En 2001, lors de " sa " prise du pouvoir par Ph. Kaltenbach, maire actuel (et dictateur avéré et confirmé ?!) PS-UMP, à la veille du 2ème tour des élections municipales, tout juste de retour d'un affichage effectué en soirée, le " futur " maire PS-UMP de Clamart, s'adresse à un de ses plus proches et préférés militants, avec lequel il vient de " coller ", en ces termes :
Bon, maintenant, que fait-on ? Et si nous allions crever les pneus des cars emmenant les pensionnaires des maisons de retraite aux bureaux de vote, comme c'est l'usage, ces vieux c... votant à droite, c'est tout bénef pour nous ! " Imaginez la suite, bonnes gens, donnée par ce si bon maire qui veille sur vous, vous avez dit : Big Brother ?!!! (NDLR - Cette anecdote (que vous pouvez trouver amusante et réjouissante !) est " authentique " et bien " réelle " !). N'est-elle pas belle la vie... Qu'en pensez-vous, mes chers concitoyens kaltenbachiens et " administrés " Clamartois...
Interview imaginaire (enfin, peut-être " presque " !)
-- Voyons, êtes-vous sérieux, M. Ph. Kaltenbach, un être si doux, si simple, si avenant, courtois et humble avec les Clamartois et, surtout, avec leur argent, dont il les dépouille si joyeusement pour faire leur fête, avec quelle amabilité et diligence discrètes, aussi, qu'il distribue, avec quelle grandeur d'âme et générosité, également, par centaines de millions d'euros, à ses promoteurs et bétonneurs favoris, chouchoutés et privilégiés admirables de l'UMPS-PS-UMP, pour le " casse " complet et Hold-up de la ville ( " main basse sur la ville ", vous connaissez, un magnifique film tellement réaliste où l'on croirait s'y voir dedans en 3 D ?!!), l'abattage des arbres (surtout centenaires, ce qui est mieux et préféré !) qu'il effectue avec un enthousiasme si ardent, vigoureux, étonnant, même stupéfiant, et jamais vu auparavant, malgré les trois guerres (1870-1914-18-1939-45 !) ayant marqué d'incidents fort bénins notre bonne ville, en comparaison des tranchées et chantiers ouverts à l'initiative de notre si bon maire (qui a la chance et le privilège (pas pour les Clamartois, certes !) d'avoir été parachuté comme " pompe à fric " dans notre belle Cité, par les appareils politiciens, cabinets et autres bobos milliardaires du Parti dit " socialiste "), et justement dénommé, et à bon droit, entre autres, " Demolition man "! Alors, comment pouvez-vous donc caricaturer à ce point notre bon maire, si si si, ayant une étiquette et label " socialiste " (NDLR - aussi vrai que si j'étais, moi, le pape Benoît XVI, et où Jaurès se retournerait, probablement, dans sa tombe, d'entendre un tel blasphème et imposture et usurpation, par le contraire de ce qu'il a été ?!!! ?!!!), vous dis-je, et lui prêter (l'on ne prête qu'aux riches, souvenez-vous en !) de si noirs desseins ! C'est impossible, réfléchissez un peu ! D'ailleurs, sous entendez-vous, dans votre anecdote, que l'action apocalyptique sans nom de M. le maire, serait en quelque sorte " illégale ", voire, une spoliation ou un détournement " illicite " des deniers publics, pour enrichir (honni soit qui mal y pense), en même temps que les politiciens commanditaires au plus haut niveau (ai-je parlé, ici, de l'UMPS-PS-UMP associés, NON ?!), qui en sont les bénéficiaires " républicains et institutionnels " protégés, intouchables et exonérés et exemptés absolument de prison (très très discrets, mais oui, je vous l'assure !), des bétonneurs qui, eux, ont fait, au moins, admirablement leur travail de mort et de désolation cyniques et sinistres de nos Cités, et aussi leurs preuves parfaitement avérées, en ayant presque complètement passé toute la ville, non pas par le fil de l'épée, mais patience, cela viendra très bientôt, mais bien par bull-dozers et autres engins monstrueux et travaux infinis du BTP qu'affectionne particulièrement avec une obsession et passion addictive en phase terminale, notre très mais très très très cher maire (notez bien, que je n'ai absolument pas dit ni prononcé, en aucune sorte, le mot BTPK-PS-UMPS associés, qui serait, peut-être, j'en conviens, beaucoup plus approprié aux circonstances et actualités politiques de la ville) ???!!!
-- Mon cher monsieur, je crains fort que vous ne vous exprimiez que par litotes. Ce que j'ai voulu tout simplement dire, ici, c'est que notre bon maire appliquait à la lettre, cette merveilleuse recette qui réussit toujours admirablement en politique politicienne, surtout, pourrais-je ajouter, lorsqu'elle est pratiquée par un grand expert en immobilier et foncier (et c'est même M. Patrick Devedjian qui nous l'a révélé, merci, à nous autres, les vrais et authentiques Clamartois), doué, de plus, de réels et rares talents de banquier, mais nous y reviendrons, et en détails, plus tard. Cette recette s'appelle " l'Art du cochon français appliqué en politique française républicaine " ou " ripoublicaine ", vous pouvez utiliser l'une ou l'autre orthographe autorisées par l'Académie Ripoublicaine des politiques français. Cette recette, fait d'ailleurs l'objet de cours spécifiques dispensés en comité très restreint et choisi, à l'ENA et à l'IEP de Paris ou de Bordeaux, n'ayant pas de différence notable de " contenu " entre ces différentes institutions.
-- Ah, ça, vous vous moquez, l'Art du cochon français ! Et puis quoi, encore ?
-- Mais non, mais non, je suis très sérieux, et je vais vous expliquer ce système qui " marche " plutôt bien avec notre si bon maire (notez que, je ne crois pas avoir fait ce lapsus et avoir employé le mot " Frère " au lieu de " maire "). La politique, c'est tellement compliqué, mais justement elle est faite pour cela et pour les vrais initiés, qu'il peut arriver, bien sûr, que l'on y perde son latin, mais, cela est excusable, n'est-il pas vrai ? Revenons à nos moutons (pas de Panurge, mais Clamartois), avec notre si bon maire et berger. Ne pas confondre, surtout, avec ce fameux loup ou loup-garou, extrêmement dangereux, pour la santé et la vie (l'ayant rencontré, et m'ayant même murmuré à l'oreille, une fois, et je m'en rappelle fort bien, devant le stade Hunebel, au forum des associations, il y a deux ans, passant tout-à-côté de moi, distribuant un tract au bénéfice de la population Clamartoise : " Attention à ne pas avoir d'accident ". Ce très gentil " conseil " prodigué de la part de ce loup, était d'une telle prévenance délicieuse et délicate, de sa part (du loup ?!), que j'ai vraiment beaucoup appréciée ! Il s'était revêtu d'une peau de mouton, pour s'introduire dans la bergerie (quelque chose qui peut ressembler à la mairie de Clamart, mais, ne pas confondre, également, la mairie du maire de Clamart et ses sujets et serfs administrés, avec un énorme et immense fromage ou gâteau, quoique..!
-- Quoiqu'il en soit, l'Art du cochon français en politique française est fort simple et facile à appliquer, de plus, terriblement efficace. En effet, le loup, pardon, c'est un lapsus, le même, utilise avec brio le stratagème de " l'Art du cochon français " (NB - je n'ai nullement dit ce " cochon de français ", non, ce serait " inacceptable ", et pas tellement porteur " électoralement parlant ", à l'évidence !). " Dans le cochon français, tout est bon ". Quel français, en France, ne connaît-il pas cette célèbre devise ou maxime ! Eh bien, en politique, c'est exactement la même chose. Le politicien, et surtout, celui qui se targue d'être le meilleur d'entre-eux, à Clamart, il n'est nullement difficile de le reconnaître, et plutôt élémentaire, d'y apporter la bonne réponse, exploite et utilise au maximum ses administrés et en extirpe tout leur argent destiné au social et bien-être de la population, pour ses menus plaisirs, voyages à l'étranger, l'hiver, dans les pays chauds, c'est mieux, cadeaux à l'étranger, fêtes fastueuses et somptuaires, feux d'artifice et autres joyeusetés, repas hôtels fournis, et même des camions ! (veaux, vaches, cochons et couvées, et j'en passe, etc., etc.,). Ne parlons même pas de la propagande, car, cela vous donne le vertige et vous risquez de tomber malade et frappé d'admiration devant tant d'habileté et de ruse confondantes de son commanditaire exclusif et seigneur (ou saigneur ?!) des lieux, sans partage ni merci. Bien sûr, cela se passe en France, mais aussi à l'étranger. L'on comprend bien la chose, étant de bons sujets (administrés rendus dociles et domptés ?!) et enfants très compréhensifs de notre bon guide, qui ne veut que notre bien, évidemment, mais avant tout, et plus surement, le sien, qui lui est autrement et " hautement " profitable, ainsi qu'aux " siens ", appartenant, j'allais encore faire un lapsus désastreux, en ajoutant au terme " siens ", l'expression : " à la même meute " de politiciens " copains et copines " républicains ou " ripoublicains ", à vous de choisir, ayant un sens plus fort, mais aussi, certainement, étant beaucoup plus exact, quant à la définition, et correspondant bien à la situation subie par les " administrés " Clamartois. Moralité, s'il en est : " la loi du plus fort et du plus mauvais est toujours la meilleure " (La Fontaine paraphrasé !)...
A suivre...
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