Les gouvernants et politiques Français
(entre autres pays de l'UE), complètement soumis
aux USA, par des accords " secrets " mondialistes et financiers,
ont reçu comme " ordres et instructions ", de déstabiliser la monnaie-euro
des pays de l'UE, au profit d'une revalorisation du dollar US,
qui a perdu sa suprématie mondiale de valeur d'échange.
Au risque d'entraîner une troisième guerre mondiale,
il a été recommandé et " prescrit ", de provoquer
un conflit avec la Russie, afin de " recréer "
un nouveau rideau de fer, semant
les plus grands troubles et désordres
monétaires entre les pays de l'UE
et la Russie, favorisant le
dollar américain...
LES ÉTATS-UNIS ENTRAÎNERONT-ILS
L'EUROPE DANS LEUR CHUTE ?
extraits de la revue " Complots et Dossiers Secrets n° 23 "
Le Global Europe Anticipation Bulletin (GEAB) dans son édition du 15 avril 2014 revient sur la récente crise ukrainienne. Nous assistons à une confrontation entre la Russsie de Poutine et l'Occident et l'image de la guerre froide vient inévitablement à l'esprit. cependant, et la surprise est de taille, contrairement à ce que les grands médias laissent sous-entendre, ce ne serait pas la Russie qui chercherait le retour d'un rideau de fer mais bel et bien les Etats-Unis. Le pouvoir américain tenterait désespérément de pratiquer une nouvelle politique de " containment " en désirant séparer anciennes puissances et pays émergents, monde d'avant et monde d'après, débiteurs et créditeurs. Dans quel but ?
La préservation utopique de l'American way of life et l'influence des États-Unis sur " leur " camp à défaut de pouvoir l'imposer sur le monde entier. Le bateau coule et il semble que les États-Unis veuillent entraîner le plus de gouvernements possible dans leur naufrage. Voici donc l'enjeu : entraîner avec eux tout le camp occidental pour pouvoir continuer à dominer et à commercer avec suffisamment de pays. Il se livre actuellement une intense bataille médiatique et de désinformation afin de tenter de retourner les opinions et les leaders en Europe afin d'assurer des gouvernants dociles et compréhensifs vis-à-vis du patron américain.
Les dirigeants américains font un forcing incroyable pour imposer le TTIP. Le Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (TTIP) est un accord commercial en cours de négociation entre l'Union européenne et les États-Unis qui vise à éliminer les barrières commerciales dans de nombreux secteurs économiques afin de faciliter l'achat et la vente de biens et de services entre l'UE et les États-Unis. Ce marché de dupes n'a que pour seule ambition de couper ce qui pourrait être la planche de salut de l'Europe, à savoir les BRICS, leurs immenses marchés, leurs dynamiques d'avenir, leur lien avec les pays en voie de développement, etc. Pour sa survie, le plus vite possible, l'Europe doit quitter le navire US. Malheureusement les dirigeants européens les plus raisonnables sont complètement paralysés et la meilleure stratégie qu'ils soient encore capables de mettre en oeuvre actuellement, dans le meilleur des cas, semble être une simple temporisation, certes utile et bienvenue mais guère suffisante...
Les États-Unis ne reculeront devant aucune déstabilisation des autres états pour parvenir à leurs fins. Ainsi, on a appris récemment dans le Guardian du 3 avril dernier que les États-Unis étaient derrière un réseau social à Cuba visant à déstabiliser le pouvoir en place. Une vidéo a fuité sur Youtube montrant les Américains à la manoeuvre derrière le coup d'Etat en Ukraine et il semblerait qu'ils ne soient pas innocents dans la déstabilisation actuelle d'Erdoğan en Turquie. Et que dire des agissements US en Syrie, en Irak...
Les masques tombent... sur des évidences certes, mais désormais, à l'heure d'Internet, plus personne ne les ignore. En Europe, les États-Unis parviennent également à retourner les dirigeants les uns après les autres, afin qu'ils suivent les intérêts américains docilement. Ils avaient déjà le soutien de Cameron, Rajoy, Barroso, Ashton... Ils ont réussi à obtenir celui de la Pologne de Donald Tusk alors que celui-ci était fortement réfractaire en début de mandat, celui de l'Italie grâce au coup d'Etat opportun de Renzi, et de la France de Hollande/VAlls grâce en particulier au remaniement ministériel et un premier ministre peu suspect d'antiaméricanisme. François Hollande semble même maintenant complètement soumis aux États-Unis. Quelles pressions a-t-il subies ? L'Allemagne, quant à elle, résiste encore un peu mais pour combien de temps ?
Alors que les BRICS ont choisi une voie opposée et cherchent à se dégager à tout prix de l'influence désormais profondément néfaste des États-Unis, l'Europe est pour l'instant le dindon de la farce. En témoigne par exemple l'achat par la Belgique de 130 milliards de dollars de bons du Trésor américain en trois mois d'octobre 2013 à janvier 2014, soit un rythme annuel supérieur à son PIB... Ce n'est certainement pas la Belgique elle-même qui est responsable de cette aberration, mais bien sûr Bruxelles, c'est-à-dire l'UE en tant que petit soldat US.
Politiquement l'Europe est donc étouffée par les États-Unis qui peuvent s'en donner à coeur joie en l'absence de tout leadership. Et le moyen de sceller définitivement cette mainmise américaine sur l'Europe s'appelle TTIP... Même si les médias aux ordres du pouvoir clament à s'en époumoner que la reprise est là ainsi que le confirment les cours de bourse, au plus haut, ou alors les prix de l'immobilier qui redressent la tête, l'économie réelle américaine est à l'agonie. Le taux de privation alimentaire est plus élevé qu'en Grèce. Les magasins, même bon marché, mettent la clé sous la porte faute de clients et les demandes d'emprunt immobilier sont au plus bas, ce qui présage un retournement imminent. L'enjeu essentiel du TTIP, c'est la préservation du dollar dans les échanges commerciaux et le maintien de l'Europe dans le giron américain afin d'éviter que ne se constitue un bloc Euro-BRICS capable de faire contrepoids aux États-Unis.
Remarques: un article d'analyse géopolitique très remarquable de lucidité et de perspicacité de la situation réelle économico-politico-financière et actuellement catastrophique de la France, dans laquelle nous ont plongés nos gouvernants et politiques (gauche-droite confondues) qui abusent et s'enrichissent pour leurs profits et privilèges personnels, détournent des centaines de millions et " milliards d'euros d'argent public ", octroyés au BTP et à leurs dirigeants,et peut-être aussi, par de savantes combinaisons " protégées et encouragées par l'Etat ", " rendant service " aux partis politiques, toujours au détriment et préjudice des administrés-citoyens, qui n'ont aucun moyen de contrôle, ni même de regard sur ces turpitudes, délits, voire crimes contre la chose publique, qu'ils subissent, sans pouvoir en empêcher quoi que ce soit, l'Etat étant complice de ces faits avérés. Nous ne sommes pas en démocratie. D'ailleurs, l'avons-nous jamais été ? Qui osera le dire et l'avouer ? Pas nos politiques, à l'évidence...