« CLAMART News - Video - Actualités - Les politiques, les municipales de 2008 approchant, vont quémander leurs suffrages aux 400 associations du Forum du 8 septembre 2007..! |
Accueil
| Ph. kaltenbach, maire PS de Clamart, est-il un émule de Bertrand Delanoë en matière de " communication "..? (propagande personnelle avec l'argent public, des dizaines, centaines de M € !) Aperçus..! »
En effet, " Le Parisien " du 13/09/07 rejoint et " confirme ", sur de nombreux points, l'analyse de " Clamartcity.blogs.com, d'avant les législatives de juin 2007, comme quoi, pour Clamart, Philippe Kaltenbach, avec 493 voix d'écart et de retard, seulement, a démontré qu'il était en mesure de battre " facilement ", une véritable promenade de santé, l'ancienne droite conservatrice, " La plate-forme Clamart 2007 ", dite " UMPS ", battue en 2001, ainsi que son alliée UDF, également battue à cette époque. Ce " Centre mou " (désormais, " Modem-PS "), par conviction et " intérêt ", lui aussi, étant la classe la plus conservatrice, avec les " Bobos " et notables socialistes et de gauche (tendance Ph. Kaltenbach), mais coopérant, à plus de 44 % quand même (1458 voix environ !), avec M. Philippe Kaltenbach, maire PS de Clamart.
Depuis, cette période significative et indubitabe, révélée en juin dernier, il ressort, sans équivoque, des chiffres et résultats de cette élection que, " La plate-forme Clamart 2007 UMPS ", ayant des comptes à régler, à l'encontre de M. Philippe Pemezec, tout comme son allié, le " Modem-PS ", pour des querelles de pouvoir et de boutique politicienne, pour savoir qui serait " calife ", en 2008, ayant une haine inexpiable envers l'UMP " officielle " locale, a fait voter, en masse, dans sa quasi-totalité, contre M. Philippe Pemezec, député-maire sortant du Plessis-Robinson, en faveur de M. Philippe Kaltenbach, maire PS de Clamart. Des preuves, encore que beaucoup ont été effacées par " prudence ", restent visibles sur le site public de " Clamart 2007, La plate-forme UMPS ", et aussi sur le présent blog, voir, notamment, le post intitulé : " POLITIQUE. A Clamart la politique ne chôme pas en août ! Mme Quillery tête de liste du " Nouveau Centre " en 2008 ?! Municipale de 2008 ! Le Scoop ! Et le choc, à Clamart..! ". Pour voir ce post, cliquez, ici :
" Ces villes déjà en campagne "
Un article du journal " Le Parisien " du 13 septembre 2007
A Clamart
Le maire sortant, le socialiste Philippe Kaltenbach, affrontera un certain Jean-Didier Berger. Militant UMP âgé de 26 ans, celui qui compte ravir la ville à la gauche n'est autre que le directeur de cabinet de Philippe Pemezec, député-maire UMP du Plessis-Robinson. L'hostilité entre les deux hommes risque donc de se cristalliser en mars prochain, à Clamart.
Philippe Pemezec ne tarit pas d'éloges sur son poulain, " un homme intègre et de taille pour débarrasser Clamart de Kaltenbach. Avec lui, on peut reprendre cette ville. D'ailleurs , Kaltenbach n'a rien gagné sur sa commune depuis les dernières municipales... ". En face, Philippe Kaltenbach mise sur une droite divisée - l'adversaire UMP, un représentant du Modem (Modem-PS !) et vraisemblablement un candidat divers droite (NB - clamartcity.blogs.com : je suis obligé, ici, de m'interroger. Il serait par trop comique, que " la plate-forme Clamart 2007 UMPS ", soit prise pour " divers droite..! ") - et sur son bilan.
" En six ans, nous avons réveillé la ville, et ce, sans augmenter les impôts, tonne le maire PS. La droite reste forte à Clamart mais elle ne propose rien. Elle n'est pas crédible. " En 2001, Philippe Kaltenbach l'avait emporté d'un millier de voix, faisant ainsi basculer la ville de l'UDF au PS. Depuis, Sarkozy est arrivé en tête à la présidentielle et, quelques semaines plus tard, le maire de Clamart échouait à la députation face à ... Philippe Pemezec. En mars, c'est bel et bien à une revanche via Jean-Didier Berger que vont se livrer les deux hommes.
Petite rétrospective, au Conseil municipal, le 29/01/2003,
de la gestion financière de la devenue " La plate-forme Clamart 2007
UMPS " et de son associé, devenu le " Modem-PS " ( EXTRAITS ).
MAIRIE DE CLAMART (HAUTS DE SEINE) ________ CONSEIL MUNICIPAL CM du 29 janvier 2003 COMPTE RENDU INTEGRAL DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 29 JANVIER 2003
Adopté à la majorité lors de la séance du 25 juin 2003 Par suite d'une convocation en date du 20 janvier 2003, les membres composant le Conseil municipal de CLAMART se sont réunis à la Mairie de CLAMART à 20 h 30 sous la présidence de Monsieur Philippe KALTENBACH, Maire de Clamart.
ETAIENT PRESENTS : M. KALTENBACH – Mme CAPEZZUOLI – M. SEYLER – Mme POIRIER – Melle SALVAT – Mme DERETHE – MM. KARAKOZIAN – JOURDAN – Mmes MORGERE – DENNOUNE – MM. LEHOUX – VAUCLAIR – WALDTEUFEL – LUTAUD – PELLOQUIN – Mme LOISEL – M. AUBINEAU – Mme RAKOFF - M. MEIER – Mme CHABRAN - M. ROUGIER – Mlle LABONDE – M. GAZEILLES – Mme GEFFROY – Mlle KEHYAYAN - M. FAYOLLE – LOLOUM – COCHIN – Mmes SIRON – HEURTIER – Mlle DESVEAUX - MM. MARIONNAUD – PASTRE - Mmes HUARD – LAMBOTTE – M. LEON – Mme QUILLERY - MM. DELOM - VANNEREUX.
Lesquels forment la majorité des membres en exercice et peuvent délibérer valablement en exécution de l'article L.2121-7 du Code Général des Collectivités Territoriales. ABSENTS EXCUSES AYANT DONNE POUVOIR : M. CLEMENT à Mme DERETHE Mlle RUBAL à M. AUBINEAU M. NACHON à Mme HEURTIER Mme TAILLANDIER à M. MARIONNAUD
EXTRAITS
Monsieur WALDTEUFEL pense que la gestion d’une Ville doit être claire, rigoureuse, efficace et énergique. Les observations de la Chambre Régionale vont au-delà de la forme. Elle conclut que la gestion de la Ville sur cette période n’a pas été assez claire, rigoureuse, efficace et énergique. C’est un enseignement qui doit être gardé.
Au-delà des polémiques du passé, Monsieur le Maire constate que ce qui reste ce sont des chiffres éloquents. Jusqu’en 1998, la Chambre Régionale indique que les finances de la Ville étaient acceptables. Aussitôt que la dette a été épongée, on se retrouve avec 65 MF à récupérer. La Ville étale sur 5 ans la charge correspondante, soit 2 M€ en 1999, 1,88 M€ en 2000 et 1,95 par an de 2001 à 2003.
Il est certain que cet argent aurait été bien mieux utilisé sur d’autres dossiers comme la cuisine centrale, les parcs de stationnement touchés par l’amiante ou des travaux de rénovation des bâtiments municipaux. Sans doute que les erreurs permettent d’avancer mais il est préférable de les éviter surtout lorsqu’elles se soldent par un trou financier de cette ampleur. Sur le marché de construction du Conservatoire toutes les arguties sont utilisables mais la Chambre Régionale des Comptes est particulièrement claire lorsqu’elle affirme qu’elle comporte « des anomalies à chaque étape de la procédure et d’exécution».
Monsieur le Maire indique qu’il n’a pas été très surpris par le rapport de la Chambre Régionale des Comptes car à plusieurs reprises, l’alarme avait été tirée sur les comptes de la SEMARC. Malheureusement, à l’époque il n’avait pas été entendu et des membres de l’ancienne majorité municipale l’avaient fait sans être davantage entendus. Il pense qu’il faut leur reconnaître au moins ce mérite. Monsieur le Maire estime qu’il ne faut pas recommencer ces erreurs et qu’il faut demeurer particulièrement vigilant.
Monsieur le Maire indique en ce qui concerne la demande de communication du jugement dans l’affaire qui opposait la Ville à la SCET émanant de Madame LAMBOTTE, qu’il faut se souvenir que Monsieur FOUCHER avait trouvé comme seule parade en 1999 de déclarer que «si tout a coulé ce n’est pas de ma faute mais c’est parce que j’étais mal conseillé».
Ensuite il avait décidé de faire un procès à la SCET en réclamant des millions d’indemnités. Ainsi, la Ville leur a fait un procès en s’aidant d’un Cabinet d’avocats très connu qui a réclamé des frais d’honoraires de plus de 100 000 F. En réalité sur le fond du dossier la Ville a perdu car «dans le cadre de son contrat d’assistance, la SCET est tenue d’une obligation de conseil notamment quant à la prévention des risques, cette obligation étant une obligation de moyens» et que « force est de constater que la SEMARC de 1992 à 1995 n’a jamais sollicité de la SCET ses conseils et ses avis» que «l’oubli de servitude ne peut être imputable à la SCET » et qu’ «en conséquence, il convient de rejeter les demandes de la ville de Clamart à l’égard de la SCET et de Monsieur PLUNET».
Il est vrai que lorsque Monsieur le Maire avait rencontré l’avocat qui suivait cette affaire. Il lui avait annoncé que la Ville n’avait aucune chance de gagner, qu’il s’agissait d’un procès politique et qu’il n’y avait aucune pièce dans le dossier. En effet, le contrat signé disposait d’une clause à l’avantage des promoteurs, puisque les m² commerciaux, s’ils n’étaient pas vendus au bout d’un an, devaient être rachetés par la Ville 10 000 F/m². Ceci alors que le prix du marché à Clamart était de 5 000 F/m². Il fallait s’attendre forcément à ce que le promoteur ne les vendant pas au bout d’un an se retourne vers la Ville pour qu’elle les rachète 10 000 F.
Même sans être un professionnel de l’immobilier, Monsieur le Maire estime qu’il n’est pas possible de s’engager sans se rendre compte des enjeux. Monsieur le Maire a bien été prévenu du peu de chance d’avoir gain de cause mais il a demandé de poursuivre ce procès pour ne pas être accusé de brader les intérêts de la Ville. Mais la Ville a perdu et est condamnée à payer 1 500 €. Monsieur le Maire estime être allé au bout du procès et personne ne peut lui reprocher de n’avoir pas poursuivi la démarche. L’échappatoire qui était de tenter d’accuser la SCET sans élément tangible s’est retournée contre le Maire de l’époque.
Monsieur le Maire pense qu’il ne faut pas l’accabler seul, car un Maire prend ses responsabilités mais il y a également une majorité municipale et des adjoints. Il serait trop facile pour certains de se dédouaner. A l’époque, Monsieur le Maire rappelle que les votes étaient acquis au Conseil municipal et que tous ceux qui ont voté la politique menée sur la SEMARC peuvent en assumer aujourd’hui le bilan.
Sur les éléments plus précis demandés par Madame LAMBOTTE, Monsieur le Maire lui demande de lui adresser un écrit et qu’il faudra sans doute réclamer les éléments à l’avocat. Il est aussi vrai que sur l’ensemble de ces affaires, dans les dossiers il n’y avait pas beaucoup d’archives et forcément pas beaucoup de pièces à fournir lorsque les parties les ont demandées. Monsieur le Maire souhaite rester vigilant afin de ne pas recommencer ce type d’erreur.
Monsieur LEON précise que ceux qui ont voulu faire un procès sont Madame LAMBOTTE et lui-même car ce sont effectivement des élus municipaux qui ont détecté le risque et qui l’ont chiffré. Il était de 80 MF. Ce projet a été voulu car la SCET et les banquiers à qui des questions étaient posées, répondaient que tout allait bien. Madame LAMBOTTE et Monsieur LEON ont trouvé tout à fait anormal que des personnes rétribuées et fondées de pouvoir aient attendu que ce soit les conseillers municipaux et notamment Monsieur CAPRA, qui déterminent quel était le trou à payer.
Monsieur LEON explique que sans réponse de part de la SCET, ils ont monté une opération contre elle car il apparaissait anormal que leur soit répondu qu’il s’agissait de la responsabilité des élus. Ils souhaitaient que le droit parle. Mais Monsieur LEON pense que dans cette affaire, le Cabinet d’avocats qui a été mandaté n’a pas voulu se fâcher avec la Caisse des Dépôts et par conséquent pendant deux ans les procédures « bidon » visant à traînailler se sont accumulées.
Madame LAMBOTTE a ensuite repris un autre Cabinet d’avocats. Monsieur LEON trouve qu’il faut être attentif car les hommes de l’art ne donnent pas toujours les bons conseils.
NB - chers lecteurs attentifs... Note de clamartcity.blogs.com : les chiffres et chapitres les plus intéressants à consulter sont ceux qui sont soulignés, par moi, je le précise bien...
2° Section d’investissement :
Dépenses de l’exercice : 25 940 165 € : Chapitre 13 : Subventions d’investissement reçues 12 814 €
Chapitre 16 : Emprunts et dettes assimilées 7 688 633 €
Chapitre 16882 : ICNE procédure de contre-passation 455 155 €
Chapitre 19 : Différence sur réalisation d’immobilisation 1 966 731 €
Chapitre 20 : Immobilisations incorporelles (6 abstentions) 563 000 €
Chapitre 21 : Immobilisations corporelles (6 abstentions) 4 582 638 €
Chapitre 23 : Immobilisations en cours 3 420 233 €
Opérations d’équipement : 7 250 961 € :
Opération 1 : Mise aux normes du marché de la Fourche 1 400 000 €
Opération 2 : Aménagement crèche Trivaux 125 000 €
Opération 3 : Rénovation Hauteluce 860 000 €
Opération 4 : Rénovation cuisine centrale 767 143 €
Opération 5 : Acquisition locaux jeunes (6 abstentions) 666 000 €
Opération 6 : Réseaux médiathèques (6 élus ne prenant pas part au vote) 400 000 €
Opération 7 : Réhabiliation Jean Arp (6 voix contre) 1 500 000 €
Opération 8 : Réaménagement locaux administratifs 522 348 €
Opération 10 : Rénovation des vestiaires de la piscine (12 voix contre) 520 470 €
Opération 11 : Aménagement crèche Ste Emilie 160 000 €
Opération 12 : Ecole maternelle Bretagne 330 000 €
L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.
Commentaires