouveler, ou non, leur confiance. [...] "
1979 - " Opération Barracuda " - Giscard envoie les parachutistes à Bangui
déposer Bokassa - s'empare, entre autres, d'un butin de... 14 000 diamants !
AU NOM DES ARTICLES 80 ET 698... ET DES AUTRES
Je suis engagé dans la rue Spontini et j'ai progressé d'une cinquantaine de mètres quand une voiture surgit dans mon dos, s'arrête brutalement à ma hauteur. Deux hommes bondissent sur le trottoir et m'encadrent. Le plus âgé m'interpelle :
-- Vous venez bien de l'Ambassade de Libye ? -- Oui. Et alors ?
Il ne me répond pas mais, imité par celui qui l'accompagne, me présente une carte de police. Il est commissaire divisionnaire; son nom est Raffaelli. Son collègue est commissaire; son nom est Chabaud. Les deux portières de la voiture, côté trottoir, sont ouvertes. A l'intérieur du véhicule, deux hommes assis sur la banquette avant regardent dans notre direction. J'interroge :
-- Il n'est pas interdit d'aller à l'ambassade de Libye ? -- C'est de cela que nous devons parler avec vous. Vous devez nous suivre.
D'un geste de la main, le policier me désigne la voiture, m'invite à prendre place sur la banquette arrière. En une fraction de seconde je réfléchis et détermine que n'ayant rien à me reprocher, le plus simple est d'obtempérer. Je monte dans la voiture où je suis immédiatement flanqué, sur ma droite et sur ma gauche, de mes deux " kidnappeurs ". Le commissaire Raffaelli, stature élancée, chevelure grisonnante, me questionne :
-- Avez-vous une déclaration à faire ? -- Non. Absolument pas.
J'ai répondu cela car je pense qu'il s'agit d'un malentendu appelé à être rapidement dissipé. Immédiatement, aussi, j'imagine qu'il résulte de mes activités liées à l'affaire Bokassa. La voiture remonte l'avenue Foch et je regarde les frondaisons épanouies sous le soleil. Suis-je ému par ce qui m'arrive ? A peine. Je serai pourtant choqué quand le policier assis à droite du conducteur dira dans son radio-téléphone : " Ça y est, nous l'avons ! " Je ne sais pourquoi, mais cette formule me paraît cavalière, alors qu'elle était simplement préfigurative de ma situation à venir.
La vision de l'avenue des Champs Elysées, de la rue du Faubourg Saint Honoré, du ministère de l'Intérieur est effacée au profit de celle, fugitive, du palais de l'Elysée, puis de la rue des Saussaies que prolonge la rue Cambacérès. C'est à l'entrée de cette dernière que la voiture s'arrête. Mes trois accompagnateurs exécutent un petit ballet au centre duquel ils m'insèrent. Ainsi " cornaqué ", je franchis une porte cochère surveillée par un gardien de la paix et gravis un escalier jusqu'au dernier étage de l'immeuble. Au passage, j'enregistre que l'ascenseur est en construction ou en réparation.
Au dernier étage, mon arrivée ne passe pas inaperçue. J'étais attendu. J'observe pour la première fois une curiosité dans le regard des présents, une curiosité à laquelle, à défaut de m'habituer, il me faudra apprendre à me soumettre. Je suis conduit dans un bureau où nous rejoint un homme de taille moyenne, au visage rond, dont les yeux sont comme à l'abri derrière des lunettes. Je suis en présence du commissaire divisionnaire, sous-directeur et contrôleur général Jean Baklouti. Il m'observe quelques secondes avant d'engager le dialogue :
-- Savez-vous où vous vous trouvez en ce moment ? -- Non, pas du tout. -- Vous êtes à la Direction de la Surveillance du Territoire. -- Ah ? Mais pourquoi ? -- Parce que vous êtes soupçonné d'intelligence avec une puissance étrangère... Avec la Libye. -- Comment ça ? Jusqu'à preuve du contraire les Français peuvent se rendre à l'ambassade de Libye. D'ailleurs, il y avait bien une vingtaine de personnes en même temps que moi, ce matin. La France commerce avec ce pays et, que je sache, son ambassade n'a pas été déclarée ambassade ennemie par le gouvernement français. Ma présence et ma démarche à l'ambassade de Libye sont motivées par une intervention en faveur de l'empereur Bokassa, de nationalité française, ancien combattant de l'armée française.
-- Cela, c'est l'enquête qui l'établira ou non. Vous avez été interpellé car il pèse sur vous de graves présomptions concernant vos liens très particuliers avec des services libyens. Je vous demande de prendre connaissance du texte qui vise vos activités.
Le commissaire Baklouti me tend un document que je parcours des yeux avant de m'étonner :
-- Mais ce texte ne fait pas mention de mon nom ! -- Cela n'est pas utile. Il nous autorise, vous l'avez lu, à agir dans le cadre de l'action propre à la Direction de la Surveillance du Territoire. Il nous faut savoir si vos activités tombent sous le coup des articles 80 et 698.
J'ai alors, une réaction qui, paraît-il, est classique en une telle circonstance. J'interroge :
-- Est-ce que je peux téléphoner à un avocat ? -- Non, la loi ne vous autorise pas à le faire. -- Est-ce que je peux téléphoner chez moi, car mon épouse m'attend et va s'inquiéter ? -- Ça non plus n'est pas autorisé. Mais vous la verrez, puisque nous devons nous rendre à votre domicile pour y pratiquer une perquisition. Je dois vous informer qu'en raison des nécessités de l'enquête vous êtes dès maintenant placé en garde à vue. Nous allons, d'abord, procéder à un interrogatoire d'identité.
Un quatrième homme, un inspecteur vraisemblablement, est appelé. Il s'installe devant une machine à écrire et enregistre ce qui est porté sur ma carte d'identité. Depuis mon entrée dans le bureau, je suis debout, de même que les policiers. Le commissaire Baklouti reprend :
-- La garde à vue exige que vous soyez soumis à une fouille à corps. Je ne la crois pas utile. Je vous demande simplement de mettre le contenu de vos poches sur le bureau qui est devant vous, sans rien omettre. Peut-être avez-vous beaucoup d'argent sur vous... Nous allons voir ça ! ".
L'observation, et surtout le ton employé, m'étonnent. Une idée me traverse l'esprit : ce policier me laisse entendre clairement que mon passage à l'ambassade de Libye est lié à une question d'argent. Je ne me trompe pas car il s'empare vivement d'une carte-adresse que je viens d'extraire d'une poche et ajoute :
" Nous pouvons aussi trouver le numéro d'un compte bancaire inscrit quelque part. Un compte bancaire qui nous réserverait des surprises... ".
Je pose sur le bureau la chemise de carton que je tiens à la main depuis ce matin quand j'ai quitté mon domicile, un porte-cartes, un peigne, un crayon-feutre, un carnet d'adresses, deux cent trois francs, en billets et pièces. Manifestement, la modicité de cet avoir déçoit le policier qui, par réaction, épluche le contenu de mon carnet d'adresses avant d'ouvrir la chemise de carton où sont rangés des textes destinés à être photocopiés. La lecture de ces textes retient son attention, et il y a de quoi; ce sont les doubles de deux notes envoyées à Bokassa et à son ami Robert, dont l'objet est expliqué par ailleurs. Deux yeux brillants se lèvent vers moi, se tournent vers les autres policiers avant de revenir aux textes. Un temps, et je suis invité à m'asseoir sur une chaise.
-- Vous devez les lire, précise-t-il, et si vous êtes d'accord avec leur contenu, vous devez les signer au bas de chaque page. Les voici, dans leur authentique brièveté :
1° Procès Verbal ( 11 h 40 ) 10 Mai Raffaelli Antoine ( commissaire Divisionnaire ) " Conformément aux instructions reçues, assisté du commissaire Chabaud Alain, de notre service, et après avoir constaté qu'un individu de sexe masculin est issu seul et à pied à onze heures vingt du numéro deux de la rue Charles Lamoureux, Paris 16°, siège de l'ambassade de Libye, dénommé également Bureau Populaire Libyen. [...]..." ( A suivre... )
Voir aussi le post sur les causes de " l'Opération Barracuda ", cliquez, ici :
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