« Clamart. Politique. Le scoop du 17/12/08 ! Au conseil municipal, Ph. Kaltenbach, maire PS de Clamart, remercie le leader du " modem ", du soutien, coopération, et votes, apportés en sa faveur ! |
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| Clamart. Politique locale. Au PCF, M. Jean-Marc Seyler, maire-adjoint, partenaire-associé à la majorité PS, est partagé (en contradiction ?) entre deux courants d'influence politique ! »
la nouvelle vague des soucoupes volantes
par Jean-Claude Bourret - edit. presse pocket - mondes mystérieux (extraits)
Voici un livre exceptionnel sur les soucoupes volantes. Pour la première fois d'irrécusables témoins ont accepté de raconter les aventures incroyables qu'ils ont vécues et leurs rencontres avec des extra-terrestres. Au cours d'une enquête internationale, plus de vingt savants du monde entier ont bien voulu révéler l'état de leurs recherches sur les soucoupes volantes.
PROLOGUE
NB : A Clamart, aussi étrange que cela puisse paraître, nous avons parmi nous des " Martiens ", plus exactement, appelés : " cla-martiens "... S'ils sont d'un abord et contact assez faciles, ils n'en n'ont pas moins des relations et rapports privilégiés avec des colonies d'habitants, venus d'une planète voisine de la leur, et dénommés : " les verts ". D'ailleurs, ces verts ont essaimé, un peu partout, en France. Mais, ce qui caractérise, peut-être, le plus, les cla-martiens, et ayant ceci de commun avec les verts, c'est qu'ils sont remplis d'une admiration sans bornes, envers un être de haute taille, rarement observée, chez ce type d'étranger, au visage triangulaire, en forme de couteau, venu de loin dans l'espace, certains disent de la planète PK, d'où vient son nom, ayant un regard terrible, très dur, qui lance parfois des éclairs effrayants.
C'est sans doute pour cette raison, qu'ils ont de percevoir PK, comme ayant une stature imposante et effrayante à la fois, que les clamartiens et les verts l'ont nommé " chef du territoire de Clamart ". Historiquement, Pk et ses féroces guerriers de sa tribu, appelés les PS, se sont alliés, du point de vue politique, quasi officiellement, le 17/12/08, à quelques habitants, très riches, nommés " modem ", lesquels, jadis, dirigèrent tellement " mal " la Cité, qu'ils en perdirent le pouvoir et la direction, depuis 2001...Ces " modem " ont une façon particulière, de traiter leurs concitoyens, les incitant à rejoindre le clan des PS et de leur chef PK. A noter, que les modem et leur chef, de manière fort servile et peu jolie, sans cesse, proclament la grandeur et font les éloges de PK, jusqu'à, pourrait-on dire, pour employer une métaphore assez juste, lui " baiser les pieds "... Etonnant spectacle, en vérité. Voilà pour les étrangers et les extra-muros immigrants, venus à clamart, pour y trouver leur butin, qu'ils jugent probablement avantageux, par les acquisitions et richesses, dont ils se dotent, grâce à la bonté et bienveillance des Clamartois, lesquels font preuve d'une générosité et servitude remarquables et exemplaires. Ce que veut le chef-de-ville, le peuple le veut, telle est, maintenant, la devise des Clamartois...(A suivre..)
INTRODUCTION
Un ministre français qui accepte de parler sur les OVNI...
[...] En France, dès 1950, le deuxième bureau de l'Armée prend les choses au sérieux. A Saïgon, en 1952, il y a une antenne dirigée par un colonel. A l'époque, me confiera un membre de cette commission, nous pensions qu'il s'agissait d'une arme secrète soviétique. Un OVNI avait même traversé le ciel de l'Indochine en 1952. nous avions fait décoller deux chasseurs, mais le temps de prendre l'air et l'OVNI avait disparu.
Lorsqu'il me reçut dans son bureau, M. Robert Galley, alors ministre des Armées, avait une impressionnante série de rapports et de dossiers. Les observations étaient classées année par année, depuis vingt-cinq ans. Mais aussi les travaux de Claude Poher, l'un des rares scientifiques français qui, seul et sans moyens, étudie le phénomène. Vous lirez ses conclusions dans ce dossier OVNI. Je me souviendrai longtemps de cette interview. J'avais rendez-vous à 17 h 30, le mardi 19 février 1974. Je pensais que le ministre allait m'accorder un quart d'heure d'entretien. Mais Robert Galley, qui a toujours eu le contact avec la presse, parce que c'est un homme ouvert, m'a reçu quatre heures. Sur l'enregistrement, on entend d'ailleurs les huit coups de 20 heures ! Il est vrai que la discussion fut animée. autour d'une table, dans l'immense bureau ministériel discrètement lambrissé de dorures, il y avait René Favre, conseiller technique du ministre, et Melle de Saint-Seine - dont le frère avait personnellement été témoin d'un OVNI !
Après trois heures d'hypothèses et de discussion passionnée, Robert Galley m'accordait la première interview d'un ministre des Armées sur la question OVNI en France. Une interview qui fera date dans les annales, m'ont écrit plusieurs scientifiques qui s'occupent de la question, dont Aimé michel. l'entretien a été diffusé le jeudi 21 février 1974, à 20 h 30, sur France-Inter. Le lendemain, gros titres à la une de France-Soir, du Parisien Libéré et des articles importants dans l'Aurore; le Figaro, et dans tous les grands journaux de province. Les " soucoupes " allaient être à nouveau l'objet d'une polémique entre " pour " et " contre ".
Vous avez entre les mains de quoi forger votre opinion. C'est la retranscription des trente-neuf émissions diffusées sur France-Inter. Première partie : les enquêtes des reporters de l'O.R.T.F. Qu'ils soient tous remerciés ici pour leur aide précieuse. deuxième partie : l'opinion des scientifiques. De ceux qui se sont vraiment penchés sur le problème et non de ceux qui affirment que le rapport Condon représente des histoires de " coucheries avec des Martiennes ". Voici donc les trente-neuf dossiers de France-Inter mais aussi des témoignages et des opinions de scientifiques, non diffusés, faute de temps, et parce que des enregistrements m'ont été volés.
Si cet ouvrage pouvait décider un organisme officiel, le C.N.E.S. par exemple, à affecter quelques crédits afin que des chercheurs entreprennent une enquête sérieuse - la première enquête sérieuse dans le monde - j'en serai évidemment ravi.
La France, souvent en pointe dans plusieurs domaines, s'honorerait de prendre une telle initiative.[...]
TÉMOIGNAGES ET ENQUÊTES
DIFFUSÉS SUR FRANCE-INTER
OVNI SUR TANANARIVE
Edmond Campagnac est polytechnicien. C'est un témoin. Pas seul, d'ailleurs, puisqu'en fait toute une ville, Tananarive, a été aussi le témoin du passage de deux objets volants non identifiés. Impressionné par ce qu'il a vu, Edmond Campagnac est devenu le président du G.E.P.A. : Groupement d'Etudes des Phénomènes Aériens. A Euloge Boissonnade, ce polytechnicien a confié son témoignage.
-- C'était un lundi d'août 1954. Il était 17 h 45. On sortait des bureaux. Nous étions rassemblés devant l'agence Air France, en attendant la distribution du courrier du soir, avenue de la Libération, au coeur de Tananarive. A un moment donné, un ami nous a désigné dans le ciel une espèce de grosse boule verte lumineuse, couleur éclat électrique, qui tombait prseque à la verticale, exactement comme un aérolithe. Cette lueur disparut derrière les montagnes. Chacun pensa que c'était vraiment un aérolithe qui venait de choir. Quelques minutes plus tard, des personnes nous montrèrent une lueur, verte également. Cette fois, au lieu de chuter, elle venait à l'horizontale et survolait les collines, près du palais de la reine. Le diamètre apparent avait diminué et la vitesse était moins grande évidemment que lors de la descente verticale.
-- Vous avez pu le détailler à ce moment-là ?
-- On a d'abord vu une espèce de boule verte et c'était surprenant. Elle est parvenue à la hauteur des toits et a emprunté l'avenue de la Libération, de l'autre côté de la rue par rapport à notre position. Lorsque cette lueur verte est arrivée à notre hauteur, nous nous sommes aperçus qu'il s'agissait d'un effet d'optique. Il y avait en réalité une sorte de lentille verte, toujours " gaz luminescent vert électrique " qui se déplaçait et, à une trentaine de mètres, suivait un cigare allongé, métallique. Le soleil se réflétait sur la surface et l'on voyait que c'était bien quelque chose de métallique. Derrière, des espèces de flammèches rouge-orange s'en échappaient. Ce cigare devait mesurer entre 40 et 50 m de long; sa vitesse de déplacement pouvait être de l'ordre de 300 à 400 km/h, c'est-à-dire celle d'un avion du type " Constellation " qui survolait Tananarive à l'époque.
Chose curieuse, le silence s'était établi dans la ville. Tous ceux qui étaient dehors, et il y en avait pas mal, restaient stupéfaits devant ce phénomène. Tout se déplaçait dans un silence total. Phénomène curieux, que les spectateurs avaient observé également : quand l'engin survolait un appartement ou un magasin, les lumières électriques s'éteignaient; quand l'engin était passé, elles se rallumaient.
-- Ensuite ?
-- L'engin a survolé la ville, est allé vers le terrain d'aviation; il est reparti vers l'ouest en survolant en particulier un parc à zébus, où se trouvaient une centaine d'animaux. ceux-ci, pourtant habitués sans s'effrayer à voir survoler leur terrain à basse altitude par les avions arrivant à Tananarive ont été ce jour-là affolés par les deux OVNI au point qu'ils ont brisé les barrières et qu'on a dû faire appel à l'armée et à la police pour essayer de les récupérer.
-- Vous, polytechnicien, pouvez-vous expliquer ce phénomène ?
-- On a constaté que ces apparitions étaient souvent liées à des phénomènes électro-magnétiques susceptibles d'agir aussi bien sur des courants électriques que sur des moteurs à explosion. Souvent, on a vu des voitures s'arrêter ou bien constaté des perturbations de comportement chez les hommes et les animaux. Ainsi ai-je eu l'occasion de lire des rapports provenant de la gendarmerie nationale : il s'est trouvé des cas où des engins posés à terre ont paralysé des personnes à partir d'une certaine distance, lorsque celles-ci essayaient de s'approcher de ces engins. J'ai étudié pendant plusieurs années ce genre de phénomènes, pour lesquels je me suis toujours passionné : je ne pense pas -- à moins qu'il n'existe sur notre globe une civilisation tenue dans un lieu merveilleusement secret -- que cela soit d'origine terrestre.
-- Il s'agirait donc d'êtres venus d'ailleurs ?
-- Oui. Je pense à ce propos que si, dans l'univers, il n'y avait que la Terre à être habitée, je me poserais d'autres problèmes.
L'OVNI QUI AIMAIT LES TRACTEURS
Le colonel Berton est un officier sympathique. Il s'exprime avec facilité, et précision. C'est un homme ouvert. pour cette raison, il s'est intéressé aux OVNI à titre personnel. C'est un enquêteur du G.E.P.A. Celui-ci lui a demandé d'enquêter sur l'affaire de La Chapelle, dans le Lot-et-Garonne. C'était le 13 novembre 1971 à 1 heure du matin.
-- Je suis allé voir l'officier de gendarmerie de Marmande qui m'a accompagné avec le commandant de brigade locale. Tous les deux m'ont dit que le paysan qui avait vu un objet volant, était un homme sérieux, solide, bon citoyen, et parfaitement sain d'esprit. C'était donc un bon indice.
" Nous sommes donc allés chez M. Angelo Cello, qui exploite une ferme, et nous a rapporté les faits suivants :
" Le 13 novembre dans la soirée, après dîner, vers 9 heures, M. Cello, en retard dans ses labours, décide d'aller labourer une pièce mesurant environ quatre hectares. C'est un grand champ, en bordure d'une petite route départementale, entièrement en pente, limité en bas par un petit ruisseau, en haut par la route, et, de chaque côté, par une haie. Il a donc commencé à labourer vers 9 heures du soir. Il a continué jusqu'à environ 1 heure du matin. A cette heure-là, le travail était pratiquement terminé. Au cours de ses aller et retour sur ses sillons, en arrivant à la route, au moment où il faisait demi-tour, en regardant vers le bas de son champ (environ à deux kilomètres en diagonale) il aperçut une lumière. Il m'a dit : j'ai pensé que c'était un collègue qui, comme moi, labourait son champ. En fait, arrivé en bas du champ, au bout du sillon, et au moment où il faisait demi-tour à nouveau, il s'est aperçu que la lumière n'était pas à terre, comme il le supposait, mais en l'air. Il a cru remarquer comme des projecteurs qui éclairaient à la verticale et, sur les côtés, une petite lumière rouge. Il a pensé qu'il s'agissait d'un avion ou d'un hélicoptère.
Son tracteur étant bruyant, il n'a pas prêté attention au fait. Je signale que son tracteur est équipé de phares à l'avant et de phares à l'arrière. Ils lui permettent de surveiller ses socs. Un phare orientable lui permet de parer à tout incident. Il remonte donc la pente et éprouve soudain l'impression qu'il fait clair. Il regarde. Et il s'aperçoit qu'il est survolé par nous ne dirons pas un " objet ", mais par des lumières sans contour défini. Il y voyait comme en plein jour.
-- A quelle altitude étaient ces lumières ?
-- M. Cello les a évaluées à cinquante mètres.
-- Y avait-il des bruits ?
-- Il n'entendait aucun bruit, mais, comme je l'ai dit, le bruit de son tracteur pouvait en couvrir un autre.
C'est en haut du sillon, à proximité des maisons, qu'il a eu la désagréable surprise de voir cet engin, avec ses lumières, s'abaisser à la verticale, juste au-dessus de lui. N'ayant pas été effrayé jusqu'à présent (il songeait à un avion ou à un hélicoptère) il fut pris soudain de panique à la vue de cet engin qui s'abaissait. Il a abandonné son tracteur, en laissant le moteur tourner et les phares allumés. Il a fuivers la maison de son frère, à quelques centaines de mètres de là.
Après avoir couvert trente à quarante mètres à toute vitesse malgré ses bottes il s'est retourné et a vu cinq lumières comme parallèles. Ces lumières étaient descendues jusqu'à environ une dizaine de mètres au-dessus de son tracteur, qu'on voyait comme en plein jour, et s'étaient immobilisées. Toujours sans aucun bruit, il n'entendait que celui du moteur de son tracteur. Il a attendu car, dans sa fuite, il était d'abord allé chercher du secours et également un autre témoin. Mais, après quelques secondes, l'engin a recommencé à prendre de la hauteur.
-- Comment vous a-t-il décrit l'engin ?
-- Il y avait cinq lumières, selon M. Cello, qui, voyant l'engin reprendre de la hauteur, a retrouvé courage, et est revenu sur ses pas, au fur et à mesure que l'objet s'élevait. Celui-ci est remonté jusqu'à une cinquantaine de mètres environ et a reculé sur la trajectoire qu'il avait suivie en arrivant. M. Cello s'est approché à ce moment-là de son tracteur. Il a coupé le moteur et les phares du tracteur, et il n'a entendu absolument aucun bruit venant de l'objet. Il n'a senti aucune odeur, et aucun effet sur lui-même. L'OVNI, qui avait gagné de la hauteur, est redescendu jusqu'au petit ruisseau, en contrebas, et à ce moment-là, a pris une accélération foudroyante et a disparu en quelques fractions de seconde.
M. Cello a-t-il été victime d'une illusion ?
Le colonel Berton a poursuivi son enquête. Or, à quinze kilomètres de là, une personne a également vu un objet volant, ce soir-là.
-- Cette personne m'a dit que l'apparition avait été beaucoup plus floue, car l'objet ne s'est pas manifesté à la verticale du point d'observation. Ce second témoin est un autre paysan. Il travaillait de nuit, dans un petit village situé sur un piton, d'où la vue porte loin. Ce paysan m'a dit qu'il avait aperçu quelque chose de lumineux, sans très bien le distinguer, d'ailleurs -- car des arbres le gênaient. Il est ensuite remonté jusqu'à la maison de son père, située dans ce village en piton, il a eu la surprise de voir un engin qui remuait et faisait plusieurs aller et retour et qui voguait nettement au-dessus de l'horizon.
-- En quelque sorte, c'est une confirmation du premier témoignage de M. Cello ?
-- Oui, une confirmation du premier, en effet.
-- Quel est, colonel, votre impression personnelle, ces gens-là racontaient-ils des histoires ?
-- Absolument pas. Ces paysans ont vu quelque chose. Je ne suis pas un scientifique. Je ne connais pas très bien ces problèmes, mais je n'ai pas l'habitude d'attacher d'importance à des récits sans grande précision. M. Cello a, plusieurs fois, raconté son histoire, à la presse, aux gendarmes, à un enquêteur qui a d'ailleurs enregistré son témoignage sur magnétophone. Chaque fois, il l'a fait avec la même précision. M. Cello est un homme solide. Il n'avait donc pas appris une leçon. Il a été témoin d'un fait extraordinaire qu'il a restitué, aussi bien qu'il l'a pu.
La fameuse dalle tombale de Palenque (Yucatan)
recouvrant le sarcophage. D'une dimension de 3,80 x 2,20
et pesant " 6 tonnes ". Certains y voient la représentation
d'un astronaute aux commandes de son vaisseau spatial. Photo
extraite de " Soucoupes volantes par Guy Tarade - L'aventure
mystérieuse - edit. j'ai lu.
L'HOMME ENLEVÉ PAR UNE SOUCOUPE
Beaucoup de questions ont été posées, dans le courrier, sur une affaire d'enlèvement par une soucoupe. Il se serait produit au Brésil. N'ayant pas enquêté sur cette affaire, je ne puis qu'être sceptique, mais Carlos Marquès, mon confrère brésilien, a eu la possibilité de le faire. Voici le récit de cette aventure qui, par parenthèse, se déroule dans la même région du brésil : près d'Itaperuna.
" Le 19 novembre 1972, Paulo Caetano Silveira, vingt-sept ans, mécanicien de machine à écrire, rentrait a Itaperuna au volant de sa voiture (DKW) en compagnie d'un ami, Elvio Bianchi, pratiquant de " capoeira " (lutte brésilienne). Il roulait tranquillement sur la route déserte, quand il éprouva soudain le pressentiment que quelque chose allait se passer.
" A plusieurs reprises, le 15, le 16, le 19, le 22 novembre, et le 5 décembre 1971, Paul Caetano avait rencontré , sur cette même route, les occupants d'un engin spatial venu d'un autre monde. Il avait fourni le récit de ce dont il avait été le témoin solitaire , mais personne n'y crut. Comme il n'avait aucune preuve, les habitants de la région et les autorités le prenaient pour un déséquilibré.
" Ce soir du 19 novembre 1972, on imagine l'état de nervosité dans lequel ce pressentiment pouvait le laisser. Il fit part à son compagnon de ses inquiétudes, et celui-ci se moqua de lui en disant :
-- Il ne peut rien t'arriver, puisque je suis avec toi !
" Quelques instants plus tard, Elvio Bianchi sombrait dans un sommeil de plomb. Comme les six fois précédentes, Paolo Caetano vit " l'objet mystérieux " s'approcher de son véhicule. Il tenta désespérément de réveiller son voisin. En vain : celui-ci paraissait mort. Paolo perdit le contrôle de sa voiture; elle quita la chaussée, le système électrique ayant été neutralisé. Pendant ce temps " l'objet mystérieux " s'était abaissé sur l'accotement de la route. Voici le récit de M. Silveira :
-- La porte de ma voiture s'est ouverte toute seule, comme par enchantement. Un faisceau lumineux intense m'attira irrésistiblement vers sa source (l'appareil) et je sentis que je m'élevais tout seul sans faire aucun mouvement. Je suis entré dans l'engin tout naturellement, comme si j'arrivais chez moi. Au centre même, il y avait une table et, sans savoir comment ni pourquoi, je me suis retrouvé étendu dessus, les jambes pendant dans le vide. Un machine surgit à ma droite : deux espèces de griffes s'abaissèrent vers moi. L'une me saisit le poignet pour le fixer à la table -- sans aucune brutalité -- l'autre à la hauteur du biceps. Une sorte de tuyau en caoutchouc gris cendre m'injecta un liquide dans le bras, légèrement au-dessus du coude.
Les " trois petits hommes " (ils sont toujours par trois) commencèrent à m'inciser le bras sans que je ressente de douleur. Je ne me suis rendu compte de ce qu'ils faisaient que lorsque je vis qu'ils transfusaient mon sang dans un tube très fin, d'une vingtaine de centimètres de hauteur environ. Ensuite, la machine recula. Je me levai et les " trois petits hommes " me montrèrent deux tableaux accrochés au mur : l'un représentait une carte; l'autre, la photo d'une explosion atomique. Quand ils montrèrent le second tableau, ils s'agitèrent dans tous les sens, mais sans émettre un son. Ils désignèrent ensuite une espèce de bouteille à oxygène, comme celles qu'il y a dans les hôpitaux. Là aussi, ils s'agitèrent beaucoup. C'était tout blanc, presque argenté. Je n'ai rien compris. Ils n'essayèrent pas de me parler; je ne sais pourquoi. Pour ma part, je n'ai pas réussi à leur parler ou plutôt je ne me souviens pas d'avoir essayé de le faire.
Ensuite, au commissariat de police, j'ai tenté de localiser sur une carte la région qu'ils m'avaient montrée sur le premier tableau : c'était au nord de l'Estado de Rio. Finalement, je suis descendu mais je ne me souviens plus comment -- sans doute par le même moyen par lequel j'étais monté dans cet appareil mystérieux. J'étais complètement abruti.
A ce moment, Elvio Bianchi se réveilla. Lui aussi raconte la part de son odyssée :
-- La seule chose que j'ai vue quand je me suis réveillé c'est que Piston (surnom de Paolo Caetano) était affalé sur la voiture, l'oeil hagard. Il portait une vilaine plaie au bras. Le véhicule était de travers sur le bas-côté de la route et j'ai pensé que nous avions été victimes d'un accident. J'ai pris Paolo par le bras et il était littéralement abattu. Un autobus passa sur la route; j'ai fait des signes pour qu'il s'arrête.
" Paolo Caetano fut conduit au service d'urgence de l'hôpital d'Itaperuna (SAMDU). Là le docteur Humberto C. Tinôco diagnostiqua une brûlure au troisième degré (semblable à celles provoquées par le feu et l'eau bouillante). On le soigna juste pour cette douleur. D'après le docteur Muniz Bussold, une brûlure de ce genre se guérit au terme d'une semaine, avec un traitement approprié. Cependant, une cicatrice caractéristique subsiste. Quel ne fut donc pas son étonnement quand, le lendemain, il ausculta Paolo Caetano : la brûlure avait mystérieusement disparu. Il ne restait qu'une petite cicatrice en " V ", à l'endroit de l'incision !
" Les services techniques de la police d'Itaperuna qui photographièrent, la veille, le bras de Paolo Caetano, prirent un nouveau cliché, sans la brûlure, environ dix heures après l'événement. Les médecins d'Itaperuna se réunirent en session extraordinaire mais ils ne purent aboutir à aucune conclusion -- sinon qu'il s'agissait d'un cas inconnu de notre médecine et inexplicable pour l'instant.
" Outre les médecins et la police d'Itaperuna, seuls le conducteur de l'autobus et ses passagers sont au courant de l'étrange rencontre de Paolo Caetano avec les " êtres inconnus ". Ce même conducteur d'autobus, dans la nuit du 9 octobre, entre Italva et Itaperuna, avait été interpellé par un de ses passagers qui signalait un " étrange objet lumineux " les suivant de haut. Tous les voyageurs purent le voir : il les suivit jusqu'à leur entrée dans la première ville qu'ils devaient traverser. L'autobus dut faire escale tant les passagers, affolés, insistèrent pour ne pas reprendre la route de nuit.
" Ce témoignage supplémentaire, fut enregistré par le commissaire de police Airton Teixeira et confirmé par Omar Salema Armond, le passager, qui le premier, avait vu l'objet mystérieux suivre l'autobus et donné l'alarme.
La Nazca. Pistes d'atterrissage pour extra-terrestres ?
Photo extraite de " L'Énigme des Andes " - R. Charroux
edit. Robert Laffont
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