CLAMARTCITYWEBLOG

Paris. Obligation devoir de mémoire. Grande manifestation nationale, le 15/09/2010, de 10 à 19 heures, Pl. Ed. Herriot, Assemblée nationale. 150 000 Harkis égorgés livrés par la France au FLN..!

Un devoir de mémoire et de " réparations " obligatoires pour la France !

le massacre de 150 000 Harkis égorgés après tortures et mutilations qui

ont été abandonnés et livrés au FLN, en dépit et malgré les violations

du cessez-le-feu et dits accords d'Evian des 18 et 19 mars 1962

Trahison d'Etat - Les preuves -
envoyé par nobeline. - L'info internationale vidéo.

Grande Manifestation nationale, le 15 septembre 2010..!

En faveur des Harkis de France et de leurs familles

Pl. Edouard Herriot, Paris 7ème, de 10 h à 19 h

(métro : Assemblée nationale)


Ils réclament de la Patrie, la reconnaissance des crimes de guerre

contre l'Humanité, le génocide, la poursuite de crimes de guerre,

perpétrés à leur encontre, en violation du cessez-le-feu

et dits accords d'Evian des 18 et 19 mars 1962



Paris Harkis Zohra Hamid menottés ! 16/07/10

envoyé par solaristemplar. - L'actualité du moment en vidéo.

Du fait de leur " abandon " prescrit et ordonné par la France, livrés

au FLN, 150 000 d'entre-eux, après avoir été torturés, mutilés d'une

cruauté indicible, ont été massacrés et exécutés par ces tortionnaires

grands criminels du FLN impunis à ce jour, qui devront être reconnus

et jugés comme tels par les tribunaux et Cours internationaux

compétents saisis à cet effet

Aux côtés de Zohra et Hamid

Ça bouge un peu...

D'abord que je vous dise que j'ai un peu de baume au coeur. Parce que les lecteurs de Présent sont formidables et que vous avez été des dizaines à téléphoner* (* 06.09.31.60.17) à Zohra et Hamid et/ou à leur envoyer un petit quelque chose pour améliorer - autant que faire se peut - leur situation de profonde détresse. Mais aussi parce que les associations de pieds-noirs et de harkis envoient des communiqués de soutien (vous avez pu en lire quelques-uns dans Présent) et oeuvrent pour que le rendez-vous du 15 septembre, Place Edouard-Herriot, derrière l'Assemblée, soit un succès. Et encore parce que des élus, mobilisés enfin, ont écrit à Sarkozy pour lui demander de sortir du coma.

La déclaration de la manifestation du 15 septembre - de 10 heures à 19 heures - a été déposée auprès du préfet de police de Paris, Michel Gaudin. Dans le même temps, la Coordination nationale du Mouvement de la résistance harkie demande à être reçue - le jour même de la manifestation - par le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant. Cette délégation sera composée de représentants nationaux d'associations de la communauté harkie :

- Zohra Benguerrah et Hamid Gouraï.

- Slimane Djera, président du Collectif des associations de la communauté harkie d'Aix-en-Provence et du Pays d'Aix, délégué national de l'UNHAS (Union nationale des harkis associés et sympathisants). Slimane Djera est décoré de la Légion d'honneur et chevalier dans l'Ordre du mérite.
- Maklouf habbaz, élu à la mairie de Faveau (Bouches-du-Rhône), membre de la direction du Collectif des associations de la communauté harkie du Pays d'Aix et de la PACA.

- Fatima Mokrani, présidente de la Coordination Jeunesse harkie ariégeoise et de leurs amis.
- Marguerite Bensalem, présidente du Collectif des associations des familles harkies de Rivesaltes et des Pyrénées-Orientales.
- Abdallah Cherifi, président de l'Association Justice-Réparation-Indemnisation pour les harkis de Dreux (AJIR).
- Malika Meddah, présidente de l'UNHAS-Var.
- Omar Chalbi, président de l'Association des Français rapatriés d'Afrique du Nord (AFRAN) à Roubaix.
- Farida Khalkhal, responsable du Collectif des associations de la communauté harkie de Saint-Pons-les-Thomières, Narbonne et Carcassonne.
- Djelloul Mimouni, président de AJIR-66 Perpignan.

Au président de la République (qui fit tant de promesses quand il était candidat...), Zohra et Hamid expliquent notamment : " Comme vous le savez déjà, les harkis et leurs enfants ont toujours aimé la France et son drapeau tricolore, celui de notre patrie. Nous voulons marquer cette manifestation symbolique avec les anciens combattants et nous chanterons La Marseillaise et le Chant des Africains. " Reste à faire comprendre ça au préfet Gaudin et à ses sbires...

ALAIN SANDERS - Journal Présent du 30 juillet 2010

De l'abomination des crimes du FLN, exécutés avec tortures

et mutilations, commis sur les Harkis et leurs familles,

après le cessez-le-feu du 19 mars 1962..!

Les nazis et les SS, n'ont pas même osé faire de pareilles

atrocités, durant la deuxième guerre mondiale...

" De Gaulle pourtant n'a jamais fait grand cas de ces combattants « Il faut se débarrasser sans délai de ce magma de supplétifs
qui n'a jamais servi à rien... », déclarait-il le 3 avril, au cours d'une séance du comité des affaires algériennes.
Rien d'étonnant que dans une note du 7 avril, Louis Joxe ait alors écrit, parlant des harkis et des moghaznis :
« De toute manière, on fera effort pour maintenir ces personnes en Algérie ». "

15 août 1962

Comme partout en Algérie, depuis deux mois, les commissaires politiques sont passés dans tous les douars de la région, famille par famille, metcha par metcha. Un par un, les anciens supplétifs ont d'abord été spoliés. On leur a retiré jusqu'au dernier centime. Puis on les a pris et emmenés vers un certain commandant Moktar, entouré d'un vague tribunal populaire.

Tous ont été " jugés " et condamnés à mort, sans débat, sans discussion, sans plaidoirie, sans défense. Depuis deux semaines, ils sont parqués dans le camp 132. Certains ont été exécutés presque immédiatement :

Chouiha Guendouz, mokadem de la S.A.S. - 26 ans de carrière dans l'armée française, Médaille militaire, dix citations - s'est pendu il y a trois jours avec son ceinturon afin d'échapper à la tuerie, à la torture et à l'insulte publique.

Dès le lendemain matin, on a donc retiré tous les ceinturons, toutes les ceintures, tous les lacets, puis on a rasé toutes les têtes, toutes les barbes, toutes les moustaches, et organisé un lugubre défilé des prisonniers dans les principaux villages alentour.

[...] Vers 20 heures, des hurlements atroces se sont répandus dans le quartier voisin. Les tirs au PM et au fusil ont duré cinq bonnes minutes : les 55 malheureux avaient effectivement été assassinés en bloc. Pas un ne fut épargné, pas un ne parvint à survivre. Certains blessés mirent dix heures à agoniser. Ils furent enterrés par les villageois, hors des cimetières musulmans interdits par le FLN.

Pendant ce temps, le colonel français installé dans le bordj voisin, distant de 300 mètres à peine, avait reçu par radio l'interdiction absolue de sortir troupes et véhicules ou d'intervenir hors des cantonnements pour quelque motif que ce soit.

Dans la nuit, les prisonniers du groupe ont été ramenés dans le camp 132.

[...] L'entrée était payante : 5 francs pour les adultes et 2 francs pour les enfants désirant assister à la scène et y participer en administrant force bastonnades aux acteurs.

Deux frères, le sergent Dougane Abdehraman et le harki Dougane Allal étaient là debout, depuis déjà dix heures. On leur avait transpercé le nez avec un fil de fer au bout duquel était suspendu un poids de deux kilos. Totalement nus, couverts de sang coagulé, ils s'étaient déjà écroulés plus de cinquante fois. Cinquante fois les gardiens fells les avaient forcés à se redresser, à coups de pieds et de crosses.

Leurs jambes vacillent à nouveau. Ils battent l'air de leurs bras comme s'ils cherchaient un appui, une ultime planche de salut. Mais ils ne trouvent rien, si ce n'est les bâtons ou les cannes des curieux et des sadiques qui les frappent sur tout le corps. Les femmes, surtout, que ce spectacle semble exciter : un millier ont déjà défilé dans cette horrible salle, puant la sueur, le sang et l'urine. A chaque coup, les têtes des malheureux se plient, en même temps que les poids ouvrent davantage les plaies nasales. Au coeur de la nuit, les frères Dougane, morts, se sont affalés pour la dernière fois.

[...] Les échos les plus fous et les nouvelles les plus alarmantes circulaient en tous sens, parvenant aussi bien de l'Algérois que du Constantinois et de l'Oranie (NDLR - le 5 juillet 1962). On disait que près de 2 000 Européens avaient subi une véritable chasse à l'homme dans Oran* (* Cette rumeur correspondait, hélas, à la réalité. Plus de 1 000 Européens furent tués et enfouis en divers lieux, en particulier dans le " petit lac ".), que partout des camps avaient été organisés pour y regrouper plus de 60 000 supplétifs musulmans, et que tous devaient être exécutés dans un délai d'un mois. On disait aussi que partout les familles subissaient un sort semblable, en particulier les femmes et les fils de harkis. [...]

A l'aube, un camion : un Molotov de fabrication russe - vint prendre une quinzaine d'hommes, qui rejoignirent le camp 640, près de Palestro. Tous, sans exception, furent égorgés là-bas.

L'après-midi suivante, vingt autres furent emmenés à bord du même camion et aux ordres du même commissaire politique. Les tirs de P.M. crépitèrent pendant plus de quatre longues et interminables minutes. On entendait les blessés implorer qu'on les achève, et les cris des agonisants se mêlaient aux hurlements des ordres fells. Après le mitraillage collectif, ce fut l'assassinat individuel : un à un, les harkis furent liquidés d'une rafale dans la tête.

Un bataillon français fort de 500 hommes, cantonné à deux kilomètres de là, ne bougea pas : les consignes sont les consignes !

La nuit suivante, pourtant, on entendit un coup de feu. Un seul. Un lieutenant s'était suicidé. Compte rendu officiel " Accident mortel par arme à feu ". Personne n'en saura jamais davantage sur ce drame de l'absurde. On ne doit pas savoir. [...]

16 août 1962

Oui, le carnage.
Il va se poursuivre, dès le lendemain matin, mais avec plus d'acharnement encore.

Pour parfaire l'opération et mener le sadisme à son paroxisme, on va, une nouvelle fois, inciter la population à participer à la liquidation des derniers survivants. Le chef de camp a réparti les plaisirs et les programmes. Quatre listes sont donc établies.
- La première groupe les harkis dont l'interrogatoire sera poursuivi. Ils seront traités au courant électrique.
- La seconde concerne les tortures spéciales qui seront appliquées à une trentaine de prisonniers, nommément désignés.
- La troisième liste est celle des condamnés à la pendaison.
- La quatrième rassemble la vingtaine d'hommes qui seront brûlés vifs.

Ainsi, conclut le commandant Moktar avec un sourire d'une extraordinaire férocité, d'une indéfinissable cruauté, " tout aura été consommé ".
Les quatre " liquidations " sont menées simultanément, car tout doit être achevé dans la journée. On veut en finir et éviter à tout prix d'autres incidents, du même type que celui de la veille.

A 5 heures du matin, les prisonniers ont été réveillés et répartis par catégories. Dès 6 heures, les premiers cris montent des lieux de torture. A partir de 7 heures, la population est invitée à assister à ces nouveaux jeux de cirque.

Ahmed Ben Ferhat est le premier à passer à la génératrice branchée aux oreilles, au nez, aux parties génitales. Il décolle littéralement, à chaque décharge électrique. Les questions posées, il ne les entend même plus. Il ne retient qu'un vague roulis de phrases et de mots agglutinés que son cerveau, déjà désarticulé, ne peut plus parvenir à grouper. Il répond donc par de vagues sons, sans signification, sans cohérence.

Ses cris, incohérents eux aussi, montent vers le village. Ils parviennent pourtant jusqu'au cantonnement français, comme les premiers appels d'une longue déchirure qui va meurtrir le coeur des hommes, et des cadres de tous rangs, de ce bataillon littéralement prisonnier. Unité perdue d'une armée devenue totalement impuissante, immobilisée, eunuque, asexuée. Vers midi, les hommes n'en peuvent plus. Les jeunes officiers, surtout, supplient le commandant de les autoriser à partir, sans armes, mais à partir le plus loin possible, à pied, dans la montagne... pour ne plus entendre.

C'est que des dizaines de harkis hurlent maintenant à la mort. Laïchi Salah, sergent à la C.C.A.S., a subi, lui aussi, les brûlures et les déchirures de la magnéto. Mais on l'a changé ensuite d'atelier. On a commencé à dépecer le corps électrocuté et mentalement détruit, vers 11 heures. A midi, un bras et une jambe ont été coupés. On l'achèvera après l'heure de déjeuner.

Il en sera de même pour Boviti Tahar, de même pour Rabah Ben Ahmed, de même pour Alouani Saïd, de même pour Chenoufi Abdelkader, de même encore pour une dizaine d'autres.

Les troisième et quatrième groupes, une quarantaine en tout, vont faire les délices des tortionnaires, devant la colonne des curieux revenus participer aux séances publiques. Vers midi, ils sont déjà une douzaine à se balancer sous les oliviers : seconde charette, seconde fournée, seconde promotion de martyrs abandonnés et trahis.

A la même heure, monte l'âcre et insupportable odeur de l'essence enflammée et des chairs brûlées. On a récupéré les derniers stocks de carburant abandonnés par le 2ème Spahis : le grand brasier a été enflammé, dès le matin. Un à un, on a précipité les harkis dans la fournaise, chacun à l'appel de son nom, les autres assistant à l'effrayante torture et attendant leur tour, nus, silencieux, tremblants.
On en est au quinzième supplicié.
Mais les ultimes finesses, les plus subtiles recherches sont réservées au groupe n°2, pour lequel libre cours a été laissé à l'imagination des opérants. C'est vers ce groupe-là que les trois commissaires politiques font converger le maximum de spectateurs de tous âges. Et c'est là que l'horreur dépasse véritablement l'imagination. Ils sont une trentaine, subissant les pires outrages. Les pires, les plus variés, les plus sadiques.

Une dizaine, parmi lesquels Moussa Mahfoud et Moussa Amar, ont déjà eu des tiges de fer, rougies au feu, enfoncées dans le visage. Ils paraissent morts mais ne le sont pas. Leurs yeux sont grands ouverts, fixes, immobiles. Sans doute ne sentent-ils plus la douleur et n'entendent-ils qu'à peine les bruits et les cris environnants.

Le sergent Djemal Borouis, de la S.A.S. de Rivet, a eu les doigts des pieds et des mains coupés, un à un. Il lui en restait encore trois, un au pied gauche et deux à la main droite, lorsqu'ils décidèrent de l'égorger. Puis on lui a coupé la verge et les testicules et on les lui a enfoncés dans la bouche. Il est là, corps magnifique de 27 printemps, et pourtant déjà cadavre puant parmi les autres corps, encore haletants, de ceux qui n'ont pas basculé vers l'au-delà. Ils le feront ce soir, ou cette nuit.

Le harki Tahar, du 117ème R.I., vient également d'être égorgé, mais après avoir été dépecé par lambeaux de chair sur les bras et les jambes.

Pour celui-là, on a trouvé autre chose :

on le décortique à la tenaille...

Il est 13 h 30. Ils sont en train de décapiter Djelloul, qui a été transféré, il y a quelques jours, du camp de Bensala, dans l'oued El Alleug. On va faire cela selon les règles, par coups de rasoirs successifs et par fines entailles d'un millimètre à peine. A chaque incision, Djelloul lance vers le ciel un râle profond, mais surtout un appel.

Il le sait, des milliers d'appels semblables montent vers le ciel d'Algérie, depuis des semaines. Quelqu'un les entendra-t-il ? Ou personne, jamais personne n'y répondra-t-il ? Son calvaire, à lui, va durer dix heures encore.

[...] Le voici devant Ournader Abdelkader, du 51ème R.I.C., qui a été pris et arrêté à Lantia, au douar Tassaden.

Pour celui-là, on a trouvé autre chose : on le décortique à la tenaille. Travail d'artiste ou pour le moins d'artisan. Le fellagha s'applique et vient de délaisser la jambe droite pour s'en prendre au ventre. Les premiers lambeaux de peau brune sont arrachés. Le buste de Ournader, presque intact encore, vibre intensément à chaque atteinte. Il tire, en vain, sur ses bras et ses jambes attachés à quatre énormes piquets fichés dans le sol.

Le même supplice a été infligé, depuis le matin, à son père : Ournader Hocine. Mutilé de guerre (Italie-France-Allemagne), Officier de la Légion d'honneur, conseiller municipal. Plus âgé, Hocine a rendu l'âme vers 11 heures. [demain la suite...]

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Meudon, ville morbide ?! Politique Société et fait divers. 26/07/2010. A Meudon, c'est la scoumoune. Encore un suicidé ! L'on avait imaginé l'hypothèse d'un fait criminel !

Meudon

Meudon. Encore un fait divers ! Un suicide en centre-ville...

Journal " Le Parisien " du 26/07/2010

C'était bien un suicide. Un homme âgé de 45 ans, habitant le centre-ville de Meudon, a mis fin de façon tragique à son existence samedi.

Les policiers en sont convaincus, eux qui dans un premier temps avaient cru que la mort pourrait être d'origine criminelle. En dépression profonde à la suite d'un divorce douloureux, ne voyant plus ses enfants depuis quelque temps, il a absorbé massivement des médicaments. Dans un état semi-comateux, il a lourdement chuté dans une pièce de son appartement. Des proches, inquiets de ne pas avoir de ses nouvelles depuis plus de quarante-huit heures, l'ont retrouvé gisant samedi vers 17 heures dans une mare de sang. Le décès proviendrait d'une ingestion médicamenteuse.

Mon opinion : Malheureux et/ou " futurs divorcés ", si par malchance, vous vous retrouviez gisant dans une mare de sang dans votre appartement, n'auriez-vous pas la forte probabilité que les conclusions de " l'enquête " n'aboutissent qu'à votre " suicide ", un simple " suicide ", en somme ? A méditer, n'est-ce pas...

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Video. Paris. Assemblée nationale, pl. Ed. Herriot. 20/07/2010. Interview du harki Hamid Gouraï. Pourquoi l' Elysée délègue-t-il les forces de l'ordre v/ les Harkis Zohra et Hamid ?!

Paris le 20 juillet 2010

Interview du Harki Hamid Gouraï, Place Edouard Herriot,

Paris 7ème, Assemblée nationale, sur incidents graves survenus

le 16/07/2010, à l'encontre des Harkis Zohra et Hamid, manifestant

depuis 15 mois, pour faire valoir leurs droits à reconnaissance

de la patrie, du sang versé par les Harkis, 150 000 d'entre-eux

" abandonnés " par la France et ses gouvernants, ayant

été massacrés, égorgés, mutilés, torturés et

exécutés par le FLN, après le cessez-le-feu

du 19 mars 1962..!

Paris Harkis Zohra Hamid menottés ! 16/07/10
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Nouvel appel au secours

Hamid et Zohra interpellés, menottés et

salement malmenés par la police !

Un article du journal " Présent " du 20 juillet 2010

Vendredi matin, alors que nous bouclions le numéro de " Présent " dans lequel j'appelais - parce que j'avais un pressentiment - à se porter d'urgence aux côtés de Zohra et Hamid, la police aux ordres est passée à l'action. Plusieurs rouleurs de mécanique contre deux fils de France épuisés et affaiblis par quinze mois de présence cauchemardesque place Edouard Herriot, derrière l'Assemblée nationale. Ce qui est certes beaucoup plus facile que d'aller patrouiller dans les banlieues racailles...

Comme chaque jour depuis des mois, Hamid et Zohra s'apprêtaient à déployer leurs banderoles et leurs drapeaux français (comme ils ont le droit de le faire, ayant déposé et obtenu toutes les autorisations ad hoc), quand une escouade de policiers, particulièrement - et inutilement - agressifs leur sont tombés dessus. Sans autre explication que des menaces, ils ont bousculé Hamid - et le mot est faible - et l'ont menotté. On se demande parfois que fait la police... Eh bien, au moins ça...

Dans la foulée, ils vont s'en prendre - physiquement - à Zohra qui tient à peine debout. Elle a été jetée à terre, insultée, menottée serré les mains dans le dos. Alors qu'elle souffre de crises d'asthme gravissimes et qu'une telle agression aurait pu avoir des conséquences irréversibles. Il a d'ailleurs fallu la conduire à l'hôpital Georges Pompidou pour la soigner alors qu'elle commençait de suffoquer. Signalons au passage que les pompiers qui l'ont prise en charge n'ont pas fait preuve - et c'est le moins que l'on puisse dire - d'une particulière compassion à son égard.

Après avoir été conduit sans ménagement dans un fourgon de police, Hamid a finalement été relâché, aucune charge ne pouvant être retenue contre lui. C'est dire que cette opération de police - commandée par qui ? - s'est déroulée en toute illégalité. Quant à Zohra, fortement commotionnée, elle est ressortie de l'hôpital avec 8 jours d'ITT.

Il semble que les mesures répressives à l'égard de nos deux amis ont redoublé de violence depuis que " Présent " a commencé de parler de leur calvaire. Jusque-là, maheureux anonymes n'intéressant personne, on les persécutait à la sournoise. Aujourd'hui que nous avons donné une dimension médiatique à leur combat et que nous avons annoncé une grande manifestation à leurs côtés le 15 septembre prochain, les forces de répression semblent vouloir mettre les bouchées doubles. C'est un mauvais calcul. Leurs parents n'ont pas eu peur des égorgeurs FLN, ils ne se laisseront pas impressionner par la police sarkozyste.

Mais il faut les protéger. C'est la raison pour laquelle je lance un nouvel appel pressant aux associations pieds-noires, patriotiques, d'anciens combattants. Pour l'heure, celles qui se sont manifestées - ne serait-ce que par un timide communiqué - se comptent sur les doigts de la main d'un manchot. Et c'est à en pleurer. Je suis, faut-il le dire, entre le désespoir et la rabia, les seules réactions significatives que nous ayons eues n'émanant que d'individualités, en majorité des lecteurs de " Présent ".

Ce sont nos frères. Allons-nous les laisser se faire tabasser sans rien dire ? Où sont-ils tous ces grands tchacheurs qui, comme Tartarin de Tarascon, font beaucoup de bruit avec la bouche, sont paraît-il toujours prêts à en découdre, mais demain ou après-demain ? Il y a des jours comme ça où j'ai honte de ma propre communauté.

ALAIN SANDERS

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Trahison d'Etat - Les preuves -
envoyé par nobeline. - L'info video en direct.

Pour complément d'informations, voir aussi le post

intitulé : " Videos. Paris. Assemblée nationale. Politique. Place Edouard Herriot,

Paris 7ème. Le 6/07/2010. Interview de deux harkis Zohra et Hamid,

sur un scandale d'Etat..! " Cliquez, ici :

Nous sommes tous des Harkis Français..!


Français, venez tous à la Grande Manifestation nationale,

avec les Associations et Unions d'anciens combattants, et parachutistes,

le 15 septembre 2010, à partir de 10 heures jusqu'à 19 heures

(vous pouvez amener votre panier repas),

devant le Palais Bourbon (Assemblée nationale), Place Edouard Herriot,

Paris 7ème, métro : Assemblée nationale, pour " exiger " les droits à

reconnaissance de la Patrie, pour leurs familles et compatriotes, du sang versé

par les 150 000 Harkis, lâchement trahis et abandonnés

par la France, égorgés, mutilés et assassinés par le FLN,

après et en violation " criminelle " du cessez-le-feu,

le 19 mars 1962..!

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Politique. Les affaires. Non, le président n'est pas un homme d'argent ?! Eric Woerth, son argentier préféré, lui, sait parler aux chevaux qui l'aiment bien. On a les bêtes que l'on mérite..!

Politique et Animalerie

Le Président, nous dit-il, n'est pas un homme d'argent, bien !

Eric Woerth, son argentier préféré flamboyant, lui, aime les

chevaux et sait murmurer à leurs oreilles, de Gaulle,

c'étaient les veaux Français, Chirac, les têtes

de veaux Français...

A chacun son bestiaire favori..!

Les procédés cavaliers d'Eric Woerth

Un article du Canard Enchaîné du 14 juillet 2010

Il a bradé une parcelle de la forêt de Compiègne, avec son hippodrome
et son golf, à une association amie. Une transaction " illégale ", selon le ministre
de l'Agriculture. Chapeau !

DEUX MILLIONS ET DEMI d'euros pour un tel domaine, ce n'est pas un prix de vente, c'est une vaste rigolade." L'homme qui s'étouffe ainsi n'est autre qu'un élu UMP de l'Oise, et pas l'un des moindres. Il est encore estomaqué par le culot de son ami Eric Woerth, qui, six jours avant de quitter le ministère du Budget, avait bradé à ce prix l'hippodrome de Compiègne. Un joyau de 57 hectares, avec 4000 m2 de constructions de style anglo-normand et un golf de 18 trous, à moins d'une heure de Paris. Un magistrat de la Cour des comptes précise : " il aurait dû ajouter un zéro à ce prix. "

L'affaire a été menée au grand galop : le 16 mars dernier, un arrêté du ministère imposait à l'Office national des forêts (ONF) la vente de l'hippodrome à une association privée, la Société des courses de Compiègne, jusqu'alors locataire des lieux. Dès le lendemain, le champ de courses du Putois, le cinquième de France par le chiffre d'affaires, changeait de mains.

Ce Putois commence à sentir mauvais. Pendant plusieurs mois, le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, s'était battu contre cette vente, qu'il jugeait illégale : l'hippodrome appartient à la forêt de Compiègne.

Or la loi soumet au vote du Parlement toute cession d'une parcelle forestière si la superficie totale de la forêt domaniale est supérieure à 150 hectares. Celle de Compiègne s'étend sur 140 000 hectares. Woerth a opposé un argument massue à ces arguties de juriste : seul le ministre chargé des Finances publiques - et non celui de l'Agriculture - exerce la tutelle du domaine forestier (via l'ONF). Circulez !

Course épique en forêt de Compiègne

Autre bizarrerie : cette transaction a été conclue de gré à gré, sans enchères ni appel d'offres, " en considération de la personne de l'acquéreur ", selon l'acte de vente. Or le Conseil d'Etat a jugé, en 1979, que les sociétés de courses ne pouvaient bénéficier d'un tel privilège. Woerth, qui, à Bercy, s'était fait le chantre de la vente des biens de l'Etat afin d'en remplir les caisses, aurait dû organiser des enchères et ainsi récolter a coup sur une bonne vingtaine de millions.

Troisième bizarrerie : dès le 29 octobre 2009, Woerth écrivait personnellement au président de la Société des courses de Compiègne pour lui annoncer cette vente. Mais le conseil de l'agglomération de cette ville, qui pouvait exercer son droit de préemption, n'y a renoncé que le 16 décembre. Ce qui signifie, primo, que Woerth pouvait prévoir aussi sûrement que Paul-le-poulpe la décision que prendrait Philippe Marini, maire (UMP) de Compiègne. Lequel Marini sévit également au Sénat comme rapporteur général du Budget et aurait dû, à ce titre, s'inquiéter de cet incroyable bradage par Woerth. Secundo, cela semble indiquer que le maire a renoncé à une affaire en or pour sa commune.

Tiercé sans trop d'obstacles

Dans son aimable lettre aux acheteurs, Woerth leur fait une fleur, en contradiction avec l'acte de vente établi par la Trésorerie générale de l'Oise. Ces braves gens pourront donc revendre des parcelles de leurs 57 hectares, et notamment les 6 hectares sous-loués actuellement au golf.

Mais qui sont donc ces accapareurs ? Antoine Gilibert, le président de la Société des courses de Compiègne et grand ami de Marini, est un familier de Chantilly, de son hippodrome et de son maire, Eric Woerth. Il est de toutes les réunions hippiques, notamment comme dirigeant de France Galop, l'association où Florence Woerth a été cooptée en 2003. D'ailleurs, lorsque des courses ne peuvent être organisées à Chantilly (pour cause de travaux), le serviable Gilibert dépanne Woerth en lui offrant Compiègne comme solution de rechange.

Ancien clerc de notaire, féru d'immobilier et patron d'un petit empire de maisons de retraite, Gilibert n'est pas un ingrat. Lors de l'assemblée générale de la Société des courses de Compiègne qui s'est tenue fin juin, il a chaleureusement remercié son ami Eric Woerth pour cette vente.
Woerth, Marini, Gilibert : un tiercé gagnant.

Alain Guédé

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Politique. Meudon. Environnement saccagé. Il semblerait y avoir une étroite similitude entre les maires de Clamart (PS-UMP) et de Meudon (NC-UMP): " tuer " des tilleuls et arbres centenaires !

Meudon

Comment peut-il se faire..?!!


que les maires de Meudon et Clamart, aient le même goût

et " plaisir ",

de " tuer " et d'abattre des tilleuls et arbres centenaires,

contre le gré et la volonté de leurs " administrés "

et concitoyens..?!!!

MEUDON, Avenue du château, mercredi. Marie Olga Bosse et plusieurs riverains
ont déjà recueilli plus de 200 signatures contre l'abattage des tilleuls.
" Certains datent de 1823 ", regrette la présidente du comité de défense.

Ils veulent sauver les tilleuls centenaires

et leur parking

Un article du journal " Le Parisien " du 10 juillet 2010

" Ils vont nous faire Le Plessis-Robinson sur une artère royale ! " Plusieurs riverains de l'avenue du château, le majestueux chemin qui mène jusqu'à l'Observatoire de Meudon, ne décolèrent pas depuis le début des travaux de rénovation en mai. L'entretien de la voie privée revient à la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) depuis son classement sur la liste des monuments historiques en 1972. Or, la Drac a fait abattre une vingtaine d'arbres jugés dangereux en mai et prévoit, à partir de la rentrée, la réfection de la contre-allée est. Cela implique l'aménagement de places de parking bien délimitées et la disparition de 34 tilleuls supplémentaires, remplacés cet hiver par de nouveaux spécimens. La contre-allée ouest subira le même traitement à partir du printemps 2011.

Il n'y a aucune concertation

MARIE OLGA BOSSE du Comité de Défense de l'avenue du château

" L'avenue n'est pas assez luxueuse pour l'Etat, qui veut tout refaire pour 7 Millions € et abattre des tilleuls dont certains datent de 1823 ", déplore Marie Olga Bosse, qui fait partie du comité de défense de l'Avenue du château. Plusieurs analyses phytosanitaires mettent pourtant en lumière la mauvaise santé d'un grand nombre de sujets. " Il faut se montrer raisonnable, conseille Michel Colchen, le président du comité de sauvegarde des sites de Meudon (CSSM). Ces tilleuls mal élagués en 1949, portent des nécroses importantes sur les branches maîtresses et il faut continuer les replantations. Nous avons demandé à la Drac de procéder progressivement et de replanter par secteurs en plusieurs phases. "

Paradoxe du combat mené par le comité de défense de l'avenue du château, ses membres défendent à la fois les tilleuls et le maintien de 220 places de parking. " La Drac compte en supprimer plus de la moitié, insiste Marie Olga. Où vont se garer les gens ? Car il n'existe pas d'offre alternative dans un rayon de 300 m ! " Les riverains ont déjà recueilli plus de 200 signatures de protestation. " Il n'y a aucune concertation ", affirme Marie Olga.

Les actions menées par la Drac découlent pourtant de décisions prises en 2003, après des discussions avec des associations locales telles que celle des Amis de l'avenue du château (AAAC) et le CSSM. " Un comité de pilotage se réunit une ou deux fois par an depuis sa création en 2003 ", précise-t-on du côté de la Drac.

La restriction des parkings, " sauvages " précise la Drac, va bouleverser les pratiques. " Certains ont pris l'habitude de laisser leur voiture sur l'avenue au lieu d'utiliser leur garage, souligne Hervé Marseille, le maire (NC). L'Etat voulait au départ un stationnement zéro. J'ai appuyé les associations qui avaient fait remarquer que des gens vivent sur cette avenue et ont besoin de se garer. Il y aura finalement une centaine de places. " La Drac prévoit d'achever la réhabilitation de l'avenue du château d'ici quatre à cinq ans.

JEROME BERNATAS

Quelques Remarques qui viendront à être complétées :

Les élus de Meudon, comme les élus de Clamart, sont aussi scandaleux, envers leurs concitoyens et " administrés, n'ayant aucun respect pour eux, et plutôt du mépris et de l'arrogance des " mauvais ", que de faire du Bien, du Beau et du Juste, et agissant souvent contre leur volonté de voir et pouvoir administrer leur ville et commune, comme ils l'entendent. Dans bien des cas, ces élus ne représentent pas et plus leurs concitoyens. Ces élus gaspillent des millions d'euros, pour leur propagande politique personnelle, pour enrichir les " bétonneurs " et promoteurs immobiliers et grandes entreprises du BTP, dont les intérêts sont souvent en convergence et affinités et + avec les partis politiques, leurs commanditaires, et qui avancent masqués, sous couvert " d'amélioration " d'urbanisme ou d'environnement, en réalité, du business pour politiciens, tout le contraire de ce qu'ils proclament. Ainsi, à Clamart, des arbres quasi-centenaires, dont des tilleuls magnifiques, ont été massacrés et abattus sauvagement par le maire PS-UMP, certes, mais avec l'accord des Verts, de l'UMP locale, du Modem-PS, et de tous ces politiciens affairistes, qui paupérisent les citoyens, en faisant du deal sur leur dos, les trompant, sans cesse, les spoliant de leur argent dit public, mais cet argent est laissé sans aucun contrôle des citoyens, à la plus grande discrétion des élus, pour leur plus grand profit et ambitions personnels... L'UMPS et le PS-UMP, ne sont-ils pas devenus les hyper-experts dans la " chose publique " qu'ils s'approprient sans gêne... Où voit-on l'honneur, dans ces pratiques ?

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Video. Politique. Affaire Bettencourt. Des journalistes du Monde et Mediapart font le point, avant l'intervention télévisée du 12/07/10 de Nicolas Sarkozy !

Nicolas Sarkozy sera-t-il le " fossoyeur "

des libertés publiques, de la Presse

et du droit à l'Information des Citoyens..?!!!

Les " crimes " commis sur les Harkis trahis par la France..!

Cette France " complice " du FLN du boucher Bouteflika..?!!!

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Meudon-la-Forêt. Le 7/07/2010. Actualité-Politique. Attaque de distributeur de billets à l'explosif ! Les maires de Meudon et de Clamart (UMPS !) battent les records pour l'insécurité ! le 9-3 ?!

Le duo fait exploser le distributeur de billets

Un article du journal " Le Parisien " du 8 juillet 2010

L'explosion a légèrement blessé trois personnes et provoqué d'importants dégâts matériels. Hier midi (NDLR - 7 juillet 2010 !), une forte détonation a ébranlé le quartier de Meudon-la-Forêt : deux truands ont fait sauter le distributeur de billets de la Banque postale, rue de la poste.

A 12 h 10 précises, un passant remarque un curieux manège. Un homme s'éloigne de la Banque postale, en tenant des fils à la main. Dans le même temps, un policier qui n'est pas en service et se trouve fortuitement sur place compose le 17. Quelques instants plus tard, la façade de la banque explose. Une poignée de secondes en plus et les deux truands prennent la fuite sur une puissante moto.

La déflagration a balayé un rayon de 15 mètres

Le DAB n'est plus qu'un trou béant sur le mur. La fumée ne s'est pas encore dissipée et des billets volettent encore au-dessus du bitume. Les artificiers n'ont pas lésiné sur la quantité d'explosifs. La déflagration a balayé un rayon de 15 mètres. Les fenêtres de l'immeuble situé en face de la banque ont été soufflées jusqu'au cinquième étage. Les propriétaires des voitures garées dans le secteur n'ont plus qu'à contacter les assurances : une demi-douzaine de véhicules ont eu les vitres pulvérisées et sont criblés d'impacts dus aux projectiles. Le sol est recouvert de verre pilé. Plus grave, un passant a été blessé aux oreilles par le souffle de l'explosion.

De toute évidence, il s'agit d'une opération minutieusement préparée et exécutée par une équipe de professionnels. Les explosifs n'ont pas été installés au hasard. Non seulement les braqueurs ont attendu que les deux automates soient approvisionnés, mais ils ont fixé la charge juste au milieu, au niveau du local de stockage des billets. Les spécialistes du Laboratoire central de la préfecture de police n'ont pas tardé à investir les lieux, totalement bouclés, à la recherche du moindre indice. Le dossier a été confié à la brigade de répression du banditisme, la BRB. Hier soir, on ignorait encore si les malfaiteurs avaient réussi à disparaître avec l'argent.

Cette attaque a laissé le quartier sous le choc. Au-delà de la stupeur, un sentiment domine : le bilan humain aurait pu être beaucoup plus lourd. " Vu l'explosion, c'est un miracle qu'il n'y ait pas davantage de blessés. C'est de la délinquance pure ", tempête Hervé Marseille, le maire NC de Meudon. " J'habite juste à côté, alors je suis descendu quatre ou cinq minutes après l'explosion, raconte un voisin. J'ai vu des policiers qui ramassaient des billets. " " Heureusement que le marché ne fonctionnait pas aujourd'hui, ajoute un badaud. On a frôlé le vrai drame. "

OLIVIER BUREAU ET JEROME BERNATAS

Les braqueurs ont volé 21 000 €

Un article du journal " Le Parisien " du 9 juillet 2010

Hier, le butin du spectaculaire casse perpétré mercredi à Meudon a enfin été chiffré. Les braqueurs artificiers ont mis la main sur 21 000 €. Avant-hier, vers midi, deux hommes ont fixé un dispositif explosif sur le mur de l'agence de la banque postale, au niveau du local de stockage des billets, juste entre les deux distributeurs. Quelques secondes plus tard une puissante déflagration éventrait la façade. Toutes les vitres ont été pulvérisées dans un rayon de 15 mètres.

Un passant a été blessé au tympan par le souffle de l'explosion. Tandis qu'il pleuvait des billets de banque sur le quartier de Meudon-la-Forêt, les deux malfaiteurs disparaissaient sur une moto. L'enquête a immédiatement été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) déjà chargée des attaques similaires commises ailleurs, notamment en Seine-Saint-Denis. Il a fallu rassembler tous les billets restés sur place et non détruits pour faire la soustraction et établir le préjudice financier.

Remarques : Le maire de Meudon (NC), et le maire de Clamart (PS-UMP), ne semblent pas, à eux deux, mériter leurs généreuses indemnités qu'ils s'octroient eux-mêmes, sur l'argent public de leurs administrés, qu'ils gaspillent pour leur propagande politique personnelle ou autres activités n'ayant aucune nécessité ou utilité sociale avérée quelconque, au lieu d'installer des caméras de surveillance aux alentours de ces cités ! Le lendemain de cette attaque de DAB, le 8 juillet 2010, à 20 h 30, environ, je me suis rendu sur les lieux et j'ai pris une petite video que j'ajouterai sur ce post. C'est incroyable, pas une seule trace visible de cette explosion, pas même un minuscule bout de verre sur la chaussée n'a pu être retrouvé. Où se trouve donc cette façade éventrée (selon les journalistes !) par l'explosion ? Sur une façade de la poste, il y a bien deux DAB, parfaitement intacts et nulle trace d'explosion entre eux ! Comme c'est étrange ! A tel point que j'ai interrogé plusieurs personnes, dont des jeunes, qui m'ont aimablement expliqué, ce qui s'est passé sur les lieux. Comme vous le verrez sur la video, l'emplacement où l'explosif a (et aurait !) éclaté, consiste en une toute petite ouverture carrée, maintenant recouverte d'une sorte de contreplaqué. A croire, également, que nul journaliste n'a mis les pieds sur les lieux, pour faire de la sorte, une narration de cet incident. M'adressant à plusieurs personnes, la plupart était incapable de dire où l'explosion s'était produite. Ce qui apparaît tout aussi étrange, c'est que les deux DAB, situés à quelques mètres de cette petite ouverture, où a été placé l'explosif, sont parfaitement intacts ! Il me semble que, pour réussir un tel coup, il faut avoir travaillé sur les lieux ou bien avoir une personne qui connaîtrait " parfaitement " la topographie des locaux et tous les mouvements et événements qui s'y passent, à la seconde près, stupéfiant, vraiment ! Autre chose, on a la sensation, après avoir lu l'article de presse sur cet incident, et constaté sur place, que la plus petite trace ou indice de cette explosion a disparu, d'être plongé dans un polar, où de mystérieux et méticuleux nettoyeurs, auraient fait le ménage. Mais, à la réflexion, il s'agit peut-être, tout simplement, pour M. Hervé Marseille, maire de Meudon, de vouloir faire disparaître toute trace d'incident qui pourrait donner à penser, à ses administrés, tout comme pour son illustre collègue et confrère, le maire PS-UMP de Clamart, que sa commune est en train de devenir jumelle des cités du 9-3 ?! Rien d'impossible dans ce domaine...

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Videos. Paris. Assemblée nationale. Politique. Place Edouard Herriot, Paris 7ème. Le 6 juillet 2010. Interview de deux Harkis Zohra et Hamid sur un scandale d'Etat..!

Le 6 juillet 2010. Paris 7ème - Place Edouard Herriot

Interview de deux Harkis Zohra et Hamid sur un scandale d'Etat..!

Tous à la manifestation - demain 7 juillet 2010 -

Place Edouard Herriot - Paris 7ème - à 10 heures

(Métro Assemblée nationale),

au soutien de la noble cause de Zohra et Hamid, pour leurs droits

à reconnaissance de la Patrie

Ils campent depuis plus d'un an derrière l'Assemblée nationale

Zohra et Hamid : justice pour les harkis !

Un article du journal " Présent " du 10 juin 2010

Nous avons déjà eu l'occasion d'en parler dans Présent et je sais que nombre de nos lecteurs parisiens leur ont rendu visite : depuis plus d'un an, trois enfants de harkis, Abdallah, Zohra et Hamid campent - dans des conditions que je vous laisse imaginer - sur la petite place située derrière l'Assemblée nationale. Et sous les fenêtres du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, qui a trouvé le film Hors-la-Loi tout-à-fait épatant...

Que réclament, dans le bruit, le froid extrême, bientôt la grosse chaleur, l'indifférence des députés qui passent sans voir (on ne peut à la fois accepter que la dégueulasserie cinématographique fellouze soit majoritairement financée par la France et s'intéresser aux victimes des fellouzes), ces trois témoins exemplaires ? Simplement que le président Sarkozy tienne les promesses du candidat Sarkozy. Et que justice soit - plus de quarante ans après les faits - rendue aux harkis.

On précisera que Zohra et Hamid (ils ne sont désormais que deux, Abdallah ayant dû partir) sont en butte à toutes les tracasseries policières. Tous les soirs, ils doivent ranger leurs banderoles revendicatrices, leurs panneaux explicatifs, leur petit matériel qui, dans les premiers temps, ont été systématiquement détruits par les CRS (plus actifs contre deux patriotes sans défense que contre les voyous des banlieues ethniques qui les font courir).

Jusque-là, ils pouvaient passer la nuit dans une camionnette qui leur avait été prêtée. Elle a été saisie par la police (plus rouleuse de mécaniques contre ces deux jeunes gens qui campent sous le drapeau français que face aux " jeunes " qui crachent dessus). Zohra et Hamid dorment désormais sous le porche d'un immeuble, la gardienne compatissante de ces immeubles les accueillant par ailleurs dans sa loge, au 106, rue de l'Université (VII° arrondissement).

Après plus d'un an dans la rue, Zohra et Hamid sont au bout du désespoir. C'est la raison pour laquelle je vous renouvelle mon appel - pressant - à aller leur rendre visite, avec de menus cadeaux utiles, si vous êtes à Paris ou dans la région parisienne. Et à leur passer un coup de fil pour leur remonter le moral si vous êtes plus loin. Voici leur numéro de portable 06 09 31 60 17. Il faut leur dire qu'on les aime et qu'on est fier d'eux. Ils sont le sel et l'honneur d'un pays qui préfère ses ennemis les plus haineux à ses enfants les plus aimants.

Vous pouvez aussi écrire à vos députés. Ne serait-ce que pour leur suggérer, entre deux séances de l'Assemblée (quand ils y sont), d'aller rendre visite à Zohra et Hamid) plutôt que d'aller s'arsouiller à la buvette du Palais-Bourbon. Et il ne serait pas inutile que les associations de rapatriés d'Agérie, toutes sensibilités confondues, envisagent d'organiser une grande manifestation nationale pour - et autour de - ces deux résistants. L'idée est lancée. Nous lui donnerons un écho maximum au cas où elle se concrétiserait.

Il est insupportable de tolérer que depuis de longs mois, ces jeunes gens qui ont des droits sur nous, soient abandonnés à leur triste sort. Ce sont les nôtres. Ce sont nos frères. Aidons-les !

ALAIN SANDERS

Des crimes des gouvernants Français contre les Harkis

et Français d'Algérie

Ce sont nos frères

Aux côtés de Zohra Benguerrah et de Hamid Gouraï

Un article du journal " Présent " du 2 juillet 2010

Il y a quelques semaines, nous appelions à la mobilisation aux côtés de deux enfants de harkis, Zohra Benguerrah et Hamid Gouraï qui, depuis de longs mois, campent sur une petite place derrière le Palais-Bourbon. Dans des conditions de misère indescriptible. Vous avez été nombreux à suivre notre rappel et à le relayer.

Hamid m'écrit : " Merci de votre soutien. Merci d'être venu au secours de Zohra qui est malade. La police, avec les responsables de l'Elysée, lui a pris tous ses médicaments, sa carte Vitale et son dossier médical, avec notre voiture [un break où les deux malheureux passaient la nuit] pour qu'elle ne puisse pas se soigner. Elle se bat avec nous pour faire respecter l'honneur et la dignité de sa famille et de tous les harkis morts pour la France (...). Vous nous redonnez de l'espoir pour ce combat si difficile alors que nous poursuivons notre chemin. Nous avons besoin de vous. Notre famille, c'est la France et le drapeau tricolore que nous aimons. "

Pour essayer de faire bouger les choses, et nous avons en l'occurrence besoin de l'aide de toutes les associations de rapatriés, des associations patriotiques, des groupes d'anciens combattants, un rassemblement est prévu, le 7 juillet, de 10 heures à 15 heures, sur la place Edouard Herriot à Paris (VIIème arrondissement), derrière l'Assemblée nationale. Pour attirer l'attention de l'opinion publique et lui faire connaître les actes inadmissibles dont sont quotidiennement victimes Zohra et Hamid de la part de la police régimiste : saccage de leur campement, confiscation des drapeaux français* (* en mars dernier) et des banderoles, saisie de leur voiture, menaces verbales, etc.

La date du 7 juillet, un mercredi, a été choisie parce que ce jour-là un grand nombre de députés seront présents à l'Assemblée (la séance est télévisée...) et qu'ils partiront ensuite en vacances (si tant est qu'ils travaillent vraiment...) jusqu'en septembre.

Ecoutons Hamid :

- Ce drapeau tricolore, que nous avons connu depuis notre jeune âge en Algérie, nous l'avons suivi avec nos parents, parce que nos parents le respectaient. Et ils nous ont appris à l'aimer, à l'honorer, à le défendre. Ce drapeau tricolore, qui est le nôtre, a souffert comme ont souffert les harkis et leurs enfants. Mais ce qui est grave, aujourd'hui, c'est que les forces de police [les mêmes qui laissent insulter le tricolore dans les zones de non-droit...] sont venues nous l'arracher, sous les yeux des députés, en nous disant de dégager. "

Zohra et Hamid n'ont pas " dégagé ". Hier, dans un froid extrême, aujourd'hui dans la chaleur, ces deux jeunes résistants nous donnent un exemple de courage et de fidélité. Nous ne pouvons pas faire moins que d'être à la hauteur de ce courage et de cette fidélité. Le 7 juillet, nous devons être à leurs côtés. Pour leur dire notre amour. Et montrer à ce gouvernement de dhimmis qu'il n'est plus acceptable que, près d'un demi-siècle après la fin des événements d'Algérie, les fils de France en soient réduits à une telle misère.

> ALAIN SANDERS

Un Appel des Français aux Français !

La France, notre patrie est en danger, et nous sommes tous des Harkis,

pour la sauver, avec Zohra et Hamid,

Tous ensemble,

manifestons, le 15 septembre 2010, Place Edouard Herriot -

Paris 7ème, (métro Assemblée nationale),

à partir de 10 heures, jusqu'à 19 heures..!

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Videos. Politique. La Honte à Clamart ! . Le Bois de Clamart, le Jardin Parisien et la forêt domaniale de Meudon " massacrés " par les élus et politiques (dont PS-UMP-UMPS !) ?!!!

A Clamart...

Les politiques tous " confondus ", n'ont-ils pas " massacré "

le Bois de Clamart, le Jardin Parisien et

la forêt domaniale de Meudon ?!!!

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Politique. Affaires et scandales. Français, pour arrondir vos fins de mois et doubler " librement " votre salaire, ne vous gênez pas, prenez exemple sur Jeannette Bougrab..! du bon boulot !

Jeannette Bougrab a doublé son salaire

Un article du journal " France-Soir " du 23 juin 2010

Encore une affaire qui tombe mal en temps de crise... Selon l'édition d'aujourd'hui du Canard enchaîné, la nouvelle présidente de la Halde, Jeannette Bougrab, a fait voter début mai, par le collège de l'instance de lutte contre les discriminations, une délibération visant à doubler son indemnité mensuelle. De 6 900 € (l'indemnité de son prédécesseur, Louis Schweitzer), elle est passée à 14 000 euros.

L'hebdomadaire satirique précise que cette délibération, en date du 3 mai (et qui ne figure pas sur le site de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité), a été votée sous le titre de " modification de règlement de gestion des professionnels ". Toujours selon Le Canard, la présidente de la Halde bénéficiera également d'une indemnité de résidence.

Jeannette Bougrab, 36 ans, militante UMP, a été nommée présidente de la Halde par un décret du 16 avril du président de la République, Nicolas Sarkozy. Créée par la loi du 30 décembre 2004, la Halde bénéficie d'un budget annuel de 11, 9 millions d'euros et emploie 87 personnes. Elle était présidée depuis sa création par Schweitzer, dont le mandat est arrivé à échéance le 8 mars.

Voir aussi, sur cette affaire, l'article du " Canard enchaîné " du 30 juin 2010, intitulé : " La présidente de la Halde chasse " Le Canard " - A cause du palmipède, elle doit renoncer à s'augmenter de 100 %. "

Brèves remarques : Il y a des emplois intéressants, et surtout bien rémunérés, que nous offre la bonne République de notre bon président, Nicolas Sarkozy. Mais, pour les obtenir, il faut être méritants, et bien travailler à l'école, au collège, à l'ENA et à Sciences Po. Dommage que dans le 9-3, et ailleurs, les " jeunes " des Cités, trouvent beaucoup plus amusant, et préfèrent faire un joli carton sur les policiers et leurs concitoyens. Et les pouvoirs publics ont l'air de bien comprendre les ambitions de cette belle jeunesse qui aime tant le festif et les feux d'artifice, ponctués par le bruit rassurant des kalachnikov et autres cocktails ravigorants. Bah, disent-ils, il faut bien que jeunesse se passe... Les citoyens apprécient, oh combien, ces sentiments fraternels et pleins de sollicitude, de bon aloi, faut-il le préciser..?!

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