" L'affaire d'ETAT Philippe Kaltenbach ",
mille fois plus importante que
l'affaire Stavisky, est toujours
" occultée " aux Français, " freinée "
au sommet de l'ETAT, pour
cause évidente de
gravité, certes,
mais aussi de
complicité
du système !
Voir ci-dessous les enjeux
et dessous des cartes...
DES MILITANTS PS RÉCLAMENT
LA SUSPENSION DE l'EX-MAIRE
CLAMART. Le sénateur socialiste et ancien maire Philippe Kaltenbach,
condamné, en octobre 2015, à un an de prison ferme, sera jugé en
appel le 21 octobre à Versailles.
Le journal " Le Parisien " du samedi 6 février 2016
LA DATE A ÉTÉ FIXÉE hier par la Cour d'appel de Versailles : c'est le 21 octobre prochain que le sénateur et ex-maire PS de Clamart, Philippe Kaltenbach, reviendra devant la justice. Niant avoir accepté de l'argent contre une promesse de logement social dans l'affaire dite des vidéos - un élu l'avait filmé à son insu en train d'empocher des billets -, il a fait appel de sa condamnation pour corruption passive. Un jugement rendu en octobre 2015 par le tribunal correctionnel de Nanterre, qui avait prononcé une peine de deux ans de prison, dont un ferme, ainsi que cinq ans d'inéligibilité et 20 000 € d'amende. En attendant, Philippe Kaltenbach continue d'exercer ses fonctions politiques sous la bannière du parti socialiste.
Cette situation provoque la colère d'une trentaine de militants Clamartois, qui ont écrit à la direction du parti pour demander sa suspension, invoquant la charte éthique du PS. Celle-ci stipule que " les élus ou dirigeants [...] condamnés pour des délits relatifs à leurs responsabilités ou contraires aux valeurs et principes du parti pourront être suspendus en cas de condamnation en première instance, et exclus en cas de condamnation définitive ". Ils ont aussi saisi la commission nationale des conflits, le tribunal interne du PS.
Parmi ces militants, des opposants locaux à la ligne Kaltenbach. " Mais il n'y a pas de volonté d'acharnement, tient à préciser l'un des signataires, qui préfère que son nom ne soit pas cité. C'est une question de principe. S'il n'y a pas d'exemplarité, le risque est de perdre en crédibilité. Mais aussi de nourrir le sentiment du tous pourris qui alimente le FN. " Et d'expliquer surtout que l'affaire pollue sérieusement la vie politique locale, où l'opposition se voit " sans cesse renvoyée à l'exemple Kaltenbach ", se plaint une militante.
L'intéressé, lui, minimise : " Ils sont minoritaires, ils sont 25 sur les 180 adhérents de la section ! Ils cherchent à faire un coup médiatique, mais cela nuit au parti ", déplore Philippe Kaltenbach. L'élu estime avoir fait ce qu'il fallait : " Je me suis volontairement mis en retrait après le jugement pour ne pas gêner la campagne des régionales et le PS. " Et " pas question " de démissionner du conseil municipal, comme le réclame le responsable du Front démocrate local, Maxime Lesour, dans une lettre ouverte virulente adressée hier à l'ancien maire.
Du côté de la direction du PS, on se borne à indiquer que Philippe Kaltenbach " s'est mis en retrait " et qu'il " est déféré devant la commission des conflits "... sans préciser de date.
Pascale AUTRAN
Le culot et mensonges monstrueux d'un " frère "
politique PS, sans doute, le plus " corrompu " de France,
ayant " audience ", " pouvoir " et " influence " prouvés
au plus haut niveau des politiques impliqués dans la
plus grosse affaire d'ETAT de la Vème république,
en matière de détournements d'argent dit
" public ", et qui, cependant, est " couvert "
au sommet de cet ETAT, qui pourrait
bien lui être complice, et
aussi corrompu
que lui ?!!!
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