Ô tempora ! Ô mores !
Contrats de concession par l'ETAT
ou PPP (partenariats public-privé), par
l'ETAT et/ou collectivités = ETAT-MAFIA.
Des milliards d'euros " occultés " et
" soustraits ", sans leur consentement,
ni leur contrôle, aux citoyens
et contribuables Français !
Amis, chers lecteurs,
n'oublions pas de voter les 22 et 29 mars 2015,
contre ces politiques corrompus, et malhonnêtes, ou
relevant d'une MAFIA d'ETAT qui n'ose pas dire son
nom, mais qui " osent ", eux, cependant, ruiner,
piller, et " racketter ", la France et
les Français, comme des brigands,
qu'ils sont, agissant dans leurs
forfaits " criminels ", en
toute impunité, protégés
et "couverts " par
leur plus haute
" hiérarchie "
d' ETAT !
- AVANT-PROPOS -
Ces politiques " prévaricateurs ", ou " corrompus " et " donneurs de leçon de morale ", de surcroît, n'ont-ils pas conduit à la misère et au désespoir profonds, le peuple Français, lui dissimulant leurs forfaits et " crimes ", en le réduisant au silence " complice " et à son asservissement. En établissant, tels des tyrans consommés, par une manipulation des masses et du logos et discours politique, par l'instauration d'une police politique " Orwellienne " répressive de la pensée étatique imposée et obligatoire, une dictature "criminelle " et liberticide, de la pire espèce ? Et qui fait que ces élections des 22 et 29 mars 2015, se doivent, selon le code de l'honneur et de l'honnêteté minimale, requis par tout élu qui se respecte et respecte ses compatriotes (ils n'en restent qu'une toute petite poignée !), de déchoir de tous leurs mandats et de toutes leurs fonctions, ces tueurs de démocratie et dictateurs, ces " criminels " impunis qui nous narguent, qui nous méprisent, nous insultent et oppriment, nous, le petit peuple et sans-dents.. !
La question ne se poserait-elle pas,
aux Français, de savoir si nos politiques ne
détourneraient pas l'argent dit " public ",
par milliards d'euros, pour leur
enrichissement " personnel ",
ou pour celui de leurs amis
politiques et du BTP, ou
vice-versa..?!!!
L'aéroport de l'angoisse
(NDLR - pas celle (l'angoisse) de Manuel Valls,
pour... sûr !)
un article du journal " Le Canard enchaîné " du 23/12/2014
MANUEL VALLS martèle que l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes sera réalisé. Mais deux contentieux qui bloquent le chantier restent encore à trancher par les tribunaux. Et la ministre de l'Ecologie? Ségolène Royal, qui affiche prudemment un " refus de la manière forte ", est favorable à l'abandon pur et simple du projet. Mais une annulation de ce chantier pourrait coûter jusqu'à 3 milliards d'euros. Primo, il faudrait dédommager Vinci, qui a signé pour la construction et l'entretien dans le cadre d'une concession de cinquante-cinq. Deusio, aménager et agrandir l'aéroport existant, Nantes-Atlantique.
Côté dédommagements, la convention signée par l'Etat et Vinci, publiée au " Journal officiel " le 29 décembre 2010, a tout prévu. C'est un fatras incompréhensible pour le commun et dans lequel se perdent même des juristes aguerris. L'article 81 stipule qu'en cas " de résiliation pour motif d'intérêt général " Vinci recevra l' "intégralité de la valeur actualisée nette[qu'il aurait dû percevoir] jusqu'à la fin normale théorique du contrat de concession ", c'est-à-dire pendant cinquante-cinq ans. On n'a plus d'aéroport, et on paie comme s'il existait. Soit une somme de 2,36 milliards, selon le magazine " Terra Eco ", proche des opposants au projet et qui a consulté le plan d'affaires détaillé de la concession. La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) affirme, elle, que " l'abandon de l'aéroport est hors de question " et se refuse donc " a en chiffrerle coût ". Etrange !
Ce n'est pas tout. L'aéroport actuel, Nantes-Atlantique, est pratiquement à saturation, avec 4 millions de voyageurs annuels. Et il en arrive 1 million de plus tous les cinq ans. Il faudrait donc l'agrandir. L'opération est malaisée : l'aéroport est très proche de la ville, avec tout ce que cela suppose de nuisances sonores, et il est un frein au développement urbain. Il est de plus, au coeur d'une zone écologique protégée - Natura 2000 - et tombe sous le coup de la loi littoral. Sa rénovation coûterait 685 millions, estime la DGAC. " Seulement - 475 millions, selon les opposants.
Et qui profiterait de cette manne ? Vinci, de nouveau, qui est également gestionnaire de Nantes-Atlantique. A tous les coups l'on gagne...
Est-il possible de faire quelques remarques à ce sujet ? :
C'est trop ! A lire cet article, comme tant d'autres semblables, les Français en arrivent à se demander, s'ils rêvent ou se retrouvent dans un film d'horreur ou " gore ", ou bien, sur une planète, où ils seraient prisonniers dans des camps, et où des gens, appelés gouvernants ou politiques, une sorte de gardes-chiourmes, féroces, mais distingués, selon une hiérarchie bien établie entre-eux, les avaient parqués dans ces camps, après les avoir dépouillés de tous leurs biens. Mais le plus étrange, et le plus étonnant, consistait, par la force et mauvais traitements, infligés aux prisonniers, de leur faire crier sans cesse, qu'ils étaient très heureux et remerciaient infiniment leurs gouvernants et politiques, de les avoir volés et escroqués, par dizaines de milliards d'euros, et ruinés jusqu'à l'os. Et que même, leurs gouvernants et politiques, devaient aller beaucoup plus loin, pour leur bien, matériel et spirituel, et leur faire acquérir " une droite pensée " envers eux, de les enfermer dans la fameuse caverne de Platon, pendant de très nombreuses années. Ceci, disaient-ils, devait faire travailler sainement leur cerveau (s'ils en ont un !), de se soumettre sagement et fidèlement, aux turpitudes, délits et crimes de leurs très chers maîtres, gouvernants et politiques, lesquels, étaient les seuls capables, et de loin, de leur apprendre cette " soumission " et joie de vivre et félicité, dans une société correctement policée et ordonnée, pour le Bien de tous, qui est d'atteindre la vertu suprême désirée par tous, le Bonheur. Le meilleur des mondes, en vérité.
Mais, tout à coup, l'on ne sait pas pourquoi, le rêve se déchira, et les prisonniers, si heureux de leur captivité et de leurs maîtres bienfaiteurs, furent saisi d'une grande fureur, et de moutons de Panurge et de veaux qu'ils étaient, se métamorphosèrent en loups sauvages et cruels. L'on apprit la suite, en relisant avec délices les fables de ce bon monsieur Jean de La Fontaine, lequel, résida et apprécia notre bonne ville-village de Clamart. Mais, cela, c'était avant, bien avant...
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