NB : En effet, le journal " Le Parisien " du 05/01/08, nous fait connaître le nom des sept candidats à la législative partielle des 27 janvier et 3 février 2008. A noter que le représentant du modem-PS et celui de son associé de la plate-forme UMPS, ayant tenté de " débaucher " et fait du racolage " marchands de soupe ", auprès des partisans de la gauche, du PS, des Verts et même de l'UMP, ayant créé une belle confusion parmi les Clamartois, et s'imaginant recevoir une " veste " mémorable, en retour de leurs grossières combinaisons politiciennes, ont préféré (courage fuyons !) s'abstenir de se présenter à cette élection législative partielle du 27 janvier 2008, dans la crainte de se voir blackbouler par les électeurs, pour s'être endormis pendant près de sept ans dans leur fauteuil, bien au chaud, de l'opposition au Conseil municipal..!
Pas de bilan, ou plutôt un bilan " plus que négatif ", aucun programme politique à présenter aux Clamartois. Seulement, pour le Haut-Clamart, des tracts luxueux distribués devant le vieil " Intermarché et Centre commercial de la Plaine ", et alors que les habitants, pendant près de sept ans, se sont vus méprisés, abandonnés, délaissés par ces mêmes politiques, ne manquant pas de culot pour venir leur réclamer leurs suffrages, juste trois mois avant les élections ! Avec quelle audace n'ont-ils pas oublié leur campagne acharnée contre le logement social, traitant à l'égal, leurs occupants, et alors que ces politiciens, faisant partie de la caste politique Clamartoise la plus conservatrice et réactionnaire (soi-disant " centriste " !) de toutes, en matière de logements et d'équipements privés, et privilèges de nantis, se font appeler désormais " le parti de Clamart ", et appellent à rejoindre dans leurs rangs les " camarades " socialistes, les Verts, et même l'UMP, n'est-ce pas risible et grotesque ???!!!
Ils ont oublié, également (pas les Clamartois !), leur gestion et fautes du passé, lorsqu'ils étaient au Pouvoir, mais, le plus désagréable, et le plus " fautif ", pour les Clamartois, c'est de s'en être jamais excusés ni fait repentance de leur belle arrogance et morgue de jadis..!
Aussi, dans ces conditions et circonstances, les Clamartois ne sont-ils pas logiques et " raisonnables ", en voulant, cette fois, pour l'élection municipale de mars 2008, se décider, dans leur choix " cornélien ", pour une gauche (éventuellement une nouvelle gauche amendée !), actuellement : le PS -PC - Verts, et un autre camp de droite (votre choix est à faire, mais c'est celui des électeurs qui importe !), certes, opposé, pour marquer une véritable " rupture ", avec les politiciens ploutocrates, démagogues, préoccupés par leurs seuls intérêts de privilégiés, ayant renouvelé sans vergogne leurs appétits de politiciens traduisant leur incompétence et, surtout, leur " non-vouloir " de prendre en compte " toutes les classes sociales Clamartoises ", pour leur apporter le " Bien " qu'elles méritent et auquel elles aspirent, ce " Bien ", qui grâce à la vertu, leur apportera le " Bonheur ", qui est le but ultime et véritable que la " Politique ", au sens noble et aristotélicien du terme, doit nous faire atteindre de façon concrète et harmonieuse...
Les électeurs auront le choix entre sept candidats
un article du journal " Le Parisien " du 5 janvier 2008
LES INSCRIPTIONS pour les candidatures à la législative partielle de la 12° circonscription, comprenant les communes de Clamart, Le Plessis-Robinson, Fontenay-aux-roses et Châtillon, sont closes depuis hier soir, 18 h 30, à la préfecture de Nanterre. Bilan : ce sont sept candidats, toutes formations politiques confondues, qui s'alignent au premirer tour de scrutin prévu le 27 janvier.
Un scrutin un peu particulier. En effet, Philippe Pemezec (UMP), élu député en juin dernier, a dû renoncer à son mandat à la suite d'une décision du Conseil constitutionnel. L'assemblée délibérante avait notamment reproché à ce dernier, par ailleurs maire du Plessis-Robinson, d'avoir installé sa permanence électorale sur le domaine public de sa vile, sans payer de redevance, et de ne pas avoir inscrit dans ses comptes de campagne les dépenses engagées pour la publication et la promotion d'un livre. L'élection a été invalidée et Philippe Pemezec inéligible durant un an.
C'est Jean-Pierre Schosteck (UMP), le maire de Châtillon, qui remplacera donc le député sortant. Cette élection, dont la grande inconnue reste la participation, pourrait se solder dès le premier tour par un duel classique droite - gauche.
Philippe Kaltenbach (PS), à l'origine du recours devant le Conseil constitutionnel, estime que le jeu est désormais ouvert en sa faveur et envisage une nouvelle possibilité de remporter ce scrutin. De son côté, Jean-Pierre Shosteck reste serein et se base sur le bon score de son prédécesseur, qui avait gagné avec une large avance. La participation sera également déterminante pour les cinq autres candidats*, qui devront passer la barre des 12, 5 % d'inscrits pour espérer jouer les trublions et participer au second tour.
M.F .
* Les sept candidats sont : Philippe Kaltenbach (PS) ; Vincent Wehbi (Modem) ; Christophe Leroy (PC) ; Olivier Pascal (Républicains de gauche) ; Jean-Pierre Schosteck (UMP) ; Christian Hamon (LCR) ; Rodolphe Laisney (FN)