
Il n'est qu'à voir ci-dessous et ci-après, un article signé Eric EMERY, du mensuel " Le Cri du contribuable " ( Contribuables Associés ), d'Avril 2006, intitulé " Combien coûtent nos élus ", pour nous faire frémir et donner froid dans le dos. Il nous fait connaître le " train de vie " luxueux, de nos " très chers " parlementaires et politiques, payés par nous, ceux-ci étant " uniquement " et fortement " préoccupés ", semble-t-il, de " légaliser " les mariages homosexuels ( où se trouvent donc, ici, le " Bien public " et " l'intérêt général " ? ), de " régulariser " tous les " sans-papiers " et immigrés " clandestins ", 600 000 immigrés " clandestins " pénètrent sur le territoire Français, tous les ans ! Ceci, d'après le rapport " très officiel " du Sénateur guyanais que l'on verrait " difficilement " accusé d'un quelconque " racisme " ou " xénophobie ". Ces " clandestins ", qui, en dépit des dénégations " médiatiques " de M. Nicolas Sarkozy, qui fait de la surenchère " électoraliste " et " propagandiste ", pour " contrer " la " Star à la Rose ", Mme Ségolène Royal (!) , et bien qu'il s'en défende, " inutilement ", prenant les Français pour des " dupes ", ou des " faibles d'esprit ", veut " régulariser ", coûte que coûte, les " sans-papiers ", pour " récupérer " des bulletins de vote de la gauche, trahissant et la gauche et la droite ! ( donc, même question et interrogation que ci-dessus ! ).
D'accorder des avantages sociaux et fiscaux à ces derniers, alors que les Sdf, petits retraités, et les " minima sociaux " ne peuvent et n'ont pas même les ressources " nécessaires " pour se loger, se nourrir, se soigner ( quand l'on pense qu'un dictateur sanguinaire et " boucher de l'Histoire ", tel que Bouteflika, a l'audace et l'impudence abjecte de vomir ses insultes et injures, sur les Français, et alors, qu'il ose, lui, " l'infâme ", le scandaleux, " s'offrir des séjours hospitaliers ", à coups de centaines de milliers d'euros, sur le dos des assurés sociaux Français, auxquels la SS " ose " reprocher et les fustiger, pour " dépenser trop d'argent ", " notre propre argent " (!), qui est détourné et volé, à ne pas prendre et vouloir remplacer tous nos médicaments et prescriptions médicales par des " génériques ", de qui se moque-t-on ??! ), vivre avec le même minimum de dignité, que l'on accorde, cependant, aux " immigrés clandestins " et refuse à nos concitoyens, la gauche n'a pas de quoi se vanter, d'utiliser de tels procédés " politiciens " démagogiques et indignes d'être " rémunérés " par les contribuables Français, trahis, " trompés par leur soi-disant " représentants " qui détournent ainsi " l'argent public ", que pour leur profit et intérêts personnels et de leurs " lobbies ", qui prennent en otages les Français, ce qui les déshonorent, encore plus, de faire " actes de repentance et d'allégeance " à toutes nos ex-colonies et territoires d'outre-mer et aux dictateurs de ces pays, " d'oublier " les soldats " appelés " d'Algérie, qui se sont fait tuer pour " rien ", sous les directives des politiques, gouvernants et chefs d'Etat Français, salissant, injuriant ou laissant injurier par des Etats étrangers, la mémoire de ces combattants et morts, nonobstant une cause que ces mêmes politiciens savaient d'avance vouloir perdre !
De dérembourser, de plus en plus, les soins médicaux, d'augmenter sans vergogne les tarifs d' Edf et du Gaz, qui, à l'origine, sont des entreprises " nationalisées ", c'est-à-dire, ayant été déjà " grassement payées par les contribuables français ", et ensuite " privatisées " ou " dénationalisées " pour enrichir, " personnellement ", les dirigeants de ces entreprises, dirigeants " mis en place " et choisis, cependant, par les gouvernants, non pas dans le souci de l'intérêt général et public, mais pour offrir ces sinécures à de très hauts fonctionnaires, hommes publics, et autres amis politiques, gérant, curieusement, les plus gros intérêts financiers des capitaux " privés " avec des fonds publics et mélangeant les " genres ".
Pour traduire plus simplement les faits, sous couvert de l'étiquette " publique ", les plus importantes sociétés et groupe français " d'ordre soi-disant public " ou " mixte ", mais, paradoxe (?) de " capitaux privés " ( Banques. institutions financières, G.I.E, Sociétés d'économie mixte, la Presse, les medias, Havas, la TV, aviation, armement, ou industries dites " sensibles ", etc. ), avec leurs cortèges de corruption, turpitudes, ainsi qu'en témoignent les " affaires ", s'enrichissent et " spéculent ", avec de " l'argent public ". Les milliards de francs et d'euros engloutis dans le gaspillage de constructions, réalisations, et autres édifices de " prestige purement personnel ", stigmatisent parfaitement, le mépris et la désinvolture des politiques, en regard du niveau de vie économique et social et du point de vue " moralité publique ", des ressortissants nationaux.
Des dysfonctionnements très graves tel que " l'affaire d'Outreau " et ses victimes, victimes de " crimes ", et non pas " d'erreurs judiciaires ", que l'on voudrait nous faire croire, les amnisties " iniques " de convenance, les peines très douces pour les politiques corrompus, le plus souvent bénéficiant de " sursis " ou d'amnisties effaçant leurs forfaits et détournements des deniers publics, qualifiés, normalement, de " crimes " contre la Société, les émeutes urbaines et leurs victimes passées par " pertes et profits " par nos politiciens " dévoyés ", pas un mot de réconfort ou de compassion pour elles, une tentative d'assassinat par un élève de Karen Montet-Toutain, etc., etc., tout cela est passé sous silence, ignoré, étouffé, et, n'oublions pas, le " crime " et " forfaiture " de tous ceux qui ont concouru à " l'abrogation des articles 114 - 115 - 116 du code pénal qui permettaient, à tout citoyen, de faire condamner, et quel que soit son niveau hiérarchique, jusqu'au " sommet de l'Etat ", ceux qui attentaient et violaient la Constitution dans ses dispositions les plus sacrées et fondamentales, garantissant la sécurité et la sûreté des personnes, en matière de libertés publiques ( Voir, pour exemple d'infractions " criminelles " à la Constitution, le post traitant de " l'affaire Roger Delpey - Prisonnier de Giscard ", en cliquant, ici : ).
Maintenant, les " candidats " à la présidentielle de 2007 et aux législatives demandent aux Français de " remettre " cela, et qu'ils votent, de surcroît, pour des " élus ", en vue de légiférer " contre " leurs propres intérêts " moraux ", " économiques et sociaux ", de " justice " ( quelle justice peuvent-ils espérer ? Celle qui protège les " forts " et leurs turpitudes, ou les " faibles " ? ). Les Français sont " outrés ", comme à " Outreau ", où ces abus de pouvoir sont un outrage à la démocratie, et trop, c'est trop. Nous verrons bien, en 2007, puis en 2008, si les Français ont retenu la leçon, ou si les politiques, les plus corrompus ou mêlés dans les " affaires ", ont toujours leurs faveurs..!
"Combien coûtent nos élus "
" Le Cri du contribuable " - n° 11, Avril 2006 - par Eric EMERY
La France compte 577 députés, 331 sénateurs, 2040 conseillers régionaux, 4054 conseillers généraux, 36 785 maires, plus d'un demi-million de conseillers municipaux... Une étude publiée récemment par Contribuables Associés lève un coin du voile sur les coûts que génèrent l'entretien et les activités de cette pléthore d'élus.
" A tout seigneur, tout honneur : le budget du Parlement s'élève à 819,8 millions d'euros ( 513,2 millions pour l'Assemblée nationale et 306,6 millions pour le Sénat ). Les parlementaires ont augmenté leurs moyens de 9,3 % depuis le début de la législature, soit plus de 76 millions d'euros sur cinq ans. A elle seule, la chaîne télévisée parlementaire ( Assemblée et Sénat ), dont l'audience est négligeable, a bénéficié en trois ans d'une augmentation de ses crédits de 48,5 % : elle dispose en 2006 d'une dotation de 21,7 millions d'euros, contre 14,6 en 2003. En novembre 2001, le député Michel Bouvard avait pourtant déposé un amendement demandant la suppression de ce gadget ruineux...
Pour son entretien, chaque député perçoit mensuellement, entre son indemnité de base, ses indemnités de frais de mandat et les crédits qui lui permettent de rémunérer ses collaborateurs, 21 833,66 euros; et chaque sénateur, 20 376,45 euros, plus une subvention de 1 330,02 euros que la chambre haute alloue au groupe politique de l'élu. A ces sommes s'ajoutent des " facilités " diverses : les parlementaires sont dispensés de payer une bonne partie de leurs appels téléphoniques et de leurs frais de courrier, voyagent gratuitement et bénéficient de prêts immobiliers à des taux qui défient toute concurrence. Ils ne sont en outre imposés que sur le quart de leurs indemnités de base et jouissent d'un système de retraite très avantageux, en particulier pour les élus issus de la fonction publique.
Cumuls : un plafond de 7 989,51 euros
Nos parlementaires peuvent aussi améliorer leurs revenus grâce à un mandat local, dans la limite d'un plafond aujourd'hui fixé à 7 989,51 euros. Si l'édile d'une commune de moins de 500 habitants ne perçoit que 623,94 euros mensuels bruts pour une mission qui relève de l'apostolat, le maire d'une ville de plus de 100 000 habitants reçoit en revanche une indemnité de fonction de 5 321,86 euros bruts. A ces sommes s'ajoutent des remboursements de frais divers qui, votés par le conseil municipal, correspondent davantage à une allocation qu'à une véritable indemnité.
Une autre astuce consiste à cumuler un mandat local avec la présidence ou la vice-présidence d'un syndicat intercommunal. Le président d'une communauté d'agglomération ou d'une communauté urbaine de plus de 200 000 habitants percevra par exemple chaque mois 5 321,86 euros bruts... Egalement intéressants, les mandats de conseillers généraux ou régionaux donnent lieu à une indemnité mensuelle comprise entre 1 468,10 et 2 569,18 euros bruts selon l'importance de la région, pour une tâche qui ne les épuise pas. Si cela reste insuffisant, une place au sein d'une commission permanente augmente les indemnités de 10 % et un fauteuil de vice-président avec délégation, de 40 %. Quant au président du conseil général ou régional, il perçoit 5 321,86 euros bruts, avec la jouissance d'un appartement de fonction et d'une voiture avec chauffeur.
Faut-il s'étonner après cela de croiser dans les couloirs du Sénat deux présidents de conseil régional, 33 de conseil général, 20 conseillers régionaux et 76 conseillers généraux ?
ERIC EMERY
Un supplément d'information : une " rallonge " au Budget national de 200 millions d'euros par an, en faveur de nos " très chers " députés européens !
D'après " Le Cri du contribuable " ( Contribuables Associés ) de juin 2006 - n° 13
STRASBOURG : VOYAGES MENSUELS
Du rififi au Parlement européen : le montant du loyer qu'il paie à la ville de Strasbourg depuis 1979 serait surévalué. Du coup, il menace de ne plus payer. Étrange ! 27 ans pour s'apercevoir que son loyer est trop cher, cela fait beaucoup... Cette polémique cache le problème de fond : celui du déménagement mensuel des députés européens à Strasbourg. Chaque mois c'est le même ballet : députés, assistants, secrétaires, huissiers, hôtesses, interprètes... des milliers de personnes rejoignent la capitale alsacienne à grands frais. Alors que l'essentiel du travail se fait à Bruxelles ! Un gaspillage de temps et d'argent pour tout le monde.
L'addition : 200 millions d'euros par an
Est-ce du vol ou du racket, pour... les contribuables Français !
Un post susceptible de vous intéresser aussi : " L'Union européenne est-elle dirigée par la mafia..? ", un post inspiré par le livre excellent de M. François d'Aubert : " Main basse sur l'Europe - Enquête sur les dérives de Bruxelles ". Pour voir ce post, cliquez, ici :
Pour compléter vos informations, rendez-vous sur l'excellent site : " Le Cri du contribuable " - Contribuables Associés, en cliquant, ici :
Voici un texte d'Alain, écrivain et philosophe, étonnant d'actualité et de la réalité de la constatation des moeurs dissolues de nos politiques d'aujourd'hui :
Les non-compétents peuvent contrôler les compétents
" Il y a un argument contre la Démocratie égalitaire, que je trouve dans Auguste Comte, et qui a été souvent repris, c'est que, par le suffrage populaire, on aura toujours des députés incompétents. C'est pourquoi notre philosophie ne veut considérer le système de la libre critique et de l'égalité radicale que comme un passage à un état meilleur, où le pouvoir sera toujours aux mains du savant dans chaque spécialité, et d'un conseil d'éminents sociologues pour la coordination et l'ensemble.
Il est très vrai qu'un député, le plus souvent, ne sait rien à fond en dehors du métier qu'il exerçait; mais remarquez que, s'il est avocat, il connaît tout de même assez bien les lois, la procédure, et les vices du système judiciaire; que, s'il est commerçant, il s'entend aux comptes et à l'économie; que, s'il est entrepreneur, il dira utilement son mot au sujet des travaux publics, et ainsi pour le reste. Aussi, quand on parle de l'ignorance et de l'incompétence des députés, je ne puis voir là qu'un développement facile et sans portée.
Mais je ne regarderais pas tant à la science; plutôt à la probité, et à la simplicité des moeurs privées. Car si l'on prend pour député un grand armateur, ou un grand industriel, ou un grand banquier, ou un grand avocat, afin d'user de leur savoir-faire, ce sera un calcul de dupe assez souvent. On connaît des hommes fort habiles et intelligents, mais qui, peut-être, par l'habitude des affaires, penseront un peu trop à leur fortune, ou bien exerceront volontiers un pouvoir tyrannique, comme ils font naturellement chez eux et dans leur métier. Ainsi leur science pourra bien nous coûter cher. J'aimerais souvent mieux un honnête homme qui n'aurait pas trop réussi. Bref, je ne désire pas avant tout des Compétences.
Et pourquoi ? Parce que nous en avons autant qu'il nous en faut dans les services publics. La Cour de Cassation et le Conseil d'Etat connaissent profondément les lois. La Cour des Comptes a la science des Finances publiques. Tous les ministères ont des directeurs fort instruits. La guerre et la marine dépendent d'hommes qui connaissent leur métier. En fait les Compétences sont aux affaires. Il reste à les surveiller, et ce n'est pas si difficile.
On prend à tort les ministres pour des hommes qui devraient être plus savants que leurs subordonnés. Le ministre n'est autre chose qu'un délégué du peuple pour la surveillance d'un travail déterminé, et nous avons, pour surveiller le surveillant, un autre député, rapporteur du budget; les autres députés sont arbitres. Par exemple on peut bien juger de la fabrication des poudres sans être chimiste, car les spécialistes seront bien forcés de parler clair, si on l'exige, et c'est ce qui est arrivé. De la même manière, un juré peut apprécier la responsabilité d'après les rapports des médecins. Si le civet est brûlé, d'abord je le sentirai très bien, sans être cuisinier, et ensuite j'arriverai à me protéger contre ce petit malheur, même sans entrer dans la cuisine, car je suis celui qui paie. Le peuple est celui qui paie, et ses représentants ont mille moyens de vous faire que le peuple soit bien servi, si seulement ils le veulent.
On peut même désirer ici une division du travail plus parfaite, les députés jugeant avant tout d'après les effets sans chercher les causes. Comme cet homme très riche et très occupé qui a plusieurs autos et ne connaît pas la panne. Sa méthode est de bien payer, et de renvoyer le chauffeur sans commentaires, à la première panne; cela le dispense d'apprendre la mécanique. 27 octobre 1912 "
Les non-compétents peuvent contrôler les compétents
Il est très vrai qu'un député, le plus souvent, ne sait rien à fond en dehors du métier qu'il exerçait; mais remarquez que, s'il est avocat, il connaît tout de même assez bien les lois, la procédure, et les vices du système judiciaire; que, s'il est commerçant, il s'entend aux comptes et à l'économie; que, s'il est entrepreneur, il dira utilement son mot au sujet des travaux publics, et ainsi pour le reste. Aussi, quand on parle de l'ignorance et de l'incompétence des députés, je ne puis voir là qu'un développement facile et sans portée.
Mais je ne regarderais pas tant à la science; plutôt à la probité, et à la simplicité des moeurs privées. Car si l'on prend pour député un grand armateur, ou un grand industriel, ou un grand banquier, ou un grand avocat, afin d'user de leur savoir-faire, ce sera un calcul de dupe assez souvent. On connaît des hommes fort habiles et intelligents, mais qui, peut-être, par l'habitude des affaires, penseront un peu trop à leur fortune, ou bien exerceront volontiers un pouvoir tyrannique, comme ils font naturellement chez eux et dans leur métier. Ainsi leur science pourra bien nous coûter cher. J'aimerais souvent mieux un honnête homme qui n'aurait pas trop réussi. Bref, je ne désire pas avant tout des Compétences.
Et pourquoi ? Parce que nous en avons autant qu'il nous en faut dans les services publics. La Cour de Cassation et le Conseil d'Etat connaissent profondément les lois. La Cour des Comptes a la science des Finances publiques. Tous les ministères ont des directeurs fort instruits. La guerre et la marine dépendent d'hommes qui connaissent leur métier. En fait les Compétences sont aux affaires. Il reste à les surveiller, et ce n'est pas si difficile.
On prend à tort les ministres pour des hommes qui devraient être plus savants que leurs subordonnés. Le ministre n'est autre chose qu'un délégué du peuple pour la surveillance d'un travail déterminé, et nous avons, pour surveiller le surveillant, un autre député, rapporteur du budget; les autres députés sont arbitres. Par exemple on peut bien juger de la fabrication des poudres sans être chimiste, car les spécialistes seront bien forcés de parler clair, si on l'exige, et c'est ce qui est arrivé. De la même manière, un juré peut apprécier la responsabilité d'après les rapports des médecins. Si le civet est brûlé, d'abord je le sentirai très bien, sans être cuisinier, et ensuite j'arriverai à me protéger contre ce petit malheur, même sans entrer dans la cuisine, car je suis celui qui paie. Le peuple est celui qui paie, et ses représentants ont mille moyens de vous faire que le peuple soit bien servi, si seulement ils le veulent.
On peut même désirer ici une division du travail plus parfaite, les députés jugeant avant tout d'après les effets sans chercher les causes. Comme cet homme très riche et très occupé qui a plusieurs autos et ne connaît pas la panne. Sa méthode est de bien payer, et de renvoyer le chauffeur sans commentaires, à la première panne; cela le dispense d'apprendre la mécanique. 27 octobre 1912 "