Suivre le " Guide " et " chef " de Clamart,

avec une clé passe-partout chez les " bétonneurs ", vous apportera

la méthode du succès assuré..!

Il fut un temps, pas si lointain, avant 2001, où un conseiller municipal de l'opposition, plus qu'ambitieux, et candidat-maire, grande gueule, qui n'aurait pas dédaigné faire le coup de poing, pour montrer combien il était le caïd des lieux, surtout prêt à tout, pour arriver à ses fins de dégommer le maire en place, pour s'y substituer et faire " grosse " fortune, quels que fussent les moyens et méthode employés pour y parvenir, mettait en place, un stratagème qui a fait ses preuves dans le " milieu ", mais, certes, pas très reluisant pour son auteur, qu'il utilise, encore maintenant, mais plus à l'abri, plus feutré, et de façon soigneusement " indirecte " et détournée, pour ne pas, croit-il, attirer les " soupçons " sur sa personne, dans les Cités dites " populaires " du Haut-Clamart, principalement, pour se débarrasser de ses " opposants ", et où ses " jeunes ", constituent et sa garde prétorienne et ses " troupes-à-tout-faire ", même le ménage (?), pour verrouiller son bastion et fief électoral, d'une façon imprenable, et pour éliminer tous les gêneurs lui barrant la route ou " susceptibles ". seulement, de lui barrer la route...

Aussi, ce Nicolas Machiavel en herbe et au petit pied, imagina, sans état d'âme, de propager le plus possible cette rumeur, et de la façon la plus étendue, ici et là, que le maire en place, était un alcoolique notoire de la pire espèce, ce qui, évidemment, était la plus fausse, odieuse, calomnieuse et diffamatoire accusation, qui aurait pu entacher injustement l'honneur, la situation et le statut social de ce maire. Or, cet odieux et infâme diffamateur, et déjà, un voyou confirmé politicien, fit tant et si bien à répandre cette rumeur de gangster, que le maire en question fut obligé de porter l'affaire en justice. Bien que ce diffamateur et calomniateur, n'eut pas grand chose à craindre de son forfait, étant déjà, à l'époque, puissamment protégé par de très hautes personnalités de la politique, il fut quand même condamné, tenez-vous bien, braves gens, à... 1 franc symbolique redevable au maire qui avait été injustement diffamé et calomnié.

A la fin de la séance de ce procès au tribunal, ce candidat à la magistrature suprême de la ville de Clamart, exultait de jubilation et s'approchant du maire lui dit ceci : " vous avez vu comme je vous ai eu (battu !), le maire lui répondit : " mais c'est bien vous qui avez été condamné ! ", ce à quoi, le diffamateur et calomniateur lui fit cette réponse de bon voyou politicien professionnel, inhérente à sa nature et personnalité, " vous n'y êtes pas, c'est moi qui ai gagné, quoique vous fassiez, toute votre vie et réputation à Clamart seront ternies à jamais, et les gens ne croiront jamais à votre innocence ! ". N'est-elle pas belle la vie de maf.... à Clamart. A vous de juger mes chers concitoyens !

Ne voit-on pas, ici, la méthode parfaite du succès et de la réussite du passage en dix ans du statut de simple maire à celui de sénateur ? A Fontenay-aux-Roses, il a fallu qu'une nombreuse équipe d'experts reconnaissent de façon formelle et péremptoire la responsabilité du maire qui a fait balancer et défenestrer sa directrice de Com, sans aucun état d'âme ni remords, laissant deux orphelins en bas-âge et un veuf dans leur désespoir et douleur, pour stopper (momentanément !) l'ascension d'un ambitieux, absolument prêt à tout, comme son homologue de Clamart, pour arriver à ses fins. Et vous voulez voter pour ces individus ?! Où est l'honneur ?! Où est votre honneur de citoyen que vous revendiquez à tort et que vous trahissez honteusement...