Un " système " inconnu et " caché " aux Clamartois, ayant quelque utilité pour
une politique mafieuse, susceptible d'accroître et de favoriser
encore plus la corruption
pratiquée en toute impunité par
certains de nos " très chers élus "..?!!!
Le maire UMP ne veut plus payer les frais d'avocat
de son prédécesseur PS
un article du journal " Le Parisien " du 2 juillet 2014
REGLEMENT DE COMPTE à Clamart, trois mois après les municipales qui ont vu la ville basculer à droite. La nouvelle majorité du conseil municipal a voté lundi soir l'abrogation, pour l'avenir, de la protection fonctionnelle dont bénéficie l'ancien maire PS de la ville, Philippe Kaltenbach. La protection fonctionnelle permet la prise en charge par la collectivité des frais de justice d'un élu local, lorsqu'il est poursuivi pour des faits se rattachant à l'exercice de ses fonctions. Cette protection avait été accordée à Philippe Kaltenbach en 2012 suite à l'affaire dite des vidéos, pour laquelle il est suspecté, à tort selon lui, de corruption passive (NDLR - sur des images filmées en camera cachée, on le voit recevoir de l'argent alors que la conversation évoque l'attribution d'un logement social), et qui lui vaut une mise en examen.
Une facture jugée trop salée
Une protection infondée, selon son successeur, l'UMP Jean-Didier Berger. " Elle ne s'applique que si l'on est mis en cause dans le cadre de ses fonctions ", a expliqué au conseil l'élu, qui tente d'imposer l'idée que ce n'est pas le cas. Mais ses arguments sont surtout financiers : " Quand je suis arrivé, j'ai découvert que la mairie de Clamart avait dû verser des frais très importants ", a expliqué le nouveau maire, qui chiffre le total des dépenses en frais d'avocats à plus de 89 000 €. Et juge qu'une dernière facture " excède les montants communément pratiqués ". " Elle sera payée si elle est justifiée ", précise l'élu, qui dénonce l'utilisation de la protection " pour des contentieux dérivés ". A savoir une série de plaintes déposées par Philippe Kaltenbach, qui s'en est d'ailleurs expliqué lundi soir, affirmant qu'elles étaient au contraire " directement liées " : diffamation et dénonciation calomnieuse contre son meilleur ennemi, Philippe Pemezec, maire UMP du Plessis-Robinson, celui qui avait " révélé sans preuves tangibles l'affaire des vidéos manipulées ". Celui qui fut aussi, n'a pas manqué de rappeler le socialiste, le parrain en politique de Jean-Didier Berger. Diffamation encore, notamment contre l'ancien ministre UMP Laurent Wauquiez, qui l'aurait traité d "ordure " lors d'un meeting de soutien au même Berger en juin 2013 au Plessis, ou plus récemment contre Marion Maréchal-Le Pen, qui l'a attaqué sur son blog...
Des plaintes en cascade qui lui ont valu le désaveu de ses anciens alliés EELV : " Les attaques concernent l'individu, pas le maire, et les sommes engagées peuvent sembler indécentes à beaucoup de citoyens ", dénonce Vanessa Jérome, qui s'est abstenue avec son groupe Clamart Citoyenne.
" La protection fonctionnelle est un droit, c'est la loi, la justice me donnera raison ! " clame Philippe Kaltenbach, qui compte bien faire annuler cette décision par le tribunal administratif. Une décision " uniquement d'ordre politique " : " Il s'agit d'une vengeance personnelle de M. Berger ", estime-t-il. Et de rectifier la somme avancée par son adversaire, à savoir " 78 000 € " sur trois ans, représentant le montant global des honoraires d'avocats sur six affaires ". PASCALE AUTRAN
" Les DENTS DU MAIRE Ph. Kaltenbach enfin révélées !
Merci pour ce moment en l'honneur et faveur
de la démocratie et des " pauvres "
administrés Clamartois " et
" sans-dents "
Et si Valérie Trierweiler avait raison ?
Valérie Trierweiler n'est-elle pas une bonne citoyenne en faveur de la démocratie
et des " pauvres sans-dents ", en dénonçant les bassesses et turpitudes des politiques qui ruinent
et spolient les Français sans vergogne, alors qu'ils s'enrichissent personnellement honteusement
et scandaleusement, comme des bandits ou mafieux, aux frais des citoyens et contribuables, et
alors que ceux-ci n'ont aucun contre-pouvoir ni autre moyen de contrôle à leur opposer, même
lorsqu'ils commettent des délits ou crimes, comme des bandits ou mafieux, couverts de leurs crimes
au plus haut de l'Etat, faisant pression sur la justice, et, en définitive, les crimes de ces politiciens
s'avèrent toujours impunis ou si peu, ce qui est se moquer des honnêtes citoyens Ainsi, l'article 11
de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26/08/1789,
nous montre que Valérie Trierweiler est humaine, sensible, respectueuse
des pauvres, et dénonçant avec raison les turpitudes, délits ou crimes et le
mépris des hommes politiques envers ceux qui les engraissent et enrichissent,
sans aucune contrapartie en faveur de l'intérêt général et public du peuple,
mais contre lui... L'article 11 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen
du 26 août 1789, dispose que:
" La libre communication des pensées et des opinions est un des droits
les plus précieux de l'homme; tout citoyent peut donc parler, écrire,
imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans
les cas déterminés par la loi. "
Et Apocalypse Now (politicienne) à Clamart ?
OUI, seulement une " Affaire d'Etat ", à hauteur
de 150 millions d'euros pour le moins,
la plus grosse Affaire du Siècle..!
Après celle d'un Stavisky !
Est-ce possible ?
Non seulement possible, mais démontrable !
Détournements de fonds publics au moyen de " Clamart Habitat "
(OPAC) basé et fondé sur des " faux en écritures publiques avérés ",
portant sur des montants de 100 à 150 millions d'euros, au moins !
Le président de la République dûment informé de ces " faits... "
MAFIA ET SYSTÈME MAFIEUX A CLAMART
TENTACULAIRES ET SPECTACULAIRES ?!!!
BANDE-ANNONCE explosive du film :
" Les " sans-dents " Clamartois
se rebiffent contre
le satrape Ph. Kaltenbach
un " intouchable " surpassant
un Néron et Crésus
depuis
2001-2014..! "
Mon avis et commentaire les jours prochains :
cela va probablement saigner pour PK... et comme " parrain ", certains n'en sont-ils pas devenus " experts ". Nous allons voir cela de près, chers amis Clamartois? Comme promis, examinons donc de plus près les " faits " !
Il semble indéniable que Ph. Kaltenbach, maire de Clamart de 2001 à 2014, une bien trop longue période pour certains, n'est pas apparu pour beaucoup de Clamartois, comme un maire " normal ", encore moins " ordinaire ", mais, en tout cas, comme quelqu'un " d'intouchable ", au sens " magique et littéral du terme, en regard de ses " exploits " et " faits d'armes " envers ses concitoyens-administrés, devant rester obligatoirement " sagement " dans les rangs, sans bruit ni vagues, à peine de très sérieux ennuis et très graves soucis à se faire. L'opposition, " curieusement ", très étrangement et bizarrement, semble n'avoir jamais exercé la moindre opposition, ni le plus petit contrôle, sur les dépenses particulières ou spéciales, de M. le maire, parfois hors-normes, ou dépassant l'imagination, pour leurs emplois, surtout, en ce qui concerne les dépenses dites de " communication ", notions très vagues et très larges, renfermant de fabuleux et profonds mystères, probablement connus que par de très très rares, ou peut-être, et même surement, par l'unique " initié " intéressé, et se chiffrant, cependant, à des millions d'euros annuels, sans doute, mais pour lesquelles, bien malin, et surtout, combien imprudent, voire dangereux pour lui-même, tout administré qui aurait demandé à voir les détails et comptes et imputations à quatre chiffres, de ces fameuses dépenses de " communication-propagande ", voire personnelles, et aurait reçu une fin de non-recevoir, pour le mieux, quant au pire, il valait mieux ne pas y songer. Aussi, tout un chacun, des Clamartois-administrés, n'est-il pas fortement étonné, d'apprendre par bruit et rumeur, qu'une dette de 150 millions d'euros affecteraient les comptes publics de la ville, annoncés, notamment, sur un blog vraiment " très trash " de la ville, et bien connu des Clamartois, pour service " servile " et zélé de propagande rendu à l'ex-maire, désavoué complètement, et débarqué, semblerait-il, lors des municipales de 2014, par son propre camp, ce qui pour un citoyen-administré averti et attentif à la chose publique, s'avère du plus significatif et éclairant pour l'entendement...
Donc, nous sommes en plein polar, mais un polar " vrai ", où la réalité dépasse largement la fiction, et où Philippe Marlowe, le célébre détective, aurait eu lui-même de sérieuses difficultés à résoudre ces " mystères ", soigneusement occultés aux administrés Clamartois par les partis en place, tant les enjeux au plus haut niveau de notre " Ripoublique " sont pleinement engagés et " impliqués " dans notre affaire...
Donc, Raymond Chandler, le " père littéraire " du détective Philippe Marlowe, aurait certainement aimé écrire ce polar " vrai " qui se passe bien à Clamart, et non pas à Kidal, qu'affectionne pour on ne sait quelle raison (pour Artashat-les-cadeaux, cela peut se comprendre et même être désapprouvé !), l'ex-maire de Clamart, M. Philippe Kaltenbach. Chers amis lecteurs de ce site et blog, si vous pouvez voir un ou des posts où je relate: " la plus grosse affaire du siècle en matière de corruption ", selon les dires des magistrats, et dite : " celle des marchés publics truqués des lycées d'Île-de-France, celle qui va vous être révélée, concernant Clamart, sera 500 fois plus importante, par ses implications politico-financières touchant le coeur et système de l'Etat, que l'affaire précitée des " marchés publics des lycées d'Île-de-France ", pour laquelle, très étrangement, aucun des élus concernés par cette immense et criminelle corruption, n'a été inquiété, ni n'a effectué un seul jour de prison...
Non, non, ici, la présente affaire me fait penser à " l'affaire Stavisky ", laquelle, avec celle du " canal de panama ", ont fait chuter cette IIIème République (des voleurs) corrompue jusqu'à la moelle dans ses institutions, et c'est peu de le dire, ainsi. Contrairement au dogme répandu par les Bobos et autres, l'Histoire se répète bien et parfaitement, même, à Clamart, allant jusqu'à mimer, de façon étonnante, ces " acteurs " politiques les plus corrompus (et voleurs !) de cette IIIème République qui nous a amené fatalement à la guerre.
" Merci pour ce moment " d'attention, et un sourire aux " sans-dents " que je n'oublie pas. Un petit rappel de " l'affaire Stavisky ", va nous mettre dans l'ambiance de polar " vrai " Clamartois, histoire que l'on se racontera longtemps au coin du feu des Chaumières Clamartoises, pour le plus grand profit des petits enfants.
Nous sommes en IIIème République, mais le décor aurait pu s'ajuster aux années 2001-2014 du règne et régime autocratiques de l'ex-maire de Clamart, Philippe Kaltenbach...
Alexandre Stavisky, dit le " beau Sacha ", essaie de faire passer et écouler, par le " Crédit communal ", établissement dont il est le fondateur, 25 millions de francs de faux bons du trésor, et grâce au système chaîne Ponzi - détourne 200 millions de francs. Mais, une enquête-éclair se déclenche, menée par Albert Prince, chef de la section financière du parquet de Paris.
Stavisky a de nombreuses et très hautes relations dans la police, la presse, justice. Grâce au député Gaston Bonnaire, sénateur René Renoult, ministre des Colonies et ancien ministre de la justice, Albert Dalimier, les directeurs de journaux Dubarry et Aymard avaient profité de ses largesses en échange de leur appui, le procureur général Pressard, beau-frère du président du Conseil Camille Chautemps, avait fait en sorte que Stavisky vit son procès indéfiniment reporté. (NDLR - une petite remarque s'impose quand même, à propos de procédures " Clamartoises " indéfiniment reportées, ne serait-ce que pour les simples videos-internet-corruption reconnues " authentiques " par la police technique et scientifique, qui n'arrêtent pas d'être bloquées, et allant plus doucement qu'au " plus petit pas de sénateur ", on ne peut faire plus lent, du sur place, en vérité, comme c'est étrange...).
Beaucoup de personnalités avaient été du dernier bien avec le " beau Sacha " et comptaient sur son silence, de sorte que lorsque la police retrouva Stavisky agonisant dans un chalet à Chamonix, le 8 janvier 1934, on se demande à qui le suicide ou le crime (car les circonstances de la mort étaient mystérieuses) profitaient le plus. Le Canard enchaîné titra : " Stavisky se suicide d'un coup de revolver qui lui a été tiré à bout portant. " ou encore " Stavisky s'est suicidé d'une balle tirée à 3 mètres. Voilà ce que c'est d'avoir le bras long ". La découverte du corps décapité d'Albert Prince, le 16 février 1934 (chef de la section financière du parquet de Paris qui avait notamment mené l'enquête tambour battant), ne fit que renforcer la polémique, même si les circonstances de sa mort ne sont toujours pas élucidées.
En résumé, Stavisky avait été couvert par des politiques et cette affaire a déclenché une grande polémique sur le degré de complicité des parlementaires, polémique comparable au scandale de Panama. Ce scandale déclencha une crise politico-économique française, succédant au décès " mystérieux " (suicide-assassinat) d'Alexandre Stavisky, et symbolisa la crise d'un régime instable soupçonné (accusé ?!) de corruption et contribua à la chute du gouvernement Camille Chautemps et au déclenchement des émeutes (manifestations ?!) antiparlementaires du 6 février 1934 (NDLR - Remarque - où c'est moi qui le précise, que les pseudo-historiens " officiels " patentés et autorisés, se permettent de qualifier fallacieusement les manifestants, qui se sont faits tirer comme des lapins par les forces de l'ordre aux approches de l'Assemblée nationale, le 6 février 1934, de " fascistes ", et alors que la plupart de ces manifestants étaient de simples citoyens honnêtes, en colère, qui ne pouvaient plus supporter leurs politiques véreux, voleurs et corrompus qui les ruinaient dans leurs scandales inouïs et " criminels ", aux cris de : " A-bas les voleurs ! ").
Curieusement, semble-t-il, ici, à Clamart, " l'Histoire " aurait fâcheusement l'allure de se répéter pour le plus grand malheur des sujets sans droit et " sans-dents " " administrés Clamartois " qui vont arrêter de se faire tondre comme de stupides moutons noirs...
Remarques :
ATTENTION - MISE AU POINT ET MISE A JOUR au 24 novembre 2014 :
Effectivement, il est avéré que " CLAMART HABITAT " (OPAC) bien nommé, a été basé, fondé et institué " sciemment " sur des "faux en écritures publiques qui ont été couverts ou tolérés (ce qui revient au même) par les autorités de tutelle et de contrôle, dont celles justement chargées de faire respecter les règles de la comptabilité publique, totalement absentes et ignorées " sciemment " et " délibérément ", parce que " intouchables et " protégés (?!) ", par les dirigeants de " Clamart Habitat ". Le président de la République a été dûment informé de ces " faits ". " L'affaire " avance au plus petit pas de sénateur possible impossible de trouver ailleurs...
(*) système de Ponzi : c'est un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Tout s'écroule et se découvre lorsque les fonds entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des commandes des clients. Source : Wikipedia. (Lire la suite prochainement)...
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