JUSTICE/CLAMART - Ph. Kaltenbach, maire PS de Clamart, acquiert une demeure historique grâce à ses prérogatives (abus ?!) de puissance publique !

 

Clamart

 

Comment devenir un bon candidat-député (faudra-t-il dire, M. le Baron ?)

de la 12° circonscription électorale des Hauts-de-Seine..?

M. Ph. Kaltenbach nous livrera-t-il son secret, à quelques jours

du 1° tour des législatives..?!


Les Français avaient coutume de dire sur le territoire : " Château-Chirac

(pour Bity) ", acheté pas cher, maintenant, ils diront : " Château-

Kaltenbach (à Clamart !).


Est-ce encore, beaucoup plus fort que Jacques Chirac ?

La Maison du Baron MICOUD d'UMONS, pour 1 € seulement..???!!!

" Vox populi, Vox Dei ! "

 

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Kaltenbach obtient 1 € dans l'affaire de l'achat de sa maison

 

un article du journal " Le Parisien " du 31 mai 2007

C'est un jugement en demi-teinte qu'a rendu hier la 8° chambre du tribunal de grande instance de Nanterre, dans l'affaire de la maison du maire de Clamart, Philippe Kaltenbach (PS). Attaqué en justice par le promoteur immobilier, Initial promotion, Philippe Kaltenbach se voit attribuer 1 € de dommages et intérêts. Et non les 30 000 € qu'il réclamait. Le promoteur obtient également satisfaction, le tribunal ordonnant le remboursement des sommes dépensées.

Si le promoteur a attaqué le maire socialiste, c'est parce qu'il estimait avoir été " trompé " lors d'une opération immobilière réalisée conjointement avec Philippe Kaltenbach. Le désir du maire de Clamart d'acquérir la maison de l'abbé Dellile, située sur un terrain de 1 450 m2, s'est uni au souhait d'Initial promotion d'acquérir de son côté, non pas l'ensemble de la propriété, mais une partie seulement, étendue sur 800 m2. Aussi, le 26 avril 2005, les propriétaires ont cédé au maire de Clamart la demeure historique avec 650 m2 de terrain, et au promoteur deux parcelles de 400 m2 chacune. Un arrangement qui aura permis à l'édile d'acquérir cette maison, trop chère s'il avait dû acheter l'ensemble du terrain.

 

La vente au promoteur annulée

 

Mais selon les explications du promoteur lors du procès, en mars dernier, c'est parce qu'il avait l'assurance d'obtenir de la mairie les indispensables permis de construire que celui-ci a acheté les terrains. La mairie avait effectivement délivré promptement le certificat d'urbanisme. Mais le permis de construire aurait été finalement refusé, l'architecte des Bâtiments de France s'opposant au projet du promoteur. En prononçant l'annulation de la vente des deux parcelles acquises par le promoteur pour la somme de 478 000 €, Initial promotion gagne son procès. Mais n'obtient pas du tribunal que Philippe Kaltenbach lui verse des dommages et intérêts. Estimant les époux Kaltenbach " les seuls bénéficiaires de cette opération ", le promoteur réclamait 60 000 euros. Au contraire, c'est lui qui doit verser un euro au maire de Clamart.

V. M.

 

Commentaire :

 

Allez ci-après et ci-dessous, pour voir et en savoir plus, sur le présent blog, de l'affaire très peu glorieuse de la belle demeure historique classée du Baron MICOUD d'UMONS, et non pas de l'abbé Delille (avec deux " l ", qu'ils oublient, ce qui est fort significatif !), acquise à très bon compte, mais, avec des procédés qui sembleraient assez discutables, selon le " bon sens " et l'administration d'une bonne justice et de l'équité, en utilisant, aussi et ici, des prérogatives de la puissance publique, lesquelles, normalement, en pur droit, ne devraient en aucun cas intervenir ou interférer dans cette affaire (il y aurait-il donc une prise illégale d'intérêts ? l'on peut, du moins, légitimement s'interroger et se poser " fortement " la question..???!!!).

Ce qui pourrait, en définitive, amener les Clamartois à réfléchir sur leur vote les 10 et 17 juin 2007. A noter, à ce propos, que l'UMPS et l'UDFPS " locales " sembleraient avoir la " même écurie ", comme enseigne et devise, pour avoir " avalisé " un peu trop facilement, rapidement et étonamment, et passé à l'étouffoir et à l'aune de l'omerta (?), les méthodes et procédés particuliers employés par M. Philippe Kaltenbach, dans cette opération " immobilière vraiment très très spéciale et très peu connue en France ", qui mérite toute notre attention, et où les citoyens ne sont pas invités à y regarder d'un peu plus près, dans cette affaire, qu'à tort, l'on veut " absolument " lui attribuer un caractère purement " privé ", ce qui ne l'est pas, à l'évidence et pour cause, restant, ici, dans le domaine du " public ", et sous sa sauvegarde, en sa qualité de patrimoine et propriété classés et inscrits à l'inventaire des monuments historiques et bâtiments de France..!

Donc, que les Clamartois se méfient bien, avant de confier leur vote, à des personnes qui cumulent quatre ou cinq mandats électifs ou publics (qui vont à l'encontre, à juste titre, des voeux affirmés de Mme Ségolène Royal, de mettre fin à ce qu'elle considère comme des abus insoutenables) représentant au moins des indemnités et avantages + privilèges se montant à plus de 60 000 francs par mois..! (ou même, pour être plus précis, s'élevant à 8165 euros, selon " Capital ", qui vont rapidement passer à 9 000 euros et plus, ce qui est loin du RMI..! Je ne vois nullement la " démocratie ", dans cette façon de faire, qui est une injure permanente aux classes de la société les plus défavorisées. C'est mon sentiment profond et je le partage avec mes concitoyens dont je me sens solidaire. Je persiste et signe : Jean Benoist

1°) Pour voir le post intitulé : " JUSTICE/CLAMART - Philippe Kaltenbach (maire PS) menacé de perdre sa nouvelle maison. Le Parisien du 15/03/2007 - cliquez, ici :

2°) Pour voir le post intitulé : " Clamart. Un " clash " médiatique dans la réunion publique du Conseil municipal du 28/03/07. Va-t-on vers une nouvelle affaire Dreyfus..?!!! ", cliquez, ici :

3°) Pour voir le post intitulé : " Clamart, l'affaire de la maison de Kaltenbach : " l'opposition, fumier politique engrais de l'extrême droite..?!!! " Le Parisien " du 30/03/07 ", cliquez, ici :