« Politique, F. Hollande, incarnation de Big Brother, heureusement beaucoup plus médiocre, se croyant fort d'insulter le FN, se prend une claque en retour, se mettant à dos le PCF, partenaire-alibi du PS |
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| Politique. Meudon/ Clamart. Comment le bon maire de Meudon, comme l'ex-maire de Clamart, ce dernier hors-limite, s'approprie et jouit des Biens publics, qui ne sont plus publics. eg : l'étang de Chalais »
" Toute nation a le gouvernement qu'elle mérite "
(J. DE MAISTRE, Corr., 15.08.1811).
" Vous avez beau ne pas vous occuper de politique,
la politique s'occupe de vous " (mot attribué à
M. R. DE MONTALEMBERT)
Le président syrien
Bachar al-ASSAD interviewé au 20 heures
de France 2 dénonce les mensonges
de la France et son soutien
aux jihadistes et
terroristes
Le président :[...] " Nous n'avons jamais entendu parler d'armes aveugles. Je ne sais pas ce qu'est un baril explosif. Quant au gaz de chlore, nous sommes accusés de l'utiliser par les Occidentaux parce que nous avons deux usines de chlore en Syrie : une a été fermée, l'autre est sous le contrôle des terroristes. "[...]
[...] " Il y a des contacts avec les services de renseignement français, mais il n'y a pas de coopération. Il faudrait que nous aidions la France alors qu'elle soutient les terroristes. Nous n'avons pas aidé ceux qui ont attaqué Charlie Hebdo. C'est la France qui a aidé les terroristes " fustige-t-il.[...]
Ludovic Galtier - Extraits de l'article du journal " Le Parisien " du 21 avril 2015
Les mensonges (are they ?)
du président François Hollande
pyromane, sur Bachar al-Assad, mettant
à feu et à sang la Syrie, armant et
aidant les rebelles jihadistes et
terroristes, s'ingérant et
menant la subversion chez
une puissance
étrangère...
Diviser les Français, les monter les
uns contre les autres, est l'unique
préoccupation et motivation
principale, d'un président
incapable et incompétent
de gérer la France pour
son Bien, et surtout,
de procurer la paix
et la sécurité, que
réclament, avant
toute chose, la
France et les
Français..!
Quelques remarques :
Décidément, la France de François Hollande, " soumise " au prosélytisme de l'islamisme fondamentaliste, auquel il semblerait adhérer et souscrire, à ce qu'il paraîtrait, est de même facture, au moins aussi mauvaise (très mauvaise même), que la France d'un Nicolas Sarkozy, lequel s'accroche à son cocotier, enfin au pactole + avantages, que représentent les fonctions de président, tous deux visant 2017. Tous les deux, également, ont ceci de similaire, en ce qu'ils ont mis à feu et à sang le Moyen-Orient, puis à son tour, l'Afrique, devenue autrement pire, que les propos imbéciles et de mauvaise foi, de ceux qui n'ont qu'à la bouche, de vilipender, et injurier, avec quelle haine de coupeurs de têtes et d'appels au meurtre, cette période où la France était présente en Afrique, par eux auto-proclamée et dite période coloniale.
Or, à bien considérer le problème, l'on s'aperçoit que depuis 2008, Nicolas Sarkozy, puis François Hollande, qui a pris le relais, en catimini des Français, et bien sûr, sans la moindre explication qu'ils leur devaient, ont " soustrait " (ou comment peut-on dire : volé ?) 58 millions de dollars, servant à financer et armer Al-Qaïda, mais aussi, tous les terroristes assassins du Moyen-Orient et d'Afrique, qui se retournent même contre la France et les Français. Et après, nous voyons ces politiques crier et hurler qu'il faut combattre les terroristes et assassins, et alors qu'ils leur ont donné des armes pour tuer les Français ! Comment expliquer aux Français, que ce sont nos propres politiques qui envoient tuer et massacrer sur notre sol leurs compatriotes ?
Reste l'affaire de l'exécution de Kadhafi, que celui qui prétend revenir aux affaires en 2017, se doit de nous expliquer, comment les choses se sont passées, et que sont advenus les 50 millions d'euros, qui ont été gentiment prêtés ou plutôt " donnés " par kadhafi, pour aider Nicolas Sarkozy, dans sa campagne présidentielle de 2007... N'est-il pas intéressant, pour les Français, de savoir comment nos politiques fonctionnent, avec notre argent et deniers publics, bien sûr, mais ce qu'ils font, aussi, avec l'argent étranger qui leur est généreusement octroyé, le droit démocratique de savoir quoi !
Maintenant, un aperçu sur " l'exécution de Kadhafi par Nicolas Sarkozy " :
http://mobile.agoravox.fr/actualites/politique/article/un-secret-de-sarkozy-bien-garde-l-154064
vendredi 4 juillet 2014 - par IlfattoQuotidiano.fr
Un secret de Sarkozy bien gardé : l’exécution de Kadhafi
Cinquante millions d’euros déboursés par Mouammar Kadhafi pour sa course à l’Élysée, et l’exécution suspecte du colonel, sont autant de cadavres dans le placard de l’ex-président français Nicolas Sarkozy. Ce n’est pas un hasard si l’assaut de l’OTAN contre la Libye a débuté le 19 mars 2011 par un bombardement des chasseurs français sur les forces de Kadhafi, lesquelles étaient sur le point de terrasser les rebelles à Benghazi.
Les fantômes libyens, toujours démentis sèchement et avec indignation par Sarkozy, sont réapparus après sa spectaculaire arrestation d’hier. Dans les écoutes téléphoniques, il apparait que l’ex-président français fait pression sur un juge et tente de se renseigner précisément sur l’enquête portant sur les fonds présumés de Kadhafi qui avaient financé sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.
Le premier à avoir accusé Sarkozy d’avoir accepté les millions provenant de Tripoli pour se faire réélire avait été Saif el Islam, le fils – encore en vie – du colonel, trois jours avant l’assaut de l’OTAN. Le 25 octobre 2011, l’ex premier ministre libyen, Baghdadi Ali al-Mahmoudi, qui s’était enfui en Tunisie avant d’y être arrêté, admettait lors d’un interrogatoire : « J’ai supervisé personnellement le dossier du financement par Tripoli de la campagne de Sarkozy. »
Un an après l’attaque de l’OTAN à la Libye, entre plaintes et démentis, on apprend que Brice Hortefeux, qui fut ministre pendant la présidence Sarkozy, avait conclu l’accord le 6 octobre 2006 lors d’une réunion entre Abdullah Senussi, beau-frère du colonel, et le trafiquant d’armes Ziad Takieddine. L’accord figurait dans un document signé par Mussa Kussa, l’alors chef des omniprésents services secrets libyens, aujourd’hui réfugié au Qatar. L’argent aurait été versé en secret par Bashir Saleh, chef de cabinet du colonel. Ce récit est confirmé par Moftah Missouri, l’interprete personnel du rais libyen.
À cette époque, Sarkozy accueillait à Paris le Kadhafi des années d’or, et l’appelait le "frère leader". Si cette histoire de financement illicite est vraie, et dans le cas où il aurait dû faire face à la justice, le colonel aurait pu la rendre publique pour démentir le président français.
Le 20 octobre 2011, lorsque la colonne de Kadhafi fut localisée et bombardée par deux chasseurs Rafale français, le rais fut capturé vivant, avant qu’on lui donne le coup de grâce. « Dans les jours qui ont précédé, plusieurs missions tactiques avaient eu lieu, avec au moins 9 hélicoptères envoyés sur Syrte (où se cachait le colonel – nda), raconte à Il Giornale une source de l’OTAN. L’un était anglais et les autres français, ils frappaient des objectifs bien précis. » La fin de Kadhafi prit forme après un coup de téléphone qu’il passa vers Damas depuis son téléphone satellite, et qui fut intercepté par l’OTAN. Les pilotes de chasseurs français et un [drone] Predator américain fournirent en continu des informations sur la colonne du rais en fuite, à la base de l’OTAN de Naples et à Poggio Renatico, qui gérait les opérations aériennes. Une partie de ces informations était ensuite envoyée aux corps d’élite et aux services de renseignements alliés, aux côtés des rebelles de Syrte.
« L’impression est qu’après le premier groupe d’insurgés qui a capturé Kadhafi, un autre groupe est arrivé qui semblait savoir exactement quoi faire et aurait reçu l’ordre d’éliminer le prisonnier » a expliqué à Il Giornale une source anonyme impliquée à l’époque dans le conflit. Une partie des révolutionnaires voulait emmener Kadhafi à Misurata, comme en témoignent les hurlements enregistrés par les téléphones portables. Ensuite, un membre du second groupe, avec l’ordre de tuer, se serait approché du colonel en sang, mais toujours vivant, et aurait profité de la confusion pour lui donner le coup de grâce.
Quelques mois plus tard, Mahmoud Jibril, ex-premier ministre par intérim après la chute du régime, avait confirmé la nouvelle à la télévision égyptienne : « C’est un agent étranger mélangé aux révolutionnaires qui a exécuté Kadhafi. »
par Fausto Biloslavo
IlGiornale.it
Jeudi 3 juillet 2014, 00 :24
Traduction française : ilfattoquotidiano.fr
Mediapart ne publie-t-il pas la lettre et document (non détruit et oublié par les services de renseignement français !) formant preuve parfaite qu'un accord libyen avec la France était confirmé en vue du financement de la campagne présidentielle de 2007 de Nicolas Sarkozy ? Pour voir cette preuve, sur le site du Nouvel OBS, cliquez, ici :
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