Selon une source bien informée, provenant
du journal Clamartois bien connu " Le Clamart Engagé ",
le très très très très richissime maire PS et heureux châtelain de la ville,
aurait menacé gravement de poursuites judiciaires très graves
l'UMP locale au motif d'ordre pénal et pour infraction
d'ouverture...d'un local Pop'store !
Les Clamartois sont en émoi et terrifiés, le maire PS, Ph. Kaltenbach,
ayant aussitôt proclamé l'Etat d'urgence et un couvre-feu immédiat,
a appelé à la mobilisation générale de ses troupes
et instances judiciaires, à se tenir sur le pied de guerre,
envoyant à titre préventif, des missives-missiles de menaces
de poursuites judiciaires terribles, pour, selon lui, atteinte
à sa propriété à vie de (sa) mairie de Clamart, et des suites
qui lui sont rattachées, comprenant (ses) habitants, (ses) bâtiments
publics et privés de la ville, et incluant (son) beau château,
admirablement situé dans la ville, faisant fermer (sa) piscine du Bois,
à proximité, de son château (150 mètres !), trop bruyante,
fréquentée par la plèbe, pour en construire une autre (15 millions d'euros),
dévastant un des plus beaux sites et fleurons forestiers du Bois de Clamart,
dépendant de la forêt domaniale de Meudon ! Le socialisme
kaltenbachien, n'est-il pas un super humanisme où les libertés
publiques sont à découvrir de toute urgence..!
Cet homme n'est-il pas très dangereux, nuisible et néfaste à la santé
des Clamartois - Le " précédent " de Fontenay-aux-Roses "
de son homologue n'est-il pas un signe fort et inquiétant
de la dangerosité encourue de subir " l'administration "
de ce parrain (des sans-papiers ?!), sans limites
et sans bornes d'un quelconque contre-pouvoir
démocratique ?
De notre envoyé spécial auprès
du Canard (pardon) du Clamart Engagé
BOUTIQUE UMP : OBSTRUCTION SCANDALEUSE DU MAIRE
ET... MENACES DE POURSUITES JUDICIAIRES
Il y-a-t-il des libertés publiques en vigueur
à Clamart ? C'est la question fondamentale et de principe
qui est posée solennellement à M. le maire
par ses administrés !
" Le maire n'aime pas l'opposition lorsqu'elle s'exprime. Il l'aime encore moins lorsqu'elle se donne les moyens d'aller à la rencontre des Clamartois. Il la déteste lorsqu'elle ouvre un local qui lui permet d'avoir pignon sur rue.
Depuis quelques semaines, le maire ne décolère pas. Ses antennes n'ont pas fonctionné comme prévu et ont laissé passer l'affaire sans qu'il ait préempté (pour une fois...).
Acte I : Echaudée par les coups bas du maire, c'est en toute légalité, mais dans la plus grande discrétion, que l'UMP se porte acquéreur d'une boutique à vendre face au marché de la Fourche.
Acte II : le maire explose lorsqu'il prend connaissance de la vente et fait rédiger une lettre destinée à l'UMP des Hauts-de-Seine et à Jean-Didier Berger. Il menace ses opposants de poursuites judiciaires... en prétextant qu'une permanence n'est pas un commerce... argument qui ne cache pas son envie de bâillonner l'opposition... tant il est vrai qu'il ne s'est jamais soucié de l'avenir du commerce à Clamart.
Acte III : Jean-Didier Berger répond au maire afin de le sortir de l'erreur : ce local n'est pas une permanence ! C'est une boutique Pop'store qui, comme rue de La Boétie à Paris, va vendre les articles portant les couleurs de l'UMP... Pin's, parapluies, préservatifs... le maire aura peut-être un jour l'utilité d'acheter l'un de ces articles... Jean-Didier Berger demande donc fort logiquement le droit de poser une enseigne sur ce local.
Acte IV : le maire respectant toujours aussi mal les règles ne notifie pas le délai d'instruction à la suite de cette demande. Cette dernière bénéficie alors en conséquence du délai le plus court, l'enseigne est donc posée...
Acte V : le maire prend un arrêté pour mettre en demeure l'UMP de déposer l'enseigne sous peine d'une astreinte de 200 euros par jour ! Et refuse l'autorisation de poser l'enseigne, pour des motifs tout à fait improbables et contestables... alors même que le délai est déjà dépassé...
Acte VI : L'UMP attaque en justice pour se défendre et faire valoir ses droits face à ce despote en herbe... Problème : les loisde notre beau pays étant ainsi faites, c'est à l'UMP de prouver sa bonne foi et la mauvaise foi de la mairie... L'UMP a donc provisoirement fait enlever l'enseigne avant de pouvoir la reposer très vite... et sans aucun doute aux frais du maire...
Malgré cette volonté anti-démocratique d'obstruction, l'UMP a ouvert ce local et vous y accueille le mercredi de 10 h à 12 h 30, le vendredi de 17 h à 19 h, le samedi de 10 h 30 à 12 h 30 et de 16 h 30 à 18 h 30 ainsi que le dimanche de 10 h 30 à 12 h 30. Toute l'équipe vous y attend.
Extrait du Clamart Engagé n° 5 - octobre 2011 - spécial mi-mandat
Mon avis : cet article est très bien rédigé et pose bien le problème du droit qui n'est pas ou mal appliqué, selon des critères bien particuliers et propres à la mairie de Clamart, semble-t-il. Aussi, je pense qu'ici, il y a un abus de pouvoir et de droit manifeste de la part de la mairie, qui devrait être logiquement réprimé et sanctionné avec la dernière sévérité, en pur droit. En outre, également, je pense que ce " fait " est constitutif d'une quasi-voie de fait, procédant de l'arbitraire communal manifeste, apparaissant dans les motivations et mobiles " personnels de haine ou de vengeance " clairement évoqués et à déterminer et rechercher pour leur qualification par les juridictions concernées. Ces motivations et mobiles traduisant de facto et de jure des actes visant à porter atteinte aux libertés publiques fondamentales en ses principes essentiels et constitutionnels faisant cruellement défaut à la mairie de Clamart et à ses dirigeants, ce qui est aussi une évidence aux yeux de tous les Clamartois de bonne foi et honnêtes...
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