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Politique. Suprême mensonge des politiciens : Etat de droit et démocratie qui n'existent pas en France ! La notion d'Etat de droit une " invention " pour dominer, asservir le peuple, leur règle !

Les Français serviles semblent idolâtrer leurs politiciens

au point de s'offrir à eux sans honneur comme leurs esclaves,

même s'ils sont les plus corrompus et prévaricateurs du monde..!

D'où vient ce comportement et attitude de servitude volontaire ?!

La Boétie nous éclaire sur la lâcheté

de nos concitoyens..!

" Pour avoir la liberté, il ne faut que la désirer "

Dans son "Discours de la servitude volontaire ", le jeune La Boétie pose la question suivante : pourquoi les hommes se laissent-ils asservir ? Pourquoi ne renversent-ils pas ceux qui les tyrannisent ? Des centaines de milliers d'hommes n'ont-ils donc aucune ressource face à un homme seul ? Cette manière de voir était très audacieuse pour son temps, il nous suggère ici qu'une révolte populaire contre le pouvoir est non seulement souhaitable, mais aussi possible.

C'est chose étrange d'ouïr parler de la vaillance que la liberté met dans le coeur de ceux qui la défendent; mais ce qui se fait en tous pays, par tous les hommes, tous les jours, qu'un homme mâtine* (* soumettre, asservisse) cent mille et les prive de leur liberté, qui le croirait, s'il ne faisait que l'ouïr dire et non le voir ? Et, s'il ne se faisait qu'en pays étranges et lointaines terres et qu'on le dit, qui ne penserait que cela fut plutôt feint** (** imaginé, inventé) et trouvé que non pas véritable ? Encore ce seul tyran, il n'est pas besoin de le combattre, il n'est pas besoin de le défaire, il est de soi-même défait, mais que*** (*** pourvu que) le pays ne consente à sa servitude; il ne faut pas lui ôter rien, mais ne lui donner rien; il n'est pas besoin que le pays se mette en peine de faire rien pour soi, pourvu qu'il ne fasse rien contre soi. Ce sont donc les peuples mêmes qui se laissent ou plutôt se font gourmander**** (**** Brider, dominer, dompter), puisqu'en cessant de servir ils en seraient quittes; c'est le peuple qui s'asservit, qui se coupe la gorge, qui, ayant le choix ou d'être serf ou d'être libre, quitte la franchise***** (***** la liberté) et prend le joug, qui consent à son mal, ou plutôt le pourchasse. S'il lui coûtait quelque chose à recouvrer sa liberté, je ne l'en presserais point, combien qu'est-ce****** (****** Encore que l'homme ne doit avoir (rien) de plus cher que...) que l'homme doit avoir plus cher que de se remettre en******* (******* De recouvrer) son droit naturel******** (******** La Boétie affirme ici que la liberté est un droit naturel, c'est-à-dire fondamental et inaliénable, de tout homme), et, par manière de dire, de bête revenir homme; mais encore je ne désire pas en lui si grande hardiesse; je lui permets qu'il aime mieux je ne sais quelle sûreté de vivre misérablement qu'une douteuse espérance de vivre à son aise. Quoi ? si pour avoir liberté il ne faut que la désirer, s'il n'est besoin que d'un simple vouloir, se trouvera-t-il nation au monde qui l'estime encore trop chère, la pouvant gagner d'un seul souhait, et qui plaigne(9) ((9) Ménage) la volonté à recouvrer le bien lequel il devrait racheter au prix de son sang, et lequel perdu, tous les gens d'honneur doivent estimer la vie déplaisante et la mort salutaire ?

Etienne de La Boétie, Discours de la servitude volontaire (1553), Flammarion, coll. " GF ", 1983, p. 136-137

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Politique ou faux de l'Histoire. Juin 1940. Qui de de Gaulle et Ph. Pétain a vraiment trahi la France et les Français ? Une falsification et imposture de l'Histoire par les politiciens..!

Juin 1940. Qui est le traître de l'Histoire, de Gaulle ou Ph. Pétain ?

Démonstration en 11 points et " faits historiques " de l'imposture

et falsification criminelles de l'Histoire à " son encontre "

et envers Ph. Pétain..???!!!

-- 23 août 1939 Pacte germano-soviétique. Le PCF Français est avec les Allemands.

-- 2 décembre 1939. le gouvernement (Français !) reçoit les pleins pouvoirs du Parlement !

-- 21 mars 1940. Démission de E. Daladier. P. Reynaud devient président du Conseil.

-- 17 mai 1940. Pétain ambassadeur de France à Madrid est rappelé par P. Reynaud pour devenir vice-président du Conseil.

-- 4 juin 1940.. Les troupes françaises sont faites prisonnières sur les plages de Dunkerque par les Allemands !

-- 5 juin 1940. Remaniement ministériel. De Gaulle devient sous-secrétaire à la guerre.

-- 9 juin 1940. Le général de Gaulle est envoyé en mission par le gouvernement à Londres !

-- Le 17 juin 1940, le général de gaulle quitte Bordeaux pour l'Angleterre !

-- Le 18 juin 1940. Apppel à la résistance du général de Gaulle " réfugié " à Londres. A noter que son appel est resté ignoré par 99 % de la population, et que l'on a aucun enregistrement sonore comme souvenir de cet appel diffusé à la radio de Londres. Donc " audimat " plus qu'insignifiant à l'époque !

-- Le 22 juin 1940. Signature de l'Armistice (et non pas le 18 juin 1940, de nombreux français ont été tués entre ces dates du 18 juin et 22 juin 1940 !) à Rethondes, la moitié Nord et les côtes atlantiques sont occupées par l'armée allemande.

-- Le 10 juillet 1940. Le Parlement (Français !) accorde au maréchal Pétain les pleins pouvoirs par... 569 voix pour, 80 contre, 17 abstentions !!! Qui sont les " collabos " des nazis ???!!! Oui, vous l'avez deviné : nos très chers parlementaires ! Voilà comment l'on écrit l'Histoire " officielle " en France " et que l'on lessive le cerveau des petits Français à l'école. N'avez-vous pas honte, vous les politiciens qui avez ruiné et spolié la France et les Français de 1678 milliards d'euros, en détournant cet argent public des Institutions pour vos menus plaisirs et ceux de vos " copains " et " copines ", et que vous avez le cynisme et l'infâme culot d'oser nous faire de la morale en dépit de vos turpitudes et forfaits impunis, et que de surcroît, vous en redemandez, encore, et encore..!!! Proudhon n'aurait-il pas dit : " A bas les voleurs et bandits intouchables " qui sont au-dessus de la loi ? N'est-il pas vrai ???!!!

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Politique. Enfin, la preuve avérée que nos politiciens détournent les institutions de la République pour leurs profits " personnels " ! Von Hayek nous le démontre excellemment.!!!

Le Droit et la Politique sont de faux-amis

et même des " faux-jetons ", comme

leurs " praticiens ",

c'est clair..!

Politique - N. Sarkozy criminel de guerre ou pas... par solaristemplar

Le principe de la souveraineté

est une astuce et " tromperie " de nos politiciens,

voire, une énorme imposture de leur part,

qui dénature et confisque la démocratie

aux citoyens..!

Une distinction ténue, mais essentielle, doit être faite entre un pouvoir fondé sur l'opinion de la majorité et un pouvoir exprimant la volonté souveraine de la majorité. Selon le philosophe Friedrich August von Hayek, la démocratie risque de devenir une sorte de dictature si elle suit cette deuxième voie.

Si tout pouvoir coercitif doit être fondé sur l'opinion de la majorité, il doit aussi ne pas aller au-delà de ce que la majorité peut vraiment admettre. Cela n'implique pas qu'il faille une approbation spéciale de la majorité à propos de chaque acte particulier du gouvernement. Une telle exigence serait manifestement irréalisable dans une société complexe moderne lorsqu'il s'agit de la direction courante des rouages de la machinerie gouvernementale, c'est-à-dire des décisions à prendre au jour le jour quant à l'emploi des ressources mises à la disposition du gouvernement. Mais la règle énoncée signifie effectivement, d'une part que l'individu ne doit être tenu d'obéir qu'aux ordres découlant nécessairement des principes généraux admis par la majorité; et d'autre part que le pouvoir des représentants de la majorité doit être inconditionnel en ce qui constitue l'administration des moyens placés à leur disposition.

La justification ultime pour l'attribution d'un pouvoir de contraindre est qu'un tel pouvoir est indispensable au maintien d'un ordre viable, ce qui fait que tout le monde a intérêt à ce que ce pouvoir existe. Mais cette justification ne porte pas plus loin que le besoin sur lequel elle se fonde. Il n'y a manifestement nul besoin que quelqu'un, même pas la majorité, exerce un pouvoir sur toutes les activités et circonstances survenant dans la société.

Il semble n'y avoir qu'un faible écart entre l'opinion que seul doit être obligatoire pour tous ce que la majorité approuve, et l'opinion que tout ce que la majorité approuve doit avoir cette force. Et pourtant, la transition fait passer d'une conception du pouvoir à une autre conception entièrement différente; de la conception qui confère au gouvernement des attribution limitées, nécessaires pour que se forme un ordre spontané, à la conception selon laquelle ses pouvoirs n'ont pas de bornes; c'est passer d'un système où, par des procédures reconnues, nous décidons de la façon dont certaines affaires doivent être réglées, à un système où un certain groupe de gens peuvent déclarer à leur gré que telle affaire est d'intérêt commun et, par ce motif, en décider selon les mêmes procédures. Alors que la première conception se réfère à des décisions nécessairement communes, requises pour que soient sauvegardés la paix et l'ordre, la seconde conception permet à certaines sections de la population de décider de toutes choses, et devient facilement prétexte à oppression.

Friedrich August von Hayek, Droit, législation et liberté (1979), t. III, trad. R. Audoin, PUF, 1983, p. 7-8

Sarkozy et guerre c/ Kadhafi - Secret ou... par solaristemplar

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Politique. Le maire PS " qui tua Clamart " et son environnement, se substitue, pour les sénatoriales, au maire PS de Fontenay-aux-Roses, qui " tua sa dir de com ", harcelée et se défenestrant...

Ph. Kaltenbach, maire PS est

" L'homme qui tua Clamart "


dans son environnement remarquable exceptionnel et

charme d'autrefois, un des plus riches propriétaires fonciers

et immobiliers de la commune, champion des cumuls de mandats,

avantages et privilèges de nos politiques, conduira la gauche

aux sénatoriales, se substitue à la candidature de P. Buchet,

maire PS de Fontenay-aux-Roses, qui a fait, récemment,

l'actualité de la presse politique...

Il était temps. Le bureau national du Parti socialiste vient de décider que la liste des candidats aux élections sénatoriales de septembre sera conduite par Philippe Kaltenbach, maire (PS) de Clamart et vice-président de la région Ile-de-France.

La rue de Solférino a dû trouver une alternative à la défection de Pascal Buchet, initialement désigné par les militants. Le maire de Fontenay-aux-Roses a jeté l'éponge après sa condamnation, fin juin, pour harcèlement moral par le tribunal correctionnel de Nanterre, à la suite du suicide de sa directrice de la communication. Une condamnation dont il a fait appel.

Il devrait libérer son poste de vice-président à la région

En désignant mardi soir le maire de Clamart, les responsables socialistes ont mis fin à un feuilleton en évitant de reconvoquer les militants altoséquanais pour qu'ils désignent eux-mêmes leur candidat.

" J'ai été sollicité car ma candidature est apparue comme légitime, a réagi hier Philippe Kaltenbach. En tant que président de l'Union des élus socialistes et républicains du 92, je connais bien les élus du département. J'ai aussi mené la bataille en tant que tête de liste départementale dans les Hauts-de-Seine lors des dernières élections régionales où, en 2010, la gauche a emporté un succès historique en devenant majoritaire pour la première fois dans le département du président de la République. "

Philippe Kaltenbach souhaite " mener une campagne particulièrement active auprès des grands électeurs des Hauts-de-Seine car l'enjeu est majeur. Il s'agit d'obtenir un troisième sénateur pour la gauche, qui sera déterminant pour que celle-ci devienne majoritaire au sénat ".

Conformément aux engagements demandés par le PS à tous les candidats aux sénatoriales, Philippe Kaltenbach a jusqu'à septembre 2012 pour se trouver un successeur à la mairie de Clamart. Il devrait aussi libérer son poste de vice-président à la région, poste qui pourrait être attribué à l'apparatchik Roberto Romero, inscrit à la section de Bagneux et proche de Benoît Hamon.

De son côté, le socialiste boulonnais Pierre Gaborit, que les militants avaient désigné au deuxième rang pour porter les couleurs du PS aux sénatoriales, préfère utiliser l'ironie pour dire son dépit le jour de son soixante-dixième anniversaire : " Si l'on pense que dans un parti politique seuls les dirigeants ont de l'importance, si l'on pense qu'il n'y a rien à redire au fait de désigner à une responsabilité de sénateur quelqu'un qui n'a même pas soumis sa candidature au vote des militants, alors il faut approuver la décision du bureau national ", grince le militant. ***

ROBERTO CRISTOFOLI - un article du journal " Le Parisien " du 21 juillet 2011

*** [ NDLR - Il est amusant de constater la grande " naïveté " de M. Pierre Gaborit, dans sa remarque que l'article " interprète " comme de " l'ironie grinçante ", et alors que tous les Clamartois " savent " que M. Philippe Kaltenbach fait sa " propre loi " dans son fief (car Clamart " lui appartient " qu'à lui-seul !) sans contestation aucune, mais avec, bien évidemment, l'argent des Clamartois, et pour lesquels il ne rend aucun compte, qu'il est, probablement, le despote et tyran le plus absolu de la commune et, sans doute, du 92. " L'homme qui tua Clamart " de façon définitive la plus monstrueuse enregistrée de son histoire, décide seul de toutes les dépenses somptuaires pharaoniques et inutiles (le plus souvent nuisibles et néfastes aux habitants), sous couvert de " travaux publics " et " autres constructions " élevées à sa seule gloire, mais en réalité, uniquement profitables et destinées à ses puissants réseaux d'influence, à sa propagande personnelle politique (toujours sous couvert de " communication "), se chiffrant à des millions d'euros annuels, etc., etc.. Ne pas oublier, aussi, que M. le maire est tellement aimé et apprécié de l'UMP locale et du 92, que M. NS, un temps, n'avait-il pas été tenté de lui offrir un poste de tête de liste aux régionales, comme première étape, et dans le but " stratégique " futur, d'en faire un de ses ministres d'ouverture, comme il en a le secret et la profonde affinité... En réalité, M. le maire PS de Clamart, jouit de " pouvoirs " illimités sans le moindre et élémentaire contrôle de qui que ce soit (bien étrange tout de même !) que ne possèdent même pas les plus puissants au sommet de l'Etat, et de notre système politique et surtout politicien... Il y a là une énigme qu'il serait du plus haut intérêt, au sens " intéressant " du terme, à résoudre et à déchiffrer...]

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